Le Salon de l’Auto vient de refuser un prêt de 17 millions qu’il venait pourtant juste de solliciter auprès du canton. La vénérable institution au bord du gouffre, suite à l’annulation de l’édition 2020, a refusé le prêt aux conditions qui lui étaient présentées.
Cette affaire, parce qu’il faut bien l’appeler ainsi, a été peu commentée dans la presse. Et pour cause, nous sommes ici dans une affaire pour ainsi dire interne au PLR avec tout le secret que cela implique. La demande de prêt émanait du Salon de l’Auto, appelé aussi GIMS (Geneva International Motor Show) en réalité une fondation qui vit sous le nom de Comité permanent du Salon international de l'automobile et composé pour partie d’anciens élus PLR et de leurs proches, mais aussi et surtout de représentants de l’automobile avec les CEO des importateurs Amag, Mercedes et Toyota.
Sans être dans le secret des dieux, il est facile de comprendre que l’opposition aux conditions du prêt élaboré par le radical Maudet et ses services, ne provenait pas des membres radicaux du Comité du Salon, mais bien des importateurs qui en sont les premiers bailleurs de fond. C’est ici une opposition entre le PLR et les milieux automobiles de Suisse qui se fait jour.
Lorsqu’on se penche sur les conditions de ce « généreux » prêt de 17 millions on se demande un peu ce qui s’est passé dans la tête des services genevois. On hésite entre un raid financier grossier qui cherchait à prendre le contrôle du Salon et un manque de responsabilité criant face à la première manifestation du pays qui rapporte au canton 200 millions par année en retombées économiques.
On comprend que les milieux automobiles, propriétaires de ce Salon qui rapporte beaucoup d’argent à Genève aient envisagé qu’il n’était probablement pas très correct qu’ils soient les seuls à supporter les risques.
Mais alors on tombe des nues par la réponse qu’y a donné le Conseil d’Etat genevois, qui au lieu de faire porter une partie du risque par l’Etat pour la présente et les futures éditions, l’a au contraire entièrement rejeté sur le dos des importateurs. Parce qu’il faut quand même lire les conditions de ce fameux prêt : une mise en gage des actions que le Comité du Salon détient dans Palexpo S.A. pour un montant de 16.8 millions, et surtout l’obligation de tenir une édition en 2021 et de sous-traiter désormais l’organisation du salon à Palexpo, à 80% rappelons-le entre les mains de l’Etat et qui deviendrait alors le seul maitre d’œuvre. Rajoutez-y cette condition assassine, dont on ne connait pas le détail, mais qui pourtant résume toute l’affaire puisqu’elle impliquait de mettre aussi en gage les droits relatifs sur le salon, ce dont on peut comprendre qu’il s’agissait aussi d’en céder la propriété en cas d’incapacité à rembourser. Cela fait beaucoup plus de garanties et de cessions de droits qu’il n’était nécessaire. [1]
Ainsi, pour peu que l’édition 2021 soit aussi annulée pour cause de résurgence du virus, ce que personne ne peut exclure, et que le Comité du Salon se voie alors acculé à des incapacités financières, ce n’est rien moins que les actions qu’il détient sur Palexpo et la propriété du Salon elle-même qui seraient passées dans les poches de l’Etat genevois. Une solution win-win mais pour les seuls politiciens du bout du Lac. La tentative de prise de contrôle est ici évidente. Maudet a tout simplement remplacé un raid financier avec achat d’action par un contrat de prêt muni d’une prime de risque exorbitante ; si le risque se réalise l’Etat et Palexpo (avec les PLR à leur tête) pourraient prendre définitivement le contrôle du Salon de l’Auto. Quelle bonne affaire. Ce n’est pas très glorieux et sûrement assez candide, penser que les milieux de l’automobile allaient accepter ça. Pour des gens qui prétendent défendre l’économie genevoise (et libérale) il devrait y avoir ici d’intéressantes questions à se poser.
