L’initiative UDC rejetée à 61,7% : “Le Non a été principalement porté par les cantons romands et les centres urbains”

Les Suisses tiennent à leurs relations avec l’Union européenne et ils l’ont montré dimanche. L’initiative pour une immigration modérée de l’UDC a été rejetée par 61,7% des votants. Le «non» a principalement été porté par les centres urbains et les cantons romands.

Bâle-Ville (74,6%) a compté le plus d’opposants au texte. Il est suivi des autres cantons frontaliers que sont Neuchâtel (71,1%), Vaud (70,9%), Genève (69%) et le Jura (68,1%). Fribourg (64,6%), le Valais (62%) et Berne (61,3%) ont également déposé un «non» net dans les urnes.

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20min.ch

 

13 commentaires

  1. Posté par aldo le

    De retour de Bern, j’ai fait le constat suivant. Bern est beaucoup moins envahie des Français issus de leurs colonies ou ex-colonies qui servent aussi à nous infecter du Coran0virus, ce qui rend la capitale nettement plus agréable que Genève, à l’exception de la pléthore de fumeurs, qui profitent des arcades pour empester l’atmosphère. Curieusement le masque ne semble pas trop porté. A croire que l'”exemplarité” de Berset fait tache ou que nos politicards sont aussi hypocrites que d’habitude. Dans le même registres, les CFF prétextant la maîtrise du Covid faisaient payer le WC 2 francs, histoire d’écarter mendiants et drogués pd etc..

    Ces votations ont-elles été à nouveau entachées d’irrégularités ? Oui, puisque la presse est à la botte complice d’articles payés par le C.F., puisqu’elle touche du C.F. les cadeaux qui la dispense d’avoir des lecteurs, pour preuve les inscriptions obligatoires où les abonnements nécessaire pour voir l’intégralité des textes, sans compter les cadeaux sous la table issus de l’Europe UErss, voir sur lesobservateurs.ch les méthodes de corruption liées à l’affaire Erasmus. A ce sujet, le train était occupé par quelques pseudo juristes étudiants français à l’Uni de Fribourg, de vraies pipelettes féminisées parlant cuisine etc.. Ce qui ne faisait pas tache avec des panthères grises du PS et de l’extrême-gauche bonnes consciences accompagnées de l’inévitable étrangère alibi.

    De retour je me suis arrêté à Fribourg, ville nettement plus hospitalière, mais déjà passablement colorée à cause de l’Université catholico-bolchévique et à la partie noire de l’écusson cantonal. N’ayez crainte ils ne sont pas aussi nombreux qu’à Genève. Et des “pâtisseries faites à la main à Fribourg” ce qui me suggère qu’elles sont nettement moins chères que de mandater un abruti du barreau qui traine au Palais fédéral pour comploter pour le compte de ses chers confrères et de l’Europe alors que lui ne pense qu’avec les pieds; normal puisqu’ils sont tous pour l’immigration!

  2. Posté par antoine le

    La Suisse se suicide !
    La surpopulation étrangère va créer plus de problème qu’elle va en résoudre !
    – Qualité de la vie et Sécurité en baisse !
    – Bouchons sur le réseau routier, pollution en hausse
    – Émissions de CO2 en hausse (plus de personnes signifie plus de logements à chauffer) ! Les partis ”écolos” Verts de gris et Verts pastèques sont des pro-immigrationnistes et l’écologie (la vraie) ne les intéressent pas … Des taxes et encore des taxes sur le mazout le gaz la benzine pour distribuer des subventions et autres allocations déguisées …
    – Consommation électrique en hausse (alors qu’on vient de fermer la centrale nucléaire de Mühleberg) ! La SE2050 (Statégie Energétique de Mme Leuthard a du plomb dans l’aile !)
    – Il faut envisager de s’expatrier pour des cieux meilleurs loin de la gôchiasse qui mène le pays à la ruine … c’est triste, je l’aimais bien mon pays … !!

