Bologne. Projet d’art urbain féministe : “La norme hétéro est un concept colonial”

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NdLR : la photo d'article clame que "la norme hétéro est un concept colonial médiocre"

A Bologne "La lotta è fica" ("la lutte est un vagin") avec l'initiative artistique féministe, antiraciste, body et sexe-positive promue par le collectif Cheap :

25 affiches collées sur les murs et les arcades de la rue Indipendenza pour donner une touche de couleur aux combats menés par les femmes, pour les femmes, à travers des œuvres créées par des auteurs et des artistes de rue qui dénoncent la discrimination de genre et la violence domestique.

[...]

Corps et esprit, physique et nu, tabous transgressés, yeux ouverts sur l’univers transgenre dans un ensemble créatif, aux couleurs de l'arc-en-ciel.

 

"Comme ça (si j'ai envie)."

Vingt-cinq dessinateurs, graphistes, peintres, illustrateurs et artistes, utilisant différents supports issus de leur parcours professionnel et personnel, racontent sous différents points de vue les luttes socioculturelles pour la conquête des droits. Tous liés par le trait d'union du transféminisme. Il s'agit de la première exposition en plein air dans la ville après le confinement forcé dicté par Covid-19, conçue et organisée par l'association d'art public "Cheap", née sous la forme d'un festival et fondée par 6 femmes dans la capitale de l'Emilie-Romagne il y a 7 ans.

[...]

Selon l'association "Cheap", "repartir du féminisme n'est qu'un acte de bon sens" pour lutter contre le sexisme et le masculinisme rampants, ainsi que contre le fléau xénophobe."

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Ilmessaggero.it / Frizzifrizzi.it

 

 

2 commentaires

  1. Posté par Chris le

    Avant la société était tout de même plus saine: ce genre de pathologies mentales étaient traitées par des professionnels lors de longues séances de thérapie électrique.

  2. Posté par aldo le

    Je pense qu’en Italie, en plus du Coran0virus, ils ont aussi attrapé le Sida-mental. Ce qui s’explique par la très forte implantation des communistes à Bologne, qui a vu ses industries paralysées par des syndicats et le gros de ses potentiels ouvriers qualifiés devenir chômeurs potentiels, se fabriquer des postes d’intellectuels bidons à travers des multiplications artificielles de Facultés censées s’occuper de problèmes tout aussi bidons. Ce qui encombre de gens inutiles mais à charge des contribuables devenus des fonctionnaires électeurs. Un phénomène qui a fait de l’Italie un pays en voie de sous-développement, devant aussi faire appel à de la main-d’oeuvre étrangère. Ce déplacement des emplois est du même ordre chez nous et va nous précipiter dans une crise permanente en plus du Coronavirus, tombé là juste pour faciliter l’implantation durable des communistes au pouvoir par une endettement organisé.

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