Le projet de loi consacrant le prêt était sous toit, et pour ainsi dire acquis, puisque la droite avec le MCG et l’UDC le soutenait économiquement et avait la majorité au Grand Conseil. Mais cet échec, peu intéressant à vrai dire en lui-même, révèle surtout beaucoup d’autres choses. Il montre un décalage stupéfiant et croissant entre l’économie réelle de notre pays et des gouvernants en charge d’une économie qui semble leur passer de plus en plus très au-dessus de la tête.
Aucune différence dans cette affaire entre la cécité de ces PLR et l’aile gauche verte du parlement genevois. Une aile gauche verte qui s’opposait au prêt, incapable de faire la différence entre une dépense d’investissement et une dépenses de consommation, et qui arrivait à expliquer que des retombées économiques seraient mieux assurées si ces 17 millions étaient prêtés à des artistes ou à des étudiants. Il faut le lire pour le croire. Cela se passe de tout commentaire.
Le point commun entre ces roses-verts et ces PLR, outre leur européisme commun et forcené, dogmatique, qui les voit les uns et les autre ne plus comprendre les intérêts nationaux, c’est le partage d’une incompréhension économique profonde de la crise actuelle. Les uns et les autres se comportant comme si la croissance pour les uns et les dépenses publiques pour les autres allaient et/ou pourraient continuer et reprendre comme avant. On a vu à Genève ces deux groupes politiques s’entendre pour que la protection sociale puisse s’étendre désormais et à long terme même aux sans-papiers, probablement le plus grand appel d’air qu’il soit possible d’imaginer.
De toute évidence il échappe à ces politiciens que la structure de la crise économique du coronavirus est totalement nouvelle et ne peut être comparée à rien de ce qui s’est vu auparavant, et dont la caractéristique est une incertitude et une imprévisibilité économique quasi sans limite.
Des experts ont voulu comparer la structure de cette crise à ce qui s’est passé avec l’ouragan Katrina aux Etats-Unis (papier de la Federal Reserve Bank de New York) et qui la caractérisait comme un arrêt brusque et momentané de toute production dû à une cause exogène. Sauf, comme l’ont souligné des commentateurs, qu’avec le coronavirus cet arrêt de production peut se reproduire et reprendre à n’importe quel moment, tant qu’un vaccin ou une immunité générale ne sont pas trouvés, et que l’arrêt de production en Louisiane n’était ni globalisé ni étendu à la planète entière. L’élément économique fondamental de cette crise c’est que l’on ne peut avoir aucune certitude sur le comportement et le moment où interviendra une reprise durable de la demande, il ne doit en matière d’incertitude économique pas exister de situation pire que celle-ci.
Et c’est bien ce qu’ont montré les milieux industriels de l’automobile et du Salon en refusant les conditions du prêt dans un tel climat d’incertitude, et ce que ne semblent pas avoir compris (ou trop bien compris) les PLR genevois avec leur tentative, et ce que ne semblent pas avoir compris du tout le camp rose-vert qui face à l’incertitude continuent à vouloir somptueusement étendre à tous les dépenses de l’Etat.
De grands groupes industriels réduisent leur taille dans toute l’Europe et dans le monde entier, livrant au chômage des millions de personnes, mais à Genève on pense que tout va recommencer rapidement comme avant, et partir dans une croissance infinie. C’est assez révélateur.
Pour couronner le tout, comme une cerise sur le gâteau, la Conseillère fédérale Keller-Sutter, PLR elle aussi, vient nous expliquer qu’il faut absolument continuer la libre-circulation des personnes, parce que, je cite, « ce n’est pas le moment d’aggraver la situation par la résiliation des accords bilatéraux avec l’UE et que ce n’est pas le moment de faire des expériences comme ça avec nos places de travail ». (RTS 19h30, 27.05.2020)
L’inconséquence et l’irresponsabilité sont donc ici à peu près totales du haut en bas de la chaîne PLR, du niveau fédéral au niveau cantonal.
Parce que faut-il informer ces gens que la migration européenne due à la libre circulation a profondément changé depuis la crise financière de 2007-2009, que désormais la migration UE met structurellement en danger tout l’équilibre fiscal général de la Suisse, la démonstration se trouve ci-dessous en annexe.
