N’en déplaise à tous ceux qui, par pure idéologie ou par un aveuglement béat, s’obstinent à présenter le Grand Remplacement comme un prétendu « fantasme de l’extrême droite », les preuves de cette gigantesque substitution de population qui s’opère depuis des décennies dans notre pays aux dépens des Français de souche sont très loin de manquer. Au nombre de ces dernières figure notamment celle des prénoms attribués aux enfants, qui est doublement parlante : d’abord, parce qu’elle met en évidence le poids sans cesse croissant des enfants issus de l’immigration au sein de leur génération et de la population totale ; ensuite, parce que l’attribution d’un prénom étant devenu – comme l’a souligné Eric Zemmour – un « acte politique » et une « arme de conquête », elle montre l’absolu refus d’une part considérable de ces populations de s’assimiler au peuple français.
Près d’un quart des prénoms donnés en 2019 étaient musulmans
Pour bien mesurer l’ampleur de cette évolution particulièrement préoccupante mais pas vraiment surprenante, on se plongera notamment dans l’étude des chiffres de l’état civil relatifs aux prénoms attribués aux enfants nés en France depuis 1900, publiés lundi par l’INSEE, ainsi que dans celle du « baromètre 2019 des naissances enregistrées en France sous prénom musulman », réalisé pour la cinquième année consécutive par nos confrères de Fdesouche. Or, que constate-t-on ? D’abord, que le taux d’octroi de prénoms musulmans pour les naissances en 2019 atteignait, au niveau national, pas moins de 21,53 % ! Un taux qui, souligne Fdesouche, a enregistré une croissance « moyenne de 0,7 point depuis 2000 », et est probablement en dessous de la réalité. Car, est-il précisé, en tenant compte de « la nette augmentation des “prénoms rares” », dont un tiers seraient selon les statistiques de l’INSEE des variations orthographiques de prénoms musulmans, « l’estimation du taux national d’octroi de prénom musulman en France corrigé serait environ de 25 % »…
L’« émirat » de Seine-Saint-Denis
Mais l’évidence du Grand Remplacement est encore plus criante lorsque l’on porte notre regard à l’échelle départementale. Notamment au niveau des départements du sud de la France présentant de fortes densités de population (Rhône, Bouches-du-Rhône, Alpes-Maritimes, Vaucluse, Gard, Hérault), qui enregistrent tous des taux nettement supérieurs à la moyenne nationale. Et surtout, bien sûr, au niveau de l’Ile-de-France, dont l’ensemble des départements a également un taux qui dépasse la moyenne nationale. A commencer évidemment par la Seine-Saint-Denis, pour laquelle le baromètre 2019 des prénoms musulmans relève un taux record de… 54 % ! On ajoutera pour conclure que, dans ce dernier département devenu au fil des années une véritable enclave étrangère sur notre sol, les dix prénoms se classant en tête de ceux les plus attribués aux enfants nés en 2019 sont – à deux exceptions près – musulmans… •
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