C’est une nouvelle agression ultra-violente qui suscité l’émotion à Lyon. Juliette a refusé de donner son numéro de téléphone, l’agresseur la jette au sol et lui casse les dents.
Juliette rentrait tranquillement chez elle à Lyon mardi 15 septembre 2020 quand un homme circulant à scooter s’est arrêté à sa hauteur. Pour lui demander son numéro, une cigarette, et son snap… La jeune fille a refusé. C’est alors que tout a dérapé.
“J’étais seule, ma bouche sur le trottoir. Les policiers m’ont montré des photos d’individus mais je n’ai pas reconnu l’agresseur… Cette petite merde avait un casque…”
« Je n’arrive plus à me regarder dans un miroir, ma nuit est coupée toutes les trois heures », ajoute-t-elle, précisant qu’elle pleure beaucoup et qu’elle n’arrive pas encore à manger normalement. « Et pourquoi ? Pour une carte bancaire sur laquelle j’étais à découvert de 200 euros ».
« Je suis une victime de l’harcèlement de rue, dans « l’espace public ». Je voudrais que toute l’énergie que vous pourriez avoir à me plaindre et à être désolés pour moi, soit redirigée vers un combat beaucoup plus global et plus grave », demande-t-elle.
« Ma vie a changé, j’en prends peu à peu conscience. Mobilisez-vous pour faire en sorte qu’une gamine étudiante de 19 ans n’ait plus à vivre ce que je vis aujourd’hui », conclut Juliette. Sa publication a déjà été partagée des milliers de fois, sur Instagram, mais également sur Twitter où elle a été diffusée par d’autres internautes.
Le calvaire de Juliette, née dans une France ensauvagée. Ils s’attaquent à nos filles, nos sœurs, nos mères, nos grands-mères. Et nous laissons faire ? Pardonne-nous Juliette #Lyonpic.twitter.com/rEvT3Pbi2D
Donc: donner le numéro d’un agent de police criminelle, et un Euro pour s’acheter une cigarette.
Ou bien mettre la main aux testicules et serrer très fort, comme pour casser 2 noix l’une contre l’autre.
On continuera encore longtemps à parler d’enrichissement grâce à la racaille importée mais personne n’entendra plus parler de Juliette.
Et la douloureuse du dentiste pour des fausses dents, ce n’est pas bénin! Mon dentiste qui est celui d’un psychiatre sexologue W.P. très connu, m’a gratifié d’un coup d’instrument très violent et volontaire, juste pour finir par me fendre les deux incisives comportant déjà deux petites cassure résultant des imbécilités des assistants des HUG avec l'”entubage” nécessité par une opération. Encore des as de la médecine vétérinaire recyclés. Ces cornichons devraient s’associer pour demander au psychiatre une thérapie de groupe, parce que le dentiste doit avoir de moins en moins de clients avec de telles méthodes et des tarifs un peu trop gonflés comme sa fausse science.
Les jeunes, par principe plus idéalistes que leurs aînés, sont plus souvent les victimes de ces cancrelats.
Ils vont se réveiller, ils se réveillent d’ailleurs. En un an mon fils aîné a modifié certaines de ses convictions.
De toute façon l’inéluctable est en marche. Les pouvoirs publics démissionnaires et désinvoltes envoient désormais les farces de l’ordre sur notre réseau routier où il est plus aisé d’appliquer la sanction pécuniaire au pauvre contribuable qui bosse, lui, ou celui qui ne porte pas de masque (une aubaine ce Covid !) que d’aller où il faudrait vraiment passer le Karsher promis que nous n’avons jamais vu.
Le seul rempart, des milices privées qui se constitueront parmi les riverains et habitants excédés. Si la guerre civile n’a pas éclaté d’ici là.
La force est la seule mesure à leur appliquer, ils en comprennent que cela; aidons-les à comprendre.
Allez voir si en Corse une fille de 19 ans se serait fait tabasser ainsi.
Ça se serait terminé au pire avec l’auteur la bouche pleine de terre et 50 kgs de chaux-vive sur le ventre. Sans que personne n’y trouve à redire.
Au mieux avec l’obligation de manger à la paille pour le restant de ses jours.
A méditer.
Pauvre jeune fille, victime de la lâcheté des politiques, de notre propre lâcheté à nous qui avons laissé élire des êtres ineptes, veules et pervers et leur avons confié des pouvoirs régaliens dont ils sont indignes.
