La « masculinité toxique» en Occident a rendu l’homme moderne émasculé

Black Pigeon

https://www.youtube.com/watch?v=6-266bADD-M

A Tokyo, une des plus grandes villes du monde, l’évolution est encore plus marquée qu’en Occident et l’homme tend à perdre sa virilité.

(Sauter la pub et passer à 3:00.)

Il y a au Japon 37,8 millions d’habitants et nulle part au monde il y a autant de déséquilibre entre les sexes.

Cela se mesure dans l’industrie du cinéma porno, qui est une industrie très florissante au Japon avec 40'000 films par année. Pour 10'000 actrices, il y a 77 hommes acteurs, dont le plus vieux a 85 ans. Il a écrit une fois pour plaisanter : il reste moins d’hommes dans mon domaine que de tigres du Bengale.

Comme en Occident, les jeunes gens ont de moins en moins de relations sexuelles. En décembre 2018, le magazine Atlantic a parlé de « récession sexuelle » :
https://www.theatlantic.com/membership/archive/2018/11/whats-causing-the-sex-recession/575890/

Voir aussi en français :
https://madame.lefigaro.fr/societe/sexe-les-trentenaires-ont-de-moins-en-moins-de-rapports-010219-163445
https://www.elle.fr/Love-Sexe/News/Il-parait-que-nous-ne-ferons-plus-l-amour-en-2030-MAIS-pourquoi-3787716

Les jeunes commencent leur activité sexuelle plus tard et ont des relations moins fréquentes que les générations précédentes. C’est une sorte d’épidémie de manque de virilité, qui a des répercussions sur les naissances, et simplement sur les relations entre les gens. Cela a un impact profond sur notre culture, notre civilisation. Pourquoi l’accouplement est-il abandonné, par quelles forces les hommes sont-ils poussés au Japon et en Occident pour en arriver là ? Quelles sont les conséquences que nous laissons à la postérité ?

Diverses raison sont évoquées. Notamment, une société hostile et un système juridique qui ne rend pas compte des problèmes des hommes et les pénalise. Pour une relation avec une femme qui est ratée après une brève liaison à cause d’un mauvais choix, les sanctions peuvent durer toute une vie. De ce point de vue, il n’y a aucun intérêt à entrer dans une nouvelle relation qui ressemble à une piège tendu par le système juridique.

Une nouvelle jeunesse a émergé avec ces paramètres : « l’homme herbivore ».

Ces jeunes hommes n’ont aucune envie d’avoir une petite amie ou de se marier. Ils ont perdu leur virilité, leur libido, beaucoup d’entre eux n’ont que très peu d’intérêt pour le sexe.

Et si l’homme herbivore a perdu sa virilité, sa masculinité, c’est pour beaucoup à cause des persécutions féministes sur le thème de la  « masculinité toxique».

Le Daily Wire a parlé d’une expérience faite par quatre reporters travaillant à l’époque pour Buzzfeed, qui, voulant savoir lequel d’entre eux était le plus sexy, ont testé aussi leur niveau de testotérone : https://www.dailywire.com/news/buzzfeed-guys-test-their-testosterone-levels-amanda-prestigiacomo. Résultat : ils avaient le niveau de testostérone d’un vieillard de 85 ans, ce qui signifie moins de poils sur le corps, moins de muscles, moins de libido. On surnomme ce genre d’hommes les mâles beta, ou soyboys. Comme l’écrit Neil Howe, ils ne sont plus l’homme que leur père était.

Depuis 1980, il y a une baisse constante de la testostérone. Le nombre des spermatozoïdes est en baisse, la force musculaire aussi, les squelettes des jeunes hommes sont plus minces. Les effets s’en font sentir non seulement sur les relations entre hommes et femmes, mais sur la société elle-même, selon l’hypothèse émise par Roy Barzilai dans son ouvrage : The Testosterone Hypothesis: How Hormones Regulate the Life Cycles of Civilization (voir ce compte rendu par Jake Depew).

