Réaction de l’AGRIF :
Bien sûr, il est inacceptable de traiter qui que ce soit de « bicot » et plus encore lorsque c’est le fait de policiers dont la colère, compréhensible en elle-même, ne saurait être une excuse. Leur propos mérite donc une sanction disciplinaire.
Mais, il n’en est pas moins stupéfiant et scandaleux que l’injurié, doublement délinquant, puisque sans papiers et auteur de délits de vol, ait été précédemment libéré par le