Defund la RTS ! Comment faire taire notre ministère de la propagande?

La question lancinante suivante revient chaque fois que nous entendons ou voyons une émission de la RTS: Comment faire taire notre ministère de la propagande?

En lisant l’article « … Quand le Service public devient une boîte à ragots anti-Trump... une double becquée gauchiste ... », nous nous sommes souvenus de la réaction du peuple hongrois en 2006, lorsqu’il a pris d’assaut le bâtiment de sa tv-propagande.

Que faire contre la toute-puissance de la RTS, contre la diffusion à flot continu de sa propagande éhontée de gauche qui désinforme, culpabilise et abrutit la population, tue la liberté à petit feu en imbibant insidieusement nos cerveaux et met finalement en danger la survie même de notre pays ?
Que leurs émissions suscitent en nous, la colère ou le désespoir, nous nous demandons après chacune d'elle : Que faire pour mettre fin à la propagande sans limite, à la diffusion de tous ces mensonges ?

Rêvons pour une seconde que la foule scande par dizaines de milliers devant la RTS : « Gultas dégage!, Rochebin, dégage! » « Marchand démission ! » « Bacharan, fous le camp ! » « Mort aux sévices publics, Defund la RTS ! »

Combien de personnes en Suisse romande en ont-elles assez au point de vouloir manifester pour que cela cesse ?

Irréaliste? Pourtant, c'est ce qui s'est passé en Hongrie, en 2006, lors d'une révolte contre le service public, tant les gens en avaient assez de la propagande communiste et des mensonges du gouvernement socialiste en place.

Voici en quelques mots ce qui s'est passé lors du siège du bâtiment de la première chaîne TV hongroise, M1tv, la chaîne la plus regardée à l’époque, qui était encore aux mains des communistes.

L'élément déclencheur a été la diffusion d'une conversation enregistrée en secret, lors d’un congrès à huis clos des membres socialistes du parlement hongrois (MSZP). Dans cette audio, le premier ministre socialiste Gyurcsány avait dit : « Bien sûr, il y aura des manifestations, mais ils vont se fatiguer et rentrer à la maison ». Gyurcsány avait également reconnu qu’ils avaient menti au peuple, du matin au soir, durant les quatre ans qu'ils étaient au pouvoir, sans rien accomplir de positif.

Après la diffusion de l'enregistrement, des manifestations spontanées ont éclaté dans plusieurs villes.

À Budapest, Làszlo Toroczkai avait exigé, au moyen d'une pétition au service public hongrois, que ce dernier respecte le devoir de neutralité et cesse d’abreuver la population de sa propagande marxiste.

Làszlo Toroczkai était militant  du parti Jobbik, puis maire de Asotthalom, à la frontière sud de la Hongrie. Il a activement défendu les frontières de son village en 2015, et il est cofondateur du mouvement politique « Notre patrie ». Nous avons parlé de lui à plusieurs reprises, comme ici, ici et ici.

Lors de la manifestation à Budapest, Toroczkai a exigé de pouvoir accéder au micro de la chaîne M1tv, afin que sa pétition soit lue en direct à l’antenne, mais sa demande n’a pas été entendue et la chaîne n’a même pas daigné répondre.

Devant ce mépris, Toroczkai a invité les manifestants à se rendre devant la M1tv pour être entendu. Les images se sont répandues sur les réseaux sociaux et, comme un feu de poudre, une dizaine de milliers de personnes ont afflué devant la TV. En peu de temps, la police a été dirigée massivement sur place tandis que le bâtiment de M1tv a été spontanément assiégé par les manifestants. Ceux-ci ont exigé, d’abord uniquement verbalement, que le service public respecte la pluralité d’opinions et que le gouvernement socialiste démissionne. Mais la situation a rapidement dégénéré, la violence de la foule montant en symétrie avec celle de la police.

La bataille qui s’en est suivie est visible sur les vidéos ci-dessous. La police a matraqué les manifestants, frappant parfois même à la tête. Un journaliste a eu des os brisés, et 113 policiers ont été blessés. Le pouvoir en place a envoyé des renforts de police et des groupes d’élite formés pour contrer les émeutes. Le canon à eau a été utilisé contre la foule, qui a néanmoins réussi à franchir le cordon de police et à repousser les forces de l’ordre.