On espère que devant les risques encourus un maximum de citoyens se rendront compte que le PLR n’est plus crédible, que ses recettes pour des entreprises particulières ne tiennent plus la route face aux risques globaux pour notre économie nationale. On espère aussi que de plus en plus d’entrepreneurs réaliseront que les avantages que tirent quelques dizaines d’exportateurs à être traités comme des entreprises UE se ramèneront à quasiment rien si l’équilibre fiscal général de la Suisse se voit détruit par des dizaines de milliers de ressortissants UE, qui, face à la dureté de cette crise, se verront inexorablement attirés par la couverture sociale de la Suisse. C’est tout l’équilibre fiscal général de la Suisse qui est en jeu et qui pourrait être mis parterre par la destruction de nos comptes de protection sociale. Espérons que de plus en plus d’entrepreneurs le comprennent eux aussi, qu’ils comprennent qu’ils sont liés à l’équilibre fiscal général de la Suisse, et qu’ils mettent fin à cette supercherie qu’est la libre circulation. Parce que la crise ne va pas seulement amener de plus en plus de travailleurs européens à la recherche d’un emploi dans notre pays, mais aussi de plus en plus d’entreprises européennes concurrentes qui seront à l’affut de la moindre source de revenu qu’ils pourront tirer chez nous.
La protection de notre marché, et l’arrêt des excès de la libre circulation, c’est aujourd’hui et pas demain. Demain ce sera trop tard et chacun sait qu’avec ses processus la libre circulation a des effets qui ne permettent jamais de revenir en arrière.
Michel Piccand
CORRELATION ENTRE CROISSANCE ECONOMIQUE ET IMMIGRATION UE EN SUISSE
La thèse principale du PLR et d’Economiesuisse est d’affirmer que la migration UE en Suisse repose sur de strictes conditions économiques. Si des migrants UE viennent en Suisse c’est uniquement parce que l’économie en a besoin, le migrant UE ne pouvant venir selon l’Accord de libre circulation des personnes (ALCP) que s’il trouve un travail.
Une telle thèse est aujourd’hui contredite par les faits.
L’observation des tableaux ci-dessous (T1 et T2, après le texte) montre qu’un changement important s’est produit lors de la crise économique financière des années 2007 à 2009. Il y a en Suisse un avant et un après cette crise.
Les colonnes jaunes des tableaux T1 (nombre de migrants UE arrivant en Suisse) et T2 (solde migratoire UE, soit la migration nette qui résulte de la différence entre migrants UE arrivant en Suisse et migrants UE quittant la Suisse) montrent deux blocs bien distincts entre avant et après la crise de 2007-2009. Après la crise, tant le montant de migrants UE arrivant en Suisse chaque année, que leur solde migratoire, étaient entre 2 à 3 fois supérieurs à ce qu’ils étaient avant la crise.
La courbe bleue du tableau indique la progression du PIB en Suisse par rapport à l’année précédente. Si la courbe croit, le PIB progresse, il y a croissance, si elle décline le PIB régresse, il y a décroissance. C’est un indicateur de l’évolution de la croissance économique en Suisse. Au plus haut en 2007, la courbe indique que le PIB cette année-là avait progressé de 4.1 % par rapport à l’année précédente. En 2009 au contraire, au plus bas, la courbe indique que le PIB de cette année-là avait chuté et était de 2.2 % inférieur à l’année précédente.
Si la thèse du PLR et d’Economiesuisse selon laquelle la migration UE est strictement corrélée aux besoins de l’économie et donc à la croissance était exacte, alors le montant des colonnes jaunes (nb de migrants UE) devrait suivre la progression de la courbe bleue (croissance économique). Or ce n’est pas le cas. L’évolution entre avant et après la crise montre une décorrélation entre migration UE et croissance. Cette décorrélation se voit par le fait qu’une croissance économique de 3% dans les années 2004 et 2005 demandait des montants de 60'000 migrants UE par an et des soldes migratoire positifs d’environ 25'000 personnes par an, et que les années 2012 et 2015 qui ont vu une croissance limitée à 1 % ont néanmoins continué d’entraîner des arrivées de plus de 100'000 migrants annuels et des soldes positifs jusqu’à 60'000 migrants UE par année, soit près de 2 à 3 x supérieurs à la période précédente qui était conjoncturellement bien meilleure.