La confusion des rôles et le refus d’avoir des enfants ont des répercussions profondes pour le futur.

Le crash de la civilisation serait évitable, si le dialogue pouvait se rétablir. Il faut changer de paradigme, quitter celui de la masculinité toxique.

Ce qui est toxique, c’est ce que promeuvent les théoriciens du genre, toutes les idéologies qu’ils ont répandues ces dernières décennies. Des idées similaires à ces théories du genre se retrouvent dans le communisme, le maoïsme, et doivent toutes être mises dans les poubelles de l’histoire. Ou alors nous continuons dans la même direction, celle où nous mène cette confusion que nous avons créée. À nous de choisir.

Résumé et liens : Cenator

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Wikipedia: Masculinité toxique

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Jordan Peterson sur le genre et la soi-disant « masculinité toxique »

le 07/03/2018

Par Clémentine Jallais (Reinformation.tv)

Le débat sur les armes à feu, semi-automatiques ou pas, permises ou interdites a monopolisé encore une fois l’attention médiatique aux États-Unis, après la dernière fusillade de masse, celle de Parkland, en Floride, où un jeune homme — encore un — de 19 ans a tué à bout portant dix-sept personnes dans le lycée dont il avait été évincé l’année précédente. Pour tenter d’esquisser quelques explications à un tel phénomène, différentes pistes ont été explorées comme l’addiction aux psychotropes, fléau américain réel. D’autres ont visé plus haut, comme le psychologue bien connu des réseaux sociaux, Jordan B Peterson, l’homme aux 40 millions de vues sur YouTube (avec des conférences !)… Au-delà de facteurs plus visibles, il pointe le monde moderne et ses vides destructeurs — et pas la masculinité toxique dont le féminisme va affubler ces nouveaux tueurs.

Fusillades de masse : « Parce qu’ils sont nihilistes et désespérés »

Comment ces jeunes garçons, car le tueur de Parkland est loin d’être le seul de son espèce, en viennent à commettre l’irréparable, tant pour les autres que pour eux ? ! « Parce qu’ils sont nihilistes et désespérés », a répondu Jordan B Peterson, interviewé sur Fox News.

La vie peut vous faire rendre comme ça, sauf si vous avez un but et un destin, » a-t-il déclaré au journaliste. « Il n’y a pas de pénurie de souffrance et de malveillance dans la vie, il est facile pour les gens de devenir aigris par cette réalité. Et s’ils ne voient pas le chemin à suivre, ils en conçoivent de la colère et finissent par se retourner contre la vie elle-même. »

« Ils font étalage de leur haine de l’être en massacrant les innocents. C’est ce qui se passe — et ils l’écrivent », a-t-il ajouté, se référant aux manifestes laissés par un certain nombre de jeunes tueurs. Et le phénomène est empiré via l’émulation générée par le foisonnement médiatique, « parce qu’une partie de ce qui les motive est la motivation pour la notoriété » : « La notoriété vaut mieux que d’être ignoré »…

Les jeunes hommes sont les premiers à souffrir

Rejoignant l’avis des conservateurs, le débat sur les armes est pour lui un faux débat et surtout pas la cause profonde de ce phénomène grandissant des tueries de masses, propres, tout particulièrement, à la société américaine. Les jeunes hommes et les moins jeunes mais surtout les premiers n’ont plus de direction de leur vie, plus de raison à leur existence — parce que les questions philosophiques et religieuses ont été volontairement éludées.

Ce n’était pas le cas des générations précédentes, où les mots « responsabilité » et « but » avaient encore un sens. Où la volonté de faire quelque chose de sa vie, à travers sa famille et la communauté, malgré la souffrance et le mal indissociablement liés à la vie d’ici-bas, était le cas de la majorité.

Les jeunes hommes sont les premiers à souffrir de ce changement profond. Peut-être parce que la maternité protège en quelque sorte les femmes et puis surtout parce que le féminisme tend à rogner depuis des décennies la nature masculine qu’elle prétend dominante — et écrasante.