La police a improvisé une petite infirmerie qui prodiguait indifféremment des soins  aux manifestants et aux policiers blessés. Après les soins, chacun reprenait sa place dans la bataille. Les affrontements ont duré plusieurs heures. Finalement, trois canons à eau ont été utilisés, en alternance avec des lancements de bombes lacrymogènes. Mais à chaque fois, la foule a eu le dessus et a finalement réussi à pénétrer dans le bâtiment de la TV.

Par rage, en réaction à l’entêtement de la police, la foule a incendié des voitures, lancé, contre la police et le bâtiment, pratiquement tous les pavés se trouvant sous leurs pieds. Transformant par là, sous la pluie, le champ de bataille en un champ de boue, où les voitures de police et les camions de pompiers se sont embourbés les uns après les autres. Une église protestante a fait sonner ses cloches durant la bataille, ce qui en rajoutait à l'ambiance déjà révolutionnaire.

Les manifestants scandaient: « La révolution ! » « Putains de communistes ! », « Médias libres ! », « Traîtres à la patrie », « Ria, Ria, Hungaria! » « Orban retour! » et ont entonné l’hymne de la Grande Hongrie, composé en souvenir du dépeçage du pays par le Traité du Trianon (László Attila : Székely Himnusz).

Des voitures appartenant aux notables de la télévision ont été incendiées. Quelques manifestants étaient venus avec des tournevis et ont démonté consciencieusement plusieurs véhicules de la M1tv... jusqu’à la plus petite pièce possible. Les drapeaux de l'UE ont été arrachés, mis en feu.

L’énorme porte principale du bâtiment a pris feu, lors de l'explosion des réservoirs des voitures. Les manifestants ont aidé la police à éteindre le feu puis ils ont dirigé le jet des lances contre la police.

Finalement, peu avant l’aube, la police a abandonné la cause et des négociations ont pu commencer. Comme plus rien ne fonctionnait dans les studios (les journalistes avaient fui et les dirigeants-fonctionnaires avaient été exfiltrés par la police), c’est avec le micro d’une voiture de police embourbée que Toroczkai a pu diffuser la fameuse pétition et proclamer urbi et orbi ses exigences de changements.

Le bâtiment a subi des dégâts dans le hall d’entrée, des barricades ont été dressés avec le mobilier.
Au petit matin, les manifestants se sont installés, côte à côte avec les policiers, dans les fauteuils. Étant tous épuisés, ils ont regardé sur les écrans géants la seule tv de l'opposition de l'époque, tout en sirotant des boissons du restaurant du personnel de la M1tv. À neuf heures, il y avait encore quelques centaines de manifestants.
Aucun employé de la M1tv n'avait été blessé mais 50 manifestants ont eu besoin de soins.

Parallèlement à ces manifestations devant M1tv, il s’est déroulé, durant plusieurs jours, une autre manifestation exigeant la démission du gouvernement de gauche.

Le point culminant de ces jours-là a été la démolition du dernier monument communiste ayant survécu au changement de régime de 1989 : le mémorial dédié aux soldats soviétiques sur la place des Héros au cœur de Budapest. Un drapeau de l'UE a également été brûlé. Depuis, le monument pour le soldat soviétique a été restauré et cohabite pacifiquement avec les autres monuments.

Quatre ans de procès ont suivi ces événements, avec des tracasseries sans fin et l’ostracisation de certaines personnes, qui ont laissé des traces. C’est un fait constatable également en Hongrie que lorsque les gauchistes mettent leurs petits camarades aux postes de juges, même si la gauche n'est plus au pouvoir, la justice reste encore longtemps biaisée.
Le manifestant le plus lourdement condamné (des années de prison) est un policier, qui avait commis l’impardonnable : il avait changé de camp, en participant à la révolte du côté des insurgés.

En Hongrie, cette révolte est considérée comme étant le deuxième changement de régime après le départ des soviétiques en 1989.

Depuis que ces dizaines de milliers de Hongrois ont crié leur ras-le-bol, Orban a gagné toutes les élections. Et le paysage médiatique (tv, radio, presse, online) s’est équilibré, (voir bilan sur la situation des médias) même si la majorité des médias sont maintenant aux mains des gauchistes (et de Soros) et que les télévisions et les sites les plus regardés (téléréalité, people, scandales) sont de gauche.

En Occident, les médias ont parlé  de « hooligans », de vandalisme gratuit, d’« agitations » (Wikipédia), de chahuts, minimisant l’importance des événements.
La Hongrie a parlé d’une mini-révolution, et encore maintenant, tout le monde appelle cela le « Siège de M1tv ».
Bien sûr, pas un mot n’a filtré dans les médias occidentaux concernant les exigences de la pétition.

