La Commission de politique de sécurité du Conseil national (CPS-CN) examine aujourd’hui un projet de loi autorisant des mesures policières efficaces de lutte contre le terrorisme. Un problème non résolu à ce jour provient des personnes qui ont été condamnées à une peine privative de liberté pour un acte terroriste, mais qui constituent toujours une menace.
Sur demande des cantons, la Confédération doit pouvoir ordonner de cas en cas des mesures comme une obligation de se présenter, une interdiction de quitter le territoire ou une assignation à résidence. La Conférence des directrices et directeurs des départements cantonaux de justice et police (CCDJP) a exigé de surcroît l’instauration d’un « placement sécurisé » pour les terroristes potentiels, une mesure nettement plus efficace qu’une simple assignation à résidence. Selon l’interprétation que l’on en fait, ce placement ne serait cependant pas conforme à la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH), si bien que la CCDJP a retiré sa demande. Or, l’UDC Suisse n’admet pas que la sécurité des habitants de la Suisse soit compromise par une interprétation excessivement respectueuse de la CEDH. Une telle attitude affaiblirait non seulement la sécurité publique, mais aussi le prestige des droits humanitaires.
L’UDC dépose donc aujourd’hui à la CPS-CN une proposition visant à ancrer le placement sécurisé dans la loi fédérale sur les mesures policières de lutte contre le terrorisme (MPT). La Suisse est un Etat de droit fortement développé dont les autorités peuvent parfaitement appliquer avec discernement la mesure du placement sécurisé, si bien que non seulement les droits de l’homme (en l’occurrence de terroristes potentiels), mais aussi et en priorité la sécurité des habitants seraient préservés.
source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/ludc-demande-des-mesures-policieres-efficaces-contre-le-terrorisme/
C’es bien nécessaire parce que le terrorisme n’est pas juste un ensemble d’actes de violence (attentats, prises d’otages, etc,) commis par une organisation ou un individu pour créer un climat d’insécurité et de terreur, pour exercer un chantage sur un gouvernement, pour satisfaire une haine à l’égard d’une communauté, d’un pays, d’un système politique. Le terrorisme est aussi une stratégie militaire. C’est une stratégie efficace qui cherche à changer une situation politique en inspirant la peur et son impact théâtral et émotionnel plutôt qu’en causant des dommages matériels comme une guerre classique. C’est pourquoi le contre-terrorisme doit se battre sur plusieurs fronts stratégiques:
1. L’État doit consacrer beaucoup plus d’efforts à ses actions clandestines contre les réseaux des terroristes et aux arrestations préemptives de tout futur terroriste. Pensons à tous ces fichés S qui ne sont pas sous les verrous ou expulsés de France alors que les autorités n’ont même pas cherché à comprendre comment cela fonctionnait dans leur cervelle et leur coeur radicalisés.
2. Nos médias ne devraient plus contribuer à l’impact théâtral et émotionnel de la terreur et des terroristes et doivent éviter l’excitation exagérée de leur public. Ils doivent cesser de faire aux terroristes de la publicité gratuite jusqu’à l’obsession, trop souvent même aux frais de ces mêmes contribuables que les terroristes ont déclaré leurs ennemis.
3. Freiner l’imagination de chacun d’entre nous parce que les terroristes s’approprient de notre imagination et la retournent contre nous.
4. Rester neutre avec une forte Défense en laissant les autres se battre est la stratégie la plus payante pour un petit Etat-nation au centre de l’Europe. La Suisse l’avait fort bien compris entre 1939-1945. Même une grande puissance militaire comme les USA manque singulièrement d’exemples de guerres et d’opérations militaires victorieuses depuis la fin de la deuxième guerre mondiale!
5. Se préparer aux menaces futures bien plus graves et meurtrières que le terrorisme actuel qui est théâtral et de communication: bioterrorisme, terrorisme nucléaire… et cyberterrorisme. Ces armes sont des technologies à dommages très élevés mais à faibles profits. Des terroristes ou un Etat peuvent les utiliser pour détruire et ruiner rapidement des pays entiers mais pas pour construire un empire rentable du point de vue économique et par là durable.
Le seul « placement sécurisé » pour les terroristes potentiels c’est 2m sous terre. Il faudrait ajouter une loi qui permet la torture dans les interrogatoires de terroristes.
https://www.youtube.com/watch?v=mqrpPaNm8yw
Ce qui est INSUPPORTABLE C’EST QUE CE SONT NOS SOCIALO-ECOLO-ISLAMO-BOLCHEVO-FASCISTES QUI ONT CRÉÉ CETTE SITUATION ET QUI SONT INCAPABLES DE FAIRE FACES A LEURS PROPRES RESPONSABILITÉS.
On a là un exemple très concret que LES ANTI-UDC SONT DES SUPPORTERS DE LA GUERRE CIVILE et qu’ils LAISSENT FAIRE LE BOULOT A L’UDC !
Même si l’UDC n’est pas une perfection politique, c’est mieux de directement leur attribuer
nos votes et de les élire QUE D’ATTENDRE QU’ILS PROPOSENT DES SOLUTIONS QUI SERONT SYSTÉMATIQUEMENT REFUSÉES SOUS LES CONTRAINTES D’ UNE CONSTIPATION IDEOLOGIQUE DES SOCIALO-ECOLO-PASTEQUES.
Si on les frontières n’étaient pas de moulins à vent, si on supprimait ce pseudo status de réfugié qui permet à n’importe quel délinquant de se refaire la cerise en europe, si les délinquants étrangers étaient expulsés, nous n’aurions pas besoin d’état policier.
Et on l’a bien vu en france avec les GJ et le confinement, ceux qui sont gazés, fliqués, tracés avec des drones, ce sont les citoyens lambdas sans histoire. Bref, ceux qui vont obéir car ils ont qqe chose à perdre.
Les délinquants par métier se contre fichent des autorités, car la prison est des vacances pour eux, cela n’a aucune incidence économique puisque soit ils n’ont rien, soit c’est caché, soit ils dépendent des aides sociales inconditionnelles (soins, avocats, etc). Pas de travail à perdre non plus, la plupart n’en ont pas.