La contradiction entre la croissance économique modeste en 2012 et 2015 et l’augmentation pourtant persistante du nombre élevé de migrants UE ces années-là contredit la thèse du PLR.
Ce que l’on observe c’est une transformation de la structure de la migration, qui est vraisemblablement passée d’une migration purement économique (1 contrat de travail pour 1 migrant) à une migration en quelque sorte « sociale » (1 contrat de travail pour 2 ou 3 migrants ou par famille) et dans laquelle une partie des migrants qui arrivent ne participent donc plus au marché du travail. Une partie de ces migrants est sans doute aussi venue à la faveur du droit au regroupement familial.
Cette transformation de la migration UE en une migration « sociale » est confirmée par les chiffres de l’évolution de l’aide sociale en Suisse. L’évolution du nombre de bénéficiaires d’une aide sociale en Suisse (exclu AVS, AI, PC et les prestations générales comme subventions logements et assurance maladie) entre 2006 et 2018 montre que le nombre de ressortissants UE (non compris Balkans) demandant l’aide sociale a augmenté de près de 32 % durant cette période alors même que le nombre de bénéficiaires suisses diminuait. Cette augmentation du nombre de demandeurs UE d’aide sociale en Suisse est d’autant plus inquiétante que durant cette même période le montant d’aide à payer par bénéficiaire a lui aussi pris l’ascenseur (le montant moyen payé par bénéficiaire a explosé de 36 % entre 2006 et 2018). C’est donc non seulement le nombre de demandeurs d’assistance sociale qui a augmenté en Suisse mais le coût et la dépense par demandeur, et les demandeurs UE sont une composante majeure de ces deux progressions.
(Sources : OFS su-f-01.05.04.01.03, T 13.05.02.07 et T 13.05.02.05)
Dans ces conditions, et face à la crise économique dramatique à laquelle nous devons faire face avec le coronavirus, venir affirmer comme le font les PLR et leur Conseillère fédérale Keller-Sutter qu’il faut continuer la libre-circulation des personnes pour satisfaire aux besoins de notre économie, relève de connaissances incomplètes et mal informées de la situation et de la plus parfaite inconséquence et irresponsabilité.
Le risque que montre l’attractivité sociale de la Suisse sur les ressortissants UE, et qui est déjà en train de se réaliser suite à la crise de 2007-2009, doit face à son aggravation et à son amplification appeler au contraire à une reprise en main urgente du processus migratoire avec l’UE.
Sans cela, c’est à une déstabilisation fiscale générale que la Suisse va se voir confrontée. La migration UE en Suisse n’est plus seulement économique elle est aujourd’hui devenue une migration sociale.
DEUX BLOCS DISTINCTS
Le tableau qui suit montre clairement qu’il y a deux blocs distincts. Et que la corrélation croissance/immigration a changé dès la crise 2007-2009. Dans le bloc gauche la courbe de croissance est au-dessus de la courbe de la migration, dans le bloc droit c’est l’inverse.
Le tableau montre aussi que nous sommes face à un processus d’accumulation.
[1] Projet de loi 12705 sur le prêt. Grand Conseil Genève.
Et encore plus étrange si on prend le cas français, l’immigration ne cesse d’augmenter et son rôle n’est pas de sauver la production de quoi que ce soit, y compris celle de l’AUTOMOBILE.
l’Industrie automobile française devrait donc être financièrement sauvée grâce à l’énorme participation du contribuable français et pour être profitable uniquement aux lieux de production à l’ ETRANGER, donc la Chine et bien d’autres.
https://www.youtube.com/watch?v=nnNaNr1fbbY à…… 26.33 minutes
Et les français s’empressent toujours d’acheter des voitures qu’ils pensent encore franco-françaises et que des immigrés seraient “censés” produire sur d’ “impressionnantes ” chaînes de montage en FRANCE!!!