La siège de la M1tv, László Toroczkaie négocie, pétition en main, avec la police. Photo: Alfahír.hu

*

Pouvons-nous tirer une leçon de tout cela?

Oui, il faudrait mettre en place un processus incontournable qui obligerait la RTS à lire à l’antenne, dans une heure de grande écoute, tout rectificatif justifié d’informations fausses ou tendancieuses… ces rectificatifs étant eux-mêmes soumis à un droit de réponse incontournable afin de contrer des réponses formelles, tendancieuses, malhonnêtes.

Le but d'un tel processus lourd serait d’obliger tout journaliste, payé par la redevance obligatoire, de se limiter à diffuser des informations vérifiées ET de s’interdire de donner des leçons aux auditeurs captifs.

Dans ce genre de situation, les Hongrois ont quelques longueurs d’avance sur l'Europe occidentale. Ils ont une certaine praxis, une certaine culture en la matière, la Hongrie n’est pas une société multiculturelle, le patriotisme est cultivé depuis l’enfance et ils ont une mentalité moins conciliante que les Suisses.
Lors de la révolution de 1848 contre la domination des Habsbourg, le premier pas a été l’occupation de l’imprimerie Landerert, et lors de la révolution de 1956 contre le pouvoir communiste, le bâtiment de la Radio a été occupé par les insurgés.

Comment créer une cohésion avec une population totalement atomisée ? Sans une culture patriotique partagée par tous ? Les manifestants hongrois ont entonné spontanément un chant patriotique venant du cœur ?
En Suisse, nous n’avons plus de chants, ni de culture, qui donneraient le sentiment de faire partie d'un même peuple.

Une réflexion pour contrôler nos Sévices Publics serait nécessaire, au lieu de continuer à les financer sans broncher.
Le pays est en cours de désintégration et, comme des brebis soumises et hypnotisées, la majorité laisse faire cette destruction. Ne rien faire ne fait qu’aggraver la situation de jour en jour.

Cenator

*******

vidéos:*

https://www.youtube.com/watch?v=9v6MNgWxSk4

 

15 commentaires

  1. Posté par farjon thierry le

    Suffit de cesser de payer la redevance pour les faire taire!
    Je le fais depuis plus de 30 ans!
    Jamais payé cette merde!
    Et je suis pas prêt de changer d’avis!

  2. Posté par TwoPackToTheChest le

    La RTS manipule les Suisses depuis plus de 10 ans, à grand renfort de conneries télévisuelles. Les cas les plus flagrants sont présents dans le 1245 et 1930. Dans les semaines qui précèdent une votation importante aux yeux des gauchos, ils mettent le paquet pour discréditer l’opposition à leur idéologie(s). Les moutons qui composent nôtre pays, tombent les deux pieds dans le plat et votent (pour ceux qui le font encore) avec les consignes d’en haut, de la haute… Le peuple n’est pas assez intelligent pour se faire une idée des problèmes par eux-même, les Grands penseurs à Berne nous montrent la voix…. Et bien évidemment quand le résultat des urnes ne plaît pas, on se torche avec… Bienvenue dans la Suisse 2.0. J’invite tous citoyens avec un cerveau entre les deux yeux, de se faire sa propre idée des problèmes et voter en conséquence. Pour ce qui est des poliTIQUEs, vous êtes trop souvent complaisants avec la RTSS, et vous vous faite également régulièrement marcher sur les pieds et piéger pour les journaleux de bas étages.

  3. Posté par miranda le

    “Comment créer une cohésion avec une population totalement atomisée ? Sans une culture patriotique partagée par tous ? Les manifestants hongrois ont entonné spontanément un chant patriotique venant du cœur ?En Suisse, nous n’avons plus de chants, ni de culture, qui donneraient le sentiment de faire partie d’un même peuple.”
    VOILA TOUT EST DIT.

    La question ? Comment la Suisse et beaucoup d’autres pays européens ont pu ne plus faire cohésion au sein de leur pays même? Comme c’est MULTIFACTORIEL, un livre ne suffirait pas à expliquer ce drame car il s’agit bien d’un drame. Et c’est ce drame qui est largement exploité par les esprits globalistes au sein de L’U.E.

    La Suisse est aujourd’hui confrontée à une guerre , comme tous les peuples européens. A celle que lui fait L’U.E. dans sa volonté de déconstruction des nations.

