Plusieurs médias allemands le décrivent comme un partisan de l’organisation djihadiste État islamique (EI). Il se serait radicalisé depuis son arrivée en Allemagne, en 2015, au plus fort de l’afflux de migrants en provenance de Syrie à l’époque.
À la suite de ses condamnations, le suspect a purgé des peines de prison. Il avait été remis en liberté le 29 septembre, soit quelques jours avant l’attaque mortelle de Dresde, et restait fiché par la police comme potentiellement « dangereux ».
Le jeune homme n’avait pas le statut officiel de réfugié en Allemagne mais restait « toléré » par les autorités. Lors de son audition par les enquêteurs, il n’a fait aucune déclaration, précise le communiqué du parquet.
Selon les médias allemands, son ADN a été retrouvé sur le couteau de cuisine qui a servi à perpétrer l’homicide, et a conduit à son arrestation.
Berlin dénonce la "menace terroriste islamiste"
Le gouvernement allemand a dénoncé mercredi la "menace permanente" de la "terreur islamiste" après le meurtre au couteau à Dresde.
"La terreur islamiste est une menace permanente, que nous devons contrer avec toute la cohérence possible", a commenté la ministre de la Justice Christine Lambrecht sur Twitter, tandis que son homologue de l’Intérieur Horst Seehofer a estimé que cet acte "démontre une fois de plus la nature dangereuse de la violence islamiste" qui "impose la plus grande vigilance".
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Tout le monde connaît le pompier pyromane ? L’Allemagne en est l’exemple parfait. Avec plus de 5 millions de turcs, elle ne pipe plus un mot car elle n’ose plus, les réactions seraient trop violentes.
Merkel qui fait venir 1 million de “réfugiers” syriens (a-t-elle fait un référendum pour consulter le peuple ?). Comme on dit chez nous, il y a vraiment des claques qui se perdent…