Excellent texte à diffuser.
Le PLR EST COMPLÈTEMENT A LA MASSE, SOIT 0 VOLTS. Il va finir par nous imposer le salon du vélo. Même un psychiatre ne pourra plus rien en faire, sinon d’éponger ce qui reste au fond des caisses noires chez ces vieux du Nomes. https://web.archive.org/web/20170930045200if_/https://www.schweizer-illustrierte.ch/sites/default/files/styles/fixed-width-778/public/web-rmn_1481.jpg.jpg?itok=eOW81Mul
Pour CES TENANTS DE L’EXPANSION DES CENTRALES NUCLEAIRES, SANS EN AVOIR L’AIR, puisqu’aucune énergie d’appoint verte n’a la capacité de remplacement du pétrole (SINON EN STIMULANT VOLONTAIREMENT UNE CRISE ENCORE PLUS MONUMENTALE), USENT ET ABUSENT DES INJECTIONS MIGRATOIRES OBLIGATOIRES pour couvrir par ces artifices l’expansion illimitée et “titaniqueste” des dépenses publiques réparties sur les nouveaux arrivants, pour faire croire à une bonne gestion.
C’est LA SOLUTION D’UNE ÉQUATION SADO-MASOCHISTE QUI SE PRÉSENTE DEPUIS DES DÉCENNIES SOUS L’APPARENCE D’UNE FAUSSE GUERILLA GAUCHE-DROITE, parce que la réalité est congelée dans un conservatisme propice aux prévaricateurs, suite à une corruption pandémique digne du Coran0virus.
CE MAUDIT BAUDET FANTASQUE SE LA JOUE EN ELECTRON LIBRE, NE REPRÉSENTE QUE LUI-MÊME, EST A DÉBARQUER DE TOUTE URGENCE ! Mais comme ils ont tous fricoté avec des cartes de crédit anonymes, cadeaux de corrupteurs qui comme par hasard doivent émaner des Emirats Arabes Unis où tous s’y précipitaient, depuis la France comme depuis la Suisse, on sait d’avance d’où viennent les menaces de démantèlement de la démocratie par l’instauration de l’esclavage fiscale des classes moyennes au profit exclusif de ces invasions barbaresques.
LA SEULE SAINE REACTION IMPLIQUE L’EXPULSION DES EXÉCUTIFS ACTUELS VILLE ET CANTON ET DES RÉÉLECTIONS ANTICIPÉES AVEC VOTE OBLIGATOIRE reposant sur d’autres “acteurs” comme ils se plaisent si naturellement à se proclamer, ce qui en fait des singes guère garants d’une certitude de probité. Et si ce n’est pas fait rapidement, le Baudet va finir par négocier dans notre dos les singeries à la mode franco-françaises, comme vendre l’aéroport… comme à Paris, à qui, devinez ?
Les graphiques présentés ci-dessus démontrent clairement que l’ABUS D’IMMIGRATION DE MASSE CONDUIT A DES PERTES TRÈS SUBSTANTIELLES DU PRODUIT INTERIEUR BRUT, DONC UN APPAUVRISSEMENT GÉNÉRALISÉ. Il ne saurait en être autrement, puisque la grande majorité de ces migrants ne sont que des consommateurs de prestations sociales sans aucune volonté de lever même le petit doigt pour participer à l’effort commun. D’où s’est répandue l’idée imbécile de distribuer de l’argent à tout le monde pour attirer encore plus de parasites. Et c’est pas le Baudet de l’escroquerie Papyrus qui va leur faire comprendre qu’en Suisse ce n’est pas comme dans son vrai pays d’origine, le droit du sol n’existe pas et la Suisse n’est pas un pays colonisateur, mais de plus en plus colonisé.
PS: pour mieux comprendre ce qui se passe derrière la façade et comment, écouter attentivement cette interview d’agents secrets proches de la gauche…(en tenir compte) faute d’avoir tout compris.
https://www.youtube.com/watch?v=iLMs_EqUICs
https://www.youtube.com/watch?v=OvQPb6JbFos