    Aujourd’hui, cette distanciation entre individus va continuer, s’accentuer, parce qu’une organisation européenne ne souhaite plus tenir compte de l’existence des nations et des individus qui la composent. Les nations doivent devenir des “couloirs de passage ou des hôtels
    pour le vagabondage du travail (toutes classes confondues) comme le souhaite ATTALI.

    Cette déconstruction subtile, qui semble se faire “sans violences”, s’apparente pourtant à une guerre puisqu’elle dépossède l’individu de ses repères et lui impose l’entrisme de cultures qui sont très différentes, voire opposées. Cette entrisme se fait sur un mode opératoire équivalent à UNE INVASION.

    Les différentes actions déstabilisatrices exercées par l’U.E. mènent à une perte des repères qui n’ont plus le droit de s’exprimer. Ce qui accentue encore la distanciation entre individus. Chacun doit être dans sa souffrance. Parce qu’exprimer ce désarroi c’ est honteux, inconvenant,
    c’est faire souffrir le nouvel entrant ” pseudo innocent”, dans une société, changeant avec une rapidité EXTREME jamais vue dans l’histoire de l’humanité.

    Autochtones et allochtones n’en sortiront pas indemnes. On ne peut pas jouer impunément avec ce qui constitue un humain et son attachement à ce qui le construit.
    .
    ET ce n’est surtout pas le monde politique et le monde marchand qui auront l’aptitude à aider les humains à se reconstruire après toutes les maltraitances exercées depuis de nombreuses années. Leur but étant la fluidité des flux financiers, marchands et des masses travailleuses.

    ARTE TV nous a offert récemment un document sur une société antique qui présente d’étranges similitudes avec la nôtre . TEOTIHUACAN au mexique n’était ni un royaume, ni un empire, mais une SOCIETE DIRIGEE PAR DES MARCHANDS. Dans ses fondations reposent des milliers de sacrifiés (guerriers peut-être). le peuple était au service de ces marchands. Et un jour le peuple n’a plus supporté la gouvernance de ces marchands et cette fabuleuse cité a brûlé.

    MORALITE : les peuples ne seront jamais satisfaits par la gouvernance des marchands, des faiseurs de dettes, créant des sociétés ou les origines sont bafouées, les besoins quotidiens sous-estimés et la quête spirituelle dédaignée au profit de cultes malsains.

    Cette expérience devrait faire réfléchir nos mondialistes ou globalistes (aux finances apatrides et faiseurs de masses apatrides pour le travail) mais sachant raison garder pour se constituer un lieu de vie stable ou cocon de luxe permanent.

  4. Posté par AntiCon le

    @Christian
    nisoumis explique que le peuple suisse n’évolue pas, mais régresse. De part son manque de courage, par sa lâcheté et sa propension à croire que ses propres “autorités” sont au-dessus des mensonges, et de comportements d’escrocs. Qu’une classe aisée de cette société qui impose des idées et des comportements dans “l’ère du temps”, le fait pour plus d’intérêts et ainsi augmenter son influence et fortune. Et des exemple il y en a tout les jours et de plus en plus. Les “réseaux sociaux” en sont les plus représentatifs car les déviants, les criminels, les tricheurs, les racistes, bref les raclures sont légion sur ce genre de support. Les évènements de ces derniers temps me donne totalement raison. (floyds,traoré en j’en passe)
    Malheureusement, cela va continuer et même s’accélérer, car la rentrée de cet automne sera d’une extrême brutalité pour ceux-là même qui représente cette classe de lâches.
    Tant pis pour eux et pour ceux qui les soutiennent.

  5. Posté par No Billag le

    J’ai voté pour No Billag et j’ai été déçu du résultat. Mais finalement j’ai compris je le peuple Suisse avait voté de manière conservatrice pour le statu quo. Ca ne veut pas dire qu’il apprécie la propagande de gauche tendancieuse, mais il a confiance dans des institutions comme la Poste, les CFF, l’armée, etc., qui lui paraissent solides. La SSR a été considérée comme une telle institution. Même si c’est gauchiste, le Suisse moyen a préféré la stabilité à l’aventure.

    La conclusion que j’en tire c’est que nous devons d’abord conquérir l’état. Une fois que nous aurons le pouvoir nous ferons comme les gauchistes. Nous mettrons des gens à nous à la SSR et nous ferons nous-mêmes notre propre propagande.

  6. Posté par Christian le

    nisoumis, en clair, vous voulez dire quoi au juste ?