La masculinité toxique : ce concept de gauche

Pour autant, on ne parlait pas il y a cinquante ans, de « masculinité toxique »… ! Et on ne venait pas tirer dans les écoles…

Oui, ce sont de jeunes garçons qui commettent ces carnages et non pas des jeunes femmes, comme le soulève le journaliste de Fox News. Mais « parce que les garçons sont plus agressifs que les filles » répond Peterson ! « Il y a une composante biologique qui est assez forte. C’est pourquoi la grande majorité des personnes en prison sont des hommes. Bien que l’homme et la femme soient presque aussi agressifs, les personnes les plus agressives sont presque toutes des hommes ».

Mais ça, les « constructivistes sociaux postmodernistes » le nient, cherchant à faire disparaître cette donnée qui remet en cause encore une fois l’égalité parfaite qu’on veut faire advenir entre les hommes et les femmes. Cette agressivité supérieure est une toxicité dont il faut départir la gent masculine. Ce faisant, on commet la lourde erreur de « confondre la compétence masculine avec la tyrannie »…

Une idée « absolument terrible » pour Peterson, car, sous le prétexte que « notre culture est un patriarcat corrompu et tyrannique dirigé par des hommes à l’avantage des hommes », on va engendrer des hommes-enfants irresponsables, non compétents et faibles, dont la violence vengeresse, quand elle sort, peut se révéler inhumaine.

Le public « en besoin » de Jordan B Peterson

Et on voit bien que la parole de Peterson touche juste, lorsqu’on voit le nombre, l’âge et le genre des abonnés à ses conférences YouTube : environ 80 % de son auditoire sont des hommes et de jeunes hommes. Désillusionnés, en colère, frustrés, poursuivis par des idées suicidaires, dépendants à la pornographie, ils sont à la recherche d’un ordre de vie qui corresponde à leur nature, loin des lubies du violent féminisme moderne qui veut faire d’eux des « flocons de neige émasculés » comme le disait un journaliste du New York Post.

Son dernier ouvrage, 12 Rules for Life : An Antidote to Chaos (Douze règles de vie comme antidote au chaos), figure au top 10 des ventes aux États-Unis, en Grande-Bretagne et au Canada : c’est dire le besoin.

Oui, la nature masculine a bien des pulsions, qui doivent être reconnues comme telles, actées et non pas niées, et donc rendues éminemment positives — c’est la richesse de l’homme. Mais le genre veut brouiller les cartes.

Si l’on y ajoute à cela le relativisme moral total et l’individualisme dévastateur, le nihilisme et la désespérance qui président à notre postmodernité, résolument éloignée des repères et des principes chrétiens, il n’y a pas lieu de s’étonner que le chaos s’en suive — à des degrés divers.

source: https://www.cqv.qc.ca/jordan_peterson_sur_le_genre_et_la_soi_disant_masculinite_toxique

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Et voici un  produit pur sucre du marxisme culturel et bien sûr féministe.

https://www.youtube.com/watch?v=12cYYj41kN8

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Virginie Vota: LA THÉORIE DU GENRE DÉMONTÉE EN 13 MINUTES...

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La masculinité toxique par un(e) trans:

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RTS/ 19h30 / 2 min. / le 3 octobre 2018: MeToo, une année après. Un mouvement qui marque la prise de conscience mondiale sur les abus subis par les femmes.
Le mouvement #MeToo fait face à une opposition sans précédent, principalement aux Etats-Unis. Les accusations contre le juge Kavanaugh ont provoqué une réaction de défense des conservateurs. La victime désormais, "c'est l'homme blanc".

"C'est une époque vraiment terrifiante pour les jeunes hommes en Amérique", lançait mardi Donald Trump devant les médias. "Vous pouvez être coupable de quelque chose dont vous n'êtes pas coupable."

Avec une telle déclaration, le président américain renouvelle non seulement son soutien à Brett Kavanaugh, candidat à la Cour suprême accusé par une femme de tentative d'agression sexuelle dans les années 1980.