“Mobilisez-vous pour faire en sorte qu’une gamine étudiante de 19 ans n’ait plus à vivre ce que je vis aujourd’hui “. Hélas, Juliette, ce ne sont pas les salauds bien-pensants et les médias propagandistes qui les servent qui se mobiliseront, ils feront tout pour étouffer le crime. Ce n’est pas non plus une majorité d’anciens citoyens assujettis par des années de propagande qui se mobiliseront. Tu n’auras, Juliette, qu’une poignée de dissidents patriotes pour agir et te défendre. Quand ces patriotes seront résolus à combattre autrement qu’avec des mots. Que cela advienne vite, il est encore temps !
Non Juliette, tu es juste du butin. Cela n’a rien à voir avec du harcèlement de rue mais avec des écrits compilés dans des livres maudits. Les femmes et les filles de l’ennemi sont du butin, c’est une constante en « droit de la guerre », surtout dans une frange (fange?) cultuelle qui justifie cela par des écrits « « divins » ». C’est tout. Tu n’as pas compris que nous étions en guerre, c’est tout.
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#Lyon pic.twitter.com/rEvT3Pbi2D
Donc: donner le numéro d’un agent de police criminelle, et un Euro pour s’acheter une cigarette.
Ou bien mettre la main aux testicules et serrer très fort, comme pour casser 2 noix l’une contre l’autre.
On continuera encore longtemps à parler d’enrichissement grâce à la racaille importée mais personne n’entendra plus parler de Juliette.
Et la douloureuse du dentiste pour des fausses dents, ce n’est pas bénin! Mon dentiste qui est celui d’un psychiatre sexologue W.P. très connu, m’a gratifié d’un coup d’instrument très violent et volontaire, juste pour finir par me fendre les deux incisives comportant déjà deux petites cassure résultant des imbécilités des assistants des HUG avec l'”entubage” nécessité par une opération. Encore des as de la médecine vétérinaire recyclés. Ces cornichons devraient s’associer pour demander au psychiatre une thérapie de groupe, parce que le dentiste doit avoir de moins en moins de clients avec de telles méthodes et des tarifs un peu trop gonflés comme sa fausse science.
Les jeunes, par principe plus idéalistes que leurs aînés, sont plus souvent les victimes de ces cancrelats.
Ils vont se réveiller, ils se réveillent d’ailleurs. En un an mon fils aîné a modifié certaines de ses convictions.
De toute façon l’inéluctable est en marche. Les pouvoirs publics démissionnaires et désinvoltes envoient désormais les farces de l’ordre sur notre réseau routier où il est plus aisé d’appliquer la sanction pécuniaire au pauvre contribuable qui bosse, lui, ou celui qui ne porte pas de masque (une aubaine ce Covid !) que d’aller où il faudrait vraiment passer le Karsher promis que nous n’avons jamais vu.
Le seul rempart, des milices privées qui se constitueront parmi les riverains et habitants excédés. Si la guerre civile n’a pas éclaté d’ici là.
La force est la seule mesure à leur appliquer, ils en comprennent que cela; aidons-les à comprendre.
Allez voir si en Corse une fille de 19 ans se serait fait tabasser ainsi.
Ça se serait terminé au pire avec l’auteur la bouche pleine de terre et 50 kgs de chaux-vive sur le ventre. Sans que personne n’y trouve à redire.
Au mieux avec l’obligation de manger à la paille pour le restant de ses jours.
A méditer.
Pauvre jeune fille, victime de la lâcheté des politiques, de notre propre lâcheté à nous qui avons laissé élire des êtres ineptes, veules et pervers et leur avons confié des pouvoirs régaliens dont ils sont indignes.
“Mobilisez-vous pour faire en sorte qu’une gamine étudiante de 19 ans n’ait plus à vivre ce que je vis aujourd’hui “. Hélas, Juliette, ce ne sont pas les salauds bien-pensants et les médias propagandistes qui les servent qui se mobiliseront, ils feront tout pour étouffer le crime. Ce n’est pas non plus une majorité d’anciens citoyens assujettis par des années de propagande qui se mobiliseront. Tu n’auras, Juliette, qu’une poignée de dissidents patriotes pour agir et te défendre. Quand ces patriotes seront résolus à combattre autrement qu’avec des mots. Que cela advienne vite, il est encore temps !
Non Juliette, tu es juste du butin. Cela n’a rien à voir avec du harcèlement de rue mais avec des écrits compilés dans des livres maudits. Les femmes et les filles de l’ennemi sont du butin, c’est une constante en « droit de la guerre », surtout dans une frange (fange?) cultuelle qui justifie cela par des écrits « « divins » ». C’est tout. Tu n’as pas compris que nous étions en guerre, c’est tout.