  7. Posté par Pierre-Alain Tissot le

    Il faut porter devant la justice les violations manifestes de certains éléments de la concession, par exemple à l’article 4, les journalistes doivent se distinguer en matières de “diversité”, donc aussi de leur diversité politique, alors que la plupart d’entre eux sont à gauche :
    ” Art. 4 Exigences en matière de qualité de l’offre et assurance qualité 1 Les services journalistiques de la SSR doivent satisfaire à des exigences élevées en matière de qualité et d’éthique. Ils se distinguent par leur pertinence, leur professionnalisme, leur indépendance, leur diversité et leur accessibilité.”

  8. Posté par Mike La Menace le

    La meilleure chose a faire dans l immédiat c est tout simplement de ne plus regarder la RTS, la laisser s effondree d elle-même. Tout se trouve sur internet, pour ma part ça fais 5 ans que je ne regarde plus la TV.

  9. Posté par Jean Durand le

    Que faire? J’ai arrêté de regarder le téléjournal après la votation sur No Billag, tellement le manque d’objectivité était flagrant. Je ne m’en porte pas plus mal, même pendant le confinement j’ai brillé par mon absence. J’en parle dans mon entourage, et j’ai réussi à convaincre quelques personnes de faire de même.
    Il devrait y avoir une ou une petite poignée de personnes de droite actives sur les réseaux sociaux pour systématiquement démentir les mensonges propagandistes de la RTSocialo. L’activité de Trump sur Twitter où il est omniprésent est une des causes de son élection, et il n’en rate pas une pour dénoncer les agissements des Fake News Media comme il les appelle.

  10. Posté par OneShot le

    La RTS est le premier pouvoir en Suisse. Elle est dans les mains d’une secte occulte satanique : la franc-maçonnerie (d’où notamment son acharnement à l’encontre du catholicisme, Ecône en particulier). La propagande gauchiste a véritablement commencé il y a environ 50 ans avec l’émission sur mesure “Temps Présent” fondée et produite par le crypto-… Torracinta. Elle désinforme à tours de bras (ne serait-ce que par le choix des sujets traités – évidemment la manière dont ils sont traités – et ceux qui sont dissimulés). Elle n’a de cesse que de dénigrer la Suisse, conformément à l’idéologie franc-maçonne qui milite pour le Nouvel Ordre Mondial et son gouvernement mondial totalitaire (Voyez Rochebin qui sert la soupe chaque année à Klaus Schwab, directeur du WEF, qui vient d’annoncer le Grand Reset pour 2021).

  11. Posté par aldo le

    La télévision SSR-TSR est l’ennemi politique et publique No 1. Et la réalité c’est que maintenant la redevance ne suffit plus à soutenir ses excès partisans et corrupteurs, puisqu’il faut encore par-dessus les subventionner. Ce qui est plus sournois c’est que cet outil qui appartient en premier à l’Etat est devenu la proie de conspirateurs dont nombre de bi-nationaux et de Français qui se le sont approprié à des fins de propagande politique, mais aussi encore plus grave parce que tendant à des enrichissements personnels.

    L’ALARME LA PLUS CONSÉQUENTE DE CETTE SITUATION, NOUS A ÉTÉ DONNÉE INDIRECTEMENT PAR LA PRÉSENCE INSISTANTE ET PROTÉGÉE DE NOMBREUX PÉDOPHILES QUI DEVAIENT EN AVOIR CONNAISSANCE ET POUVAIENT AINSI FAIRE CHANTER LA DIRECTION. https://www.lematin.ch/faits-divers/tribunal-decide-juger-patrick-allenbach-huis-clos/story/24135915?track https://www.rts.ch/info/suisse/1180819-rsr-des-fichiers-pedophiles-punissables-.html https://www.rts.ch/info/suisse/1180820-rsr-la-direction-se-dit-consternee-.html https://egalitedescitoyens.blog.tdg.ch/archive/2013/10/15/pouvez-vous-aider-m-jorge-resende-urgent-merci-248538.html

    C’est beaucoup trop facile comptablement à réaliser notamment avec les co-productions francophones sous-traitées et en jonglant avec l’appropriation des droits d’auteurs. Le copinage a fait le jeu de cette mafia et ses sous-traitants de mèche, qui pillent les budgets pour utiliser pleinement cet outil qui ne leur appartient pas et tout en générant ainsi des profits soustraits aux coûts de l’ensemble. Sans compter qu’avec les co-productions internationales, les frontières sont tout aussi passoires que celle de Schengen et que des investigations judiciaires relèvent d’une impossibilité matérielle, puisque dans les pays francophones les mêmes méthodes se sont imposées à l’insu des population rackettées.

