Depuis plusieurs mois, une jeune Tessinoise de 18 ans cherche en vain une place d’apprentissage. Son père, ne sachant plus quoi faire pour l’aider, est prêt à payer la formation de sa propre poche. Une pratique interdite.
Fin mai, seuls 329 contrats d'apprentissage ont été signés au Tessin (soit 12 % de moins que l'année dernière). Durant les premières semaines de juin, une trentaine d'autres se sont ajoutées.
Reste que le marché de l’emploi au Tessin, déjà très tendu avant la pandémie, semble souffrir de la crise du coronavirus.
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Et cela,est la RAISON SUPPLEMENTAIRE pour votez UDC et son INITIATIVE pour une immigration contrôlée ! Nos jeunes resterons,sur le carreau,le taux de SUICIDE risque de prendre L’ ASCENSEUR ainsi que les PSY à l’affût de pognon FACILE,pour tenter un éventuel SAUVETAGE de ces êtres ABANDONNES.faute à une gôche pro-invasion et pro-eurss. Nos jeunes doivent quitter la rue est aller VOTER pour leur SURVIE.Les parents ne seront pas toujours là pour les aider,les loger,les nourrir,les financer.L’avenir ne s’annonce pas ROSE chez les humains en pleine DECADENCE et soumission au nouvel ordre mondial dans une eurss islamisée,avec la bénédiction d’erdogan encore un dictateur en LIBERTE totale. Les soldats,les policiers,les gendarmes à genoux devant l’ennemi ! DU JAMAIS VU !
Pourquoi faire un apprentissage ? Quand elle aura fini le patron engagera un frontalier italien. Ceci dit à Genève on est pas mieux.