>> LireLe candidat de Donald Trump à la Cour suprême accusé d'agression sexuelle

Mais il participe également à la contre-attaque des républicains dans cette affaire, et plus globalement face au mouvement #MeToo. Car selon les conservateurs, l'homme blanc est désormais une victime à laquelle on refuse la présomption d'innocence. Un argument déployé massivement depuis l'audition du magistrat jeudi dernier devant la commission judiciaire du Sénat américain.

Les républicains craignent pour leurs frères et pères

"Ma famille et ma réputation ont été détruites à jamais", affirmait alors avec véhémence Brett Kavanaugh, se posant en victime.

Je suis un homme blanc et célibataire et on me dit de me la fermer!

Lindsey Graham lors de l'audition du juge Brett Kavanaugh. [Tom Williams - AP/Keystone]

Lindsey Graham, sénateur républicain

"Je suis un homme blanc et célibataire de Caroline du Sud et on me dit de me la fermer. Mais je ne vais pas me la fermer si c'est OK", déclarait de son côté le sénateur Lindsey Graham, un des plus fervents soutiens du juge conservateur.

Alors que le mouvement #MeToo prie les citoyens de croire leurs soeurs, leurs épouses, leurs filles, les républicains disent craindre pour leurs fils, frères ou pères.

"J'ai des garçons et des filles, et quand je vois ce qui se passe, ça me fait peur", confiait lundi Donald Trump Jr, fils du président et père de cinq enfants, ajoutant que c'est pour ses garçons qu'il s'inquiétait davantage. Une rhétorique également développée par les relais médiatiques du président, telle la chaîne Fox News.

La "male rage" pour attirer des électeurs

Jusqu'à présent, on considérait que le populisme se basait sur les inégalités économiques et les différences ethniques pour gagner des électeurs. L'affaire Kavanaugh met en exergue un nouveau facteur: la haine masculine, ou la "male rage", analyse dans le Financial Times Gideon Rachman.

L'éditorialiste britannique rappelle que les politiciens de la droite dure américaine ne sont pas les seuls à user de ce discours pour séduire. Et de citer les déclarations misogynes du président philippin Rodrigo Duterte, du candidat à l'élection brésilienne Jair Bolsonaro ou du ministre italien Matteo Salvini. Une rhétorique qui aurait pour but d'envoyer un appel aux électeurs masculins qui se sentiraient menacés face à une éventuelle perte de pouvoir et de statut.

Pourquoi cette réaction de la part de certains hommes? Pour Martha Nussbaum, professeur de droit et de philosophie à l'Université de Chicago, plusieurs émotions jouent un rôle dans cette attitude. Dont la colère envers ces femmes qui portent des accusations à l'encontre de puissants, un bastion masculin avant #MeToo, écrit dans le Washington Post la chercheuse. Ainsi que la jalousie face aux politiques de discrimination positive et à la réussite des femmes.

Ce discours "pro-homme blanc" sera-t-il payant dans les urnes? Aux Etats-Unis, le prochain test est prévu dans cinq semaines avec les élections de mi-mandat.

Tamara Muncanovic

Les explications de Nathalie Ducommun dans le 19h30


lien vers les vidéos RTS: https://www.rts.ch/info/monde/9889963-face-a-metoo-la-crainte-grandissante-des-hommes-blancs-aux-etatsunis.html

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Pour l'invité de la RTS, il n'y a pas de crisse de la masculinité, par contre, il y a une crise d"Eric Zemmour".

RTS: L'homme est-il en train de devenir une femme comme une autre?

Modifié le 8 mai 2019

L'invité de La Matinale (vidéo) - Francis Dupuis-Déri, professeur de science politique / La Matinale / 11 min. / le 8 mai 2019

La virilité est-elle en danger face à la vague triomphante de certains mouvements féministes? Invité de La Matinale RTS, le chercheur canadien Francis Dupuis-Déri déconstruit la "crise de la masculinité" dans son dernier essai.

