Ce sont des scènes qui vous laissent stupéfaits : Un homme attaque une femme dans un train de banlieue de Berlin. D'abord verbalement, mais ensuite la situation s'aggrave et il la pousse hors du wagon. Une vidéo montre l'agression. L'homme a déjà été identifié.
On peut voir un wagon du S-Bahn presque vide. La séquence commence lorsque l'homme se tient déjà agressivement devant la femme alors que celle-ci s'agenouille par terre à côté d'un chien. Il crie et hurle. Ce qu'il dit n'est pas clair.
Pendant ce temps, la femme essaie de l’éviter, se tenant le bras devant le visage en se protégeant. De plus, elle demande de l’aide aux quelques autres occupants à plusieurs reprises : "Pouvez-vous m’aider ?" Ça semble de plus en plus désespéré.
Un homme arrive et essaie de calmer l'individu agressif - ce qui n’empêche pas celui-ci de continuer à crier.
La femme veut descendre au prochain arrêt. Au moment où elle se tient à la porte, l'agresseur la pousse sur le quai. Ensuite, il la suit et il y a une échauffourée. Cela prend quelques secondes, puis il lâche, et il continue à se tenir sur la plate-forme, en la grondant.
La femme demande à nouveau de l’aide : "Pouvez-vous m'aider s'il vous plait? On me frappe" Alors que des témoins s’occupent d’elle, l’agresseur monte l’escalier à grands pas - loin du quai.
Berlin : Ce qui se passe lorsque certains migrants rencontrent des pacifistes. Les protagonistes ne sont que les produits de leur société d'origine. Le crime est de laisser des cultures très différentes s'affronter par le biais de migrations massives, avec un surplus d'hommes. pic.twitter.com/HMk2XqMYRd
— IceWind (@IceWind86585905) July 1, 2020
https://youtu.be/RYfDNiC1Ewo
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(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)
“Pouvez-vous m’aider ?”
Réponse : Non ! Pour au moins les 3 raisons suivantes :
1. Si tout le monde était comme moi, il n’y aurait pas un seul envahisseur en Europe. J’étais dans le camp des perdants lors d’à peu près toutes les votations cruciales déterminant l’envahissement. Que ceux qui ont voulu se faire envahir par des barbares assument.
2. Aider des victimes agressées est le boulot de la police (l’Etat se prévaut d’avoir le monopole de la violence).
3. Je ne tiens pas à me faire découper en morceaux et que ma tête serve de ballon de football avec, en prime si je ne suis pas mort, de me retrouver handicapé à vie et de me retrouver condamné par une juge pleine de mansuétude pour ce pauvre “Black live matter” victime de la “suprémacie blanche” (du mâle blanc plus exactement).