    Et le problème final, c’est que s’il y avait des investigations, on finirait vraisemblablement par constater qu’il y a un nombre considérable de ces profits qui ont passé la frontière et ont été blanchis sous forme de propriétés immobilières personnelles.

    IL Y A DONC BIEN UNE PLACE A PRENDRE DANS UNE TÉLÉVISION ÉQUILIBRÉE ET HONNÊTE, MAIS SANS CETTE CONCURRENCE TOTALEMENT DÉLOYALE DE LA SSR-TSR HYPER-SUBVENTIONNÉE.

  12. Posté par Victoria Valentini le

    Excellent billet de Cenator !
    Je me demande si un OUI à NoBillag aurait changé quelque chose…

  13. Posté par antoine le

    Quelle douce musique à mes oreilles :
    ”’Rêvons pour une seconde que la foule scande par dizaines de milliers devant la RTS : « Gultas dégage!, Rochebin, dégage! » « Marchand démission ! » « Bacharan, fous le camp ! » « Mort aux sévices publics, Defund la RTS ! »”
    Mais ce n’était qu’un rêve !!

  14. Posté par nisoumis le

    Mais qui faire quoi en Suisse? Faut voir la composition ethnique actuelle et cela ne rime pas avec l’éternelle obsession l’udc. Non! Ce sont de nouveaux citoyens assez “respectables” même trop. Ils sont arrivés un peu du partout et la plupart d’entre eux se sont installés grâce aux prédécesseurs. Pas gratuitement évidement. Toujours moyennant des intérêts suisses dans les pays respectives. Ces individus n’ont rien a carrer ni pour leur pays d’origine ni pour la Suisse. Tout ce qui compte: Un boulot a plus de 10000 chf, un villa +éventuellement chalet et un soutien pour les membres de leurs familles / tribus restés dans les pays d’origine pourvu leurs instalation( a leur tour) en Suisse. Et l’administration suisse corrompue et corruptible a délivré de centaines de milliers de permis totalement injustifiés légalement.un seul permis délivrer et dans 10 ans vous aurez une progression géométrique. Par contre la presse suisse a relaté des cas d’éminents scientifiques qui après 20 ans en Suisse ont été obligé de la quitter. Et ainsi les affaires prospèrent pour certains suisses( possiblement de souche) et pour leurs ” partenaires” étrangers mais fraîchement naturalisés ou en cours d’y être. Ça pour les étrangers ” respectables” . Le sujet demandeurs, réfugiés etc l’udc a prouvé déjà ses prouesses , donc nul besoin d’insister quoi que… . ils represent le complément de la première catégorie . Puis il y a les suisses proprement dit qui fin compte sont heureux?( ou juste bons diplomates) de cette diversité et en même temps forcés de pactiser avec l’envahisseur devenu leur voisin et possiblement leur futur patron. Et dans ces circonstances Ada Mara pouvait mettre en doute la spécificité suisse. Mais a tort .il y a encore les paysans suisses qui doivent subir une concurrence déloyale. Dans temps à autre leur résistance se fait entendre par un… Suicide. Etrange prévue de résistance ( la garde meurt mais ne capitule pas) . Faudrait-il réinventer la classe paysanne. Certainement, car c’est là qui se forgent les caractéristiques d’un people. Mais comment vu les ambitions de nos gouvernants de concentrer toute la populace dans des grands machins. L’aglomeration Genève / Montreux fait la preuve , mais pas seulement. Peut-être que l’exemple hongrois sera trop osé pour la Suisse car l’homogénéité hongroise ne peut pas se retrouver en Suisse. Bon il y a encore la bourgeoisie suisse évidemment impliquée dans cette politique. La classe ouvrière? trop insignifiante et trop obéissante. Elle n’a pas la veine française. Bref en Suisse c’est l’argent qui dicte tout. Pour ceux en dehors de tout pouvoir économique ou relationnel les autorités ont mis à point un système de répression concrétisé par des internements abusifs. Les cas sont très nombreux faut-il avoir la volonté de les dénicher. En guise de conclusion probablement la Suisse va perdurer par sa grande et moyenne bourgeoisie/ noblesse qui malgré sa complicité face a l’actuelle politique / propagande ne va jamais croire sincèrement dans ce neo-marxisme ou élever les progénitures dans cet esprit. Pour eux la distinction est claire et nette . Les âneries sont uniquement pour le troupeau.

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