Pour le professeur en science politique à l’Université du Québec à Montréal, les complaintes masculines face aux revendications féminines n’ont pas attendu les dernières décennies pour éclore. De l'écrivain et homme politique Caton l’Ancien, en 195 avant J.-C., au polémiste français Eric Zemmour, les hommes se sont toujours dit en crise. "C’était une de mes grandes surprises. Mes recherches, surtout à partir des 15e et 16e siècles, m’ont permis de découvrir que les hommes sont régulièrement en crise de la masculinité. Ils estiment que les femmes prennent trop de place, qu’il n’y en a plus pour les hommes".

Ce phénomène n’a pas de frontière à en croire Francis Dupuis-Déri: "Les études montrent que partout sur la planète, y compris dans les trois grandes religions, mais aussi en Amérique latine, au Maghreb, en Asie, on entend ce discours. Je pense que ça jette vraiment un doute sur ce type de propos, qui m’apparaît comme rhétorique".

"Ridicule, risible et dangereux"

"Il faut bien le dire, le discours de la crise de la masculinité est tout à la fois ridicule, risible, absurde et faux, scandaleux et dangereux", tranche sans fioritures le politologue canadien.

Et de préciser ses dires: "C'est ridicule et absurde, car lorsqu'on remonte dans le temps et qu'on analyse nos sociétés prétendument égalitaires, on se rend compte que c'est loin d'être le cas. On entend souvent ces plaintes au travail, ou dans l'économie. Mais si on observe bien, les personnes prenant des décisions économiques sont majoritairement des hommes".

Francis Dupuis-Déri souligne que ces discours de crise de la masculinité sont scandaleux et dangereux, car en réalité ce n'est pas un discours psychologique ou purement émotif d'une sensibilité masculine.

"Ça vise les femmes qui essaient de vivre la vie qu'elles veulent et qui ne se conforment pas à la place qu'on veut les voir occuper dans la société. C'est une façon de leur dire: 'restez à votre place, laissez-nous nos prérogatives, sinon on fait une crise'. Je trouve que c'est un peu puérile comme réaction".

Grève du 14 juin

Interrogé sur la grève des femmes du 14 juin prochain en Suisse, en particulier sur la question de laisser les hommes de côté durant la manifestation, Francis Dupuis-Déri tempère le débat: "C'est la non-mixité choisie, ce sont les mouvements de femmes. Tous les mouvements sociaux ont des moments de ce type. Par exemple, on n'invite pas le patron aux réunions syndicales, on le voit plus tard. Mais la grève ne dure qu'une journée, cela peut permettre aux hommes de prendre le temps de réfléchir à ce qu'ils pourraient faire pour favoriser l'égalité et la liberté des femmes.

Propos recueillis par Ludovic Rocchi

Source e l'en vers la vidéo: https://www.rts.ch/info/suisse/10418376-lhomme-estil-en-train-de-devenir-une-femme-comme-une-autre.html

2 commentaires

  1. Posté par XM855 le

    Je partage également le point de vue de “LeVérificateur”. Il est difficile aujourd’hui de rencontrer une femme qui est prète à se “laisser” séduire. Les Suissesses sont particulièrement passives, voir même totalement refractères. Je suis pas surpris que près de 1 mariages sur 2 sont avec un-e-ee-z étranger-s. Bon 1er Aout à vous tous!

  2. Posté par LeVérificateur le

    “Ces jeunes hommes n’ont aucune envie d’avoir une petite amie ou de se marier.”
    Ils savent aussi que de protection sur le long terme, le mariage est devenu juridiquement un piège mortel pour les hommes.
    Quant aux femmes, avez-vous remarqué (même en étant plutôt bien de sa personne) comment il est difficile d’échanger des regards amicaux dans la rue avec “nos” femmes. Je dis “nos” femmes, parce qu’il y a des pays, même en Europe (par exemple l’Espagne) où les femmes ne se comportent pas dans la rue comme si elles étaient toutes des réincarnations de la reine de Saba.

Et vous, qu'en pensez vous ?

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