6 commentaires

1. Il ne suffit pas pour un individu de se fonder sur une fierté individuelle et ceci, même à notre époque des « selfies » : il FAUT que cette fierté soit cautionnée par un groupe, une communauté (ex. : nombre de likes). Cet essor est une alternative à l’incrimination du nationalisme.

   Les indigènes se sont solidarisés par la fierté d’une histoire/culture partagée, objectivée par le patrimoine construit, les figures réelles ou symboliques : la grandeur (même passée) du pays pour les uns (ex: les espagnols et Charles Quint), l’élévation par l’indépendance de leur territoire montagneux pour d’autres (Guillaume Tell). Une fierté nationale qui fédère la collectivité, quel que soit le statut du citoyen.

   Sur quoi s’inscrit la fierté des migrants, car ce n’est pas d’avoir (dû) quitter le pays ?
   Cela dépend de leur culture et de leurs compétences individuelles. Si une part se donne les moyens de trouver son compte dans le pays d’accueil en ne faisant pas de bruit, d’autres ne peuvent que « battre campagne » pour se valoriser :

   – Le V de la victoire brandi pour avoir REUSSI à poser le pied sur le sol européen.

   – Se grandir en s’opposant frontalement à la population locale ; vaincre la supposée suprématie blanche — des peuples qui, rappelons-le, ont construit sur 2000 ans leur pays par un travail colossal, consenti ou non, souffrances (cf. ZOLA) et pertes humaines.

   – Certaines communautés vont ainsi ancrer un « état » sans légitimité aucune, les zones dites perdues de la République qui fonctionnent sur la fierté de pouvoir mater les forces de l’ordre pour marquer leur supériorité, tout en dénonçant l’état de ne pas offrir un soutien massif pour assurer la réussite des leurs.

   – S’approprier dans le pays d’accueil de tout ce qui leur permet une meilleure célébrité. Dans le journal télévisé Afrique du 19.6.2020, après les nouvelles parlant du Sénégal, du Nigeria, de l’Egypte, d’Afrique du Sud et autres, on termine avec la rubrique sport : Neuchâtel-Samax (prononcé ainsi), club de Rennes, un transfert en Belgique et un autre en Angleterre!

   -Un pas de plus vient d’être franchi pour s’octroyer une fierté : scander que Paris, désormais, c’est eux ou encore, selon la Ligue de défense noire africaine, que le Palais-Royal, le Louvre et le château de Versailles « doivent leur être rétrocédés ». Quel intérêt pour eux, si ce n ‘est la valeur marchande inestimable que cela représente ? Ce n’est pas en m’appropriant des coupes qu’a gagné R.F qui fera de moi une championne de tennis !

   Se revendiquer fier de sa couleur ne suffira pas à résoudre leur problème, car cela ne CONSTRUIT RIEN. Avec le combat qu’ils mènent, ils ne font que se duper eux-mêmes.

2. Ce qu’écrit à juste titre YOLANDE, mérite réflexion. Que peut penser un individu récemment arrivé en France dans une culture à l’ histoire millénaire donc riche en une multitude d’évènements qui l’ont construite? Alors que son histoire, à lui, n’a pas été assez enrichie ou documentée et ne lui permet d’avoir droit à des fondations qui aideraient à la création de son roman national.
   Que l’individu soit jeune ou moins jeune, qu’est-ce qui fera son adaptation à l’histoire d’un pays dans lequel il va se poser? Les esprits curieux sont toujours aptes à s’intéresser à ce qu’ils découvrent.
   Et les autres ,cette multitude que déracine sans état d’âme un certain mondialiste nommé SOROS dont le projet est de mettre en minorité les peuples européens d’origine.

   ET par ailleurs, nous avons eu tout un travail dangereux de la gauche, qui s’est empressée de déconstruire cette histoire dans les livres scolaires , afin de s’adapter au nouvel entrant.

   Ce qui fait que ce nouvel entrant, peu riche en son histoire, doit devenir un dépourvu de l’histoire du pays d’adoption. On fabrique en quelque sorte “les enfants du vide”

   Et ce dépouillement concernera tout autant l’individu AUROCHTONE que l’ allochtone.
   Des individus sans socle, sans vraies fondations sur lesquelles s’appuyer.

   Il est évident que cela a un lien avec le travail de déconstruction des nations, si cher à nos mondialistes. Déconstruire les nations c’est aussi déconstruire leur histoire. Les enfants du vide seront prêts pour l’errance au travail.

   Quelle institution participe fidèlement à ce plan de déconstruction? BRUXELLES. Et si l’on ne sort pas de cette institution, le programme va continuer….Et jusqu’où va-t-on le tolérer?

3. Les Français sont conscients du racisme envers eux mais ne lève absolument pas le petit doigt pour lutter contre cela; mieux certains aide même les Racistes anti-blanc dans leur action .
   Le jour ou ses racistes prendront le pouvoir, même le plus grand des mouchoirs sur la terre suffira pour absorber les larmes du désespoir.
   Cette fois si nous ne pourrons compter sur personnes pour nous venir en aide.

4. Quand on ne peut mettre en perspective l’histoire de son peuple et y trouver quelque fierté , quoi de plus tentant que de condamner l’histoire du pays d’accueil pour se valoriser. Et attaquer un pays qui a écrit son histoire en long et en large dans le détail est tellement plus facile que de le faire avec un pays qui n’a rien documenté.

5. Le racisme anti-blanc existe et se fait de plus en plus audible à travers toute l’Europe. Le résultat du Grand Remplacement qui nous montrent ce qui nous attend pour le futur: devenir des étrangers sur nos propres terres. Il faut que l’Europe toute entière passe un moratoire sur l’immigration.

6. “Faites sortir la perversion de chez les Suisses et ils voteront pour vous”
   (N’est-ce pas une certaine idéologie que l’on prête à l’UDC ?)