Guerre arabo-tchétchène à Dijon
Bernard Schmeltz, préfet de Bourgogne-Franche-Comté, a beau se défendre depuis lundi soir de tout laxisme et marteler que sa stratégie de non-intervention face aux expéditions punitives tchétchènes de Dijon était « la seule stratégie praticable », la quasi-passivité observée par nos forces de l’ordre durant les premiers jours de cette véritable guerre ethnique, associée à l’absence d’interpellation de Tchétchènes, n’en reste pas moins des plus suspectes. Surtout quand des policiers n’hésitent plus à confier que les Tchétchènes les avaient avertis auparavant de leurs intentions et leur avaient même intimé l’ordre de ne pas s’en mêler !
« Restez tranquilles dans votre coin »
Le premier à avoir fait cette révélation totalement ahurissante est Stéphane Ragonneau, le secrétaire régional du syndicat Alliance Police nationale pour la Bourgogne-Franche-Comté. Invité sur le plateau de BFMTV, celui-ci a en effet raconté que « dès le premier jour, dès le vendredi soir, les Tchétchènes sont venus à la rencontre des forces de l’ordre » et « ont discuté » avec elles. « Ils étaient très calmes, a-t-il poursuivi, très déterminés par contre, armés » et « ils nous ont dit : “On ne vous en veut pas, à vous, la police. Restez tranquilles dans votre coin et il n’y aura pas de souci”. » Une scène, comme l’a déclaré Stéphane Ragonneau, « vraiment hallucinante », confirmée depuis par un autre policier engagé vendredi soir dernier à Dijon, dans un entretien diffusé jeudi matin par BFMTV. Ainsi, a rapporté cet agent, « ils [sont venus] vers nous les mains levées, comme pour dire qu’ils [n’étaient] pas hostiles » et « nous [ont expliqué] clairement pourquoi ils [étaient] là »…
Nos policiers réduits au rôle d’observateurs
Après de telles révélations, on comprend mieux pourquoi nos forces de l’ordre, en sous-effectifs, sous-équipées, sous-armées, et accusées en outre de violences depuis des semaines, ont pu faire preuve d’une certaine passivité face aux hordes de Tchétchènes et de Maghrébins désireuses d’en découdre. On comprend mieux aussi pourquoi aucun voyou tchétchène n’a été arrêté au cours de ces quatre journées de violences extrêmes et de dégradations, et pourquoi il aura fallu attendre jeudi matin pour que la police procède enfin à des interpellations de membres de cette communauté en France. Mais on comprend surtout que, après des années d’un incroyable désarmement physique et psychologique opéré par nos gouvernements de droite comme de gauche, sous la pression permanente des milices d’extrême gauche, associations et autres grands médias, nos forces de l’ordre en sont aujourd’hui réduites à – comme le dirait le préfet Bernard Schmeltz – « encadrer et encercler pour éviter les exactions » lorsque des bandes de Tchétchènes, de Maghrébins, d’Africains et autres peuples exotiques décident de régler leurs comptes sur notre sol. •
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Extrait de: Source et auteur
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