  3. Posté par AntiCon le

    Maintenant…?? eh bien j’espère très fortement que tous les chefs d’entreprises en Suisse regardent que leurs bénéfices et comme cela à déjà commencé, licencier tous les résidents en Suisse ainsi que tous les Suisses (esses) et engager que des frontaliers(ières) de cette façons ils seront gagnants sur tous les fronts…avec la bénédiction de la majorité de la populace. En ce qui concerne les emplois d’état (communes,cantons,confédération) licencier et également remplacer de la même manière tous les postes. Une action très efficace pour diminuer le déficit public et éliminer toute résistance.
    Que cet appel soit entendu par ceux qui ont ce pouvoir et l’applique sans restriction

  4. Posté par acerso le

    Je rejoins le constat de Jonas Varone concernant la situation en Suisse romande. En tant que romand, j’ai grandi et vécu en Suisse romande où j’ai été témoin de la perte d’identité de cette région de Suisse. Dans les régions frontalières, les départements des ressources humaines des sociétés sont aux mains des frontaliers qui embauchent principalement leurs nationaux, excluant les Suisses. Pour permettre cela, dans l’ingénierie par exemple, des offres d’emplois avec des critères d’aptitude irréaliste sont publiées, ce qui leur permet d’expliquer qu’aucun citoyen ayant les capacités requises ne peuvent être recrutés sur le territoire helvétique et que l’embauche de frontaliers est nécessaire, même si ceux-ci ne sont pas plus, souvent moins qualifiés que les Suisses. C’est une véritable gangrène, presque mafieuse. De même pour les secteurs industriels (Le Locle, la Chaux-de-fonds, etc) où lorsque les DRH sont français, les emplois sont octroyés principalement aux Français. J’ai toujours préféré collaboré avec des entreprises suisses allemandes, car en Suisse romande, lors de la création d’entreprise ou de nouveaux produits, la mentalité des concurrents est de détruire ce que l’autre a fait, même si cela entraîne la perte des deux entreprises… Je vis actuellement en Suisse alémanique et, lorsque je vais en Suisse romande, je dois dire que j’ai de plus en plus l’impression de changer de pays, tant la différence s’accentue (économiquement, socialement, etc). Quel dommage que les romands ne comprennent pas que le chemin qu’ils empruntent les rapproche de leurs voisins français, avec la situation que nous connaissons…

  5. Posté par opi edmond le

    Bah ! inutile de chercher à retenir un mur qui veut tomber. En romandie et dans les grandes villes de Suisse, c’est déjà bien grand remplacé + gauchos,cas sociaux, dreadlocks, punks à chien…ce qui se passe en France arrive ici à grands pas. Dans un avenir très proche, Ils vont subir dans leur chair les conséquences de leur vote . Délinquance, effondrement économique, fin de droit… Le retour du réel dans la tronche ils l’auront amplement mérité.
    Vous verrez bientôt ici même la valse des « faits divers » sanglants et vous les verrez venir chouiner devant les caméras rts. Pour les autres, les lucides, il est encore temps de déménager à la campagne dans les villages et les petit bourgs. Moi c’est fait, il y a + de 20ans déjà. Pas besoin d’être devin pour avoir anticipé tout ça, on avait déjà averti lors du vote schengen. faites rentrer des chips et de la bière ça va être un festival

  6. Posté par Jonas Varone le

    L’initiative pour une immigration modérée était l’occasion unique (et peut-être la dernière) pour sauver la Romandie d’une situation “à la française” avec un haut taux de chômage, une partie de la jeunesse exclue du marché du travail vivant de l’aide sociale ou de trafics illégaux, une criminalité en hausse, et une paupérisation générale de la population.
    Le soutien plus important des suisses-allemands pour cette initiative, alors que la Suisse allemande est nettement moins concernée par la concurrence des frontaliers et le chômage, était comme une main tendue de nos compatriotes d’Outre-Sarine envers nous les romands, pour nous aider à réduire notre taux de chômage. En rejetant massivement l’initiative (nous les romands), c’est comme si nous avions craché sur cette main tendue. Je crains que désormais, dans les années à venir, le taux de chômage en Suisse-Romande n’explose, et avec lui son cortège de “fins de droits” et de “cassos”, augmentant sans cesse le nombre d’assistés. Ainsi, la Suisse romande sera comme un navire à la dérive s’éloignant toujours plus culturellement et socialement de la Suisse allemande. Jusqu’au jour où les Suisse-allemands décideront peut-être de se séparer définitivement de ce poids que sera devenue la Suisse romande.
    En tous cas, les romands, en rejetant l’initiative, tout endoctrinés par les médias publics, se sont tirés un belle balle dans le pied.

  7. Posté par CiGîtLaSuisse le

    Si Maurer ou un autre UDC avait été le conseiller fédéral en charge de la défense, c’était non pour les avions. L’UDC doit comprendre que son image est catastrophique (ce que je déplore). A cause principalement de la RTS, son principal ennemi.

  8. Posté par Chris le

    Cette initiative était totalement contre productive: maintenant la mafia a les coudées franches pour faire passer l’accord cadre. Bravo!

  9. Posté par Bussy le

    En faisant abstraction de l’UDC, le résultat est un oui à une Suisse de 15, 20, 25, 30… etc. millions d’habitants !
    Va falloir se serrer !

  10. Posté par Alberto Da Giussano le

    [Commenté depuis Bergamo, Italie du nord (je suis un italien du nord)]

    Mais qu’est-ce qui arrive à la Suisse ?

    Une Nation que j’avais tant admiré pour son réalisme, son sérieux, son goût pour la qualité, la liberté et l’indépendance … Je ne reconnais plus votre pays !

    Nous n’avons plus aujourd’hui, et dans chacune des Nations d’Europe, d’autre alternative qu’entre mourir lâchement ou résister à des forces maléfiques qui nous mènent à l’abime.
    Abandonner le combat, c’est mourir : car même si le cœur bat encore, celui qui a baissé le bras est un esprit mort.

    La Suisse vient de choisir … Hélas !

  11. Posté par Marcassin le

    “Le «non» a principalement été porté par les centres urbains et les cantons romands.”
    C’est là qu’il y a le plus de gauchos et d’assistés qui ne seront pas en concurrence avec des étrangers meilleur marché puisqu’à l’asssistence.
    Les “remplacés” n’auront que leurs yeux pour pleurer. Et s’ils ont voté non, ils n’auront qu’à s’en prendre à eux.

  12. Posté par Yolande C.H. le

    Puisque les pro-immigrationnistes (Opération Libero, pro-UE, secondos, No Border ) ont gagné, qu’ils s’engagent à recalibrer les prix, les salaires, les couvertures sociales les formations et les droits civiques à la moyenne des états européens et même à ceux des pays tiers. Quand on défend l’égalité, il faut la défendre à tous les niveaux, et pas seulement les avantages qu’ils y trouvent au sein des frontières suisses !

  13. Posté par acerso le

    On a dit que le général de Gaulle avait déclaré que “les Français sont des veaux”, mais je pense que les Suisses qui ont refusé cette initiative sont des moutons, suivant les consignes des médias gauchistes, et celles du gouvernement à la botte des socialismes et autres “droit de l’hommistes”. Ils réagissent par la peur que le gouvernement (gouverne-ment) utilise, sans se rendre compte que c’est leur pays qu’ils trahissent, ceux qui l’ont créé et rendu prospère. Comme les moutons, ils n’attendent plus que de se faire égorger par ces “chances” qu’ils protègent. Les mêmes cantons qui ont rejeté ce vote sont ceux qui ont le plus haut taux de chômage, avec des milliers de travailleurs étrangers… D’ailleurs, ce même gouvernement a trahi le peuple lors des accords de Schengen, en garantissant que le nombre d’entrées serait inférieur à 10’000 par an, alors qu’elle est 10 fois supérieure !

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