Condamné à 25 ans de réclusion criminelle pour des agressions et viols, un sexagénaire domicilié à Vendœuvres a fait appel de cette décision.
(…) En appel (*), il encourt la réclusion criminelle à perpétuité. Pourtant, à rebours de ses bonnes intentions, Jacques Mbakam, 69 ans, aura passé la journée de lundi, à louvoyer, à se défausser. Bref, à esquiver cette fameuse vérité. Aux questions les plus simples, il n’a pas pu, su ou voulu apporter la moindre réponse claire.
Il est établi, solidement, qu’il est né au Cameroun, « dans un village de l’Est ». Son père, un notable, l’a envoyé à Douala, la capitale, à 15 ans. En 1971, le voilà en France, marié et père d’un enfant (il en a cinq au total). Il a 20 ans. En 1987, il soutient une thèse en économie politique. « Dans l’intervalle, lui demande le président Pignoux, vous avez vécu de quoi ? » La cour attend toujours la réponse.
(…) Chercheur, philosophe, anthropologue Sa vie professionnelle ? Mystère. Jacques Mbakam est retraité, mais de quoi ? Il évoque des études universitaires tous azimuts, des diplômes en droit, en sciences sociales. Se présente comme « chercheur », « philosophe », « anthropologue », chargé de diverses « missions de conseil », toutes bien fumeuses.
Déjà condamné aux assises, en 1997, pour viol sur mineure. Et aussi et surtout, en février 1997, la cour d’assises de Paris l’a condamné à dix ans de réclusion criminelle, pour viol sur mineure de 15 ans. Ce qu’il niait déjà et nie toujours, dénonçant « une vengeance politique ».
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Extrait de: Source et auteur
L’Afrique , terre de Nobels, nous expédie toute sa pépinière de philosophes, d’anthropologues venus étudier l’indigène occidental. Celui-ci, une bite “chercheuse” en quelque sorte.
Merci aux immigrationnistes et tant pis pour les victimes de ces chances-là, elles n’avaient qu’à ne pas être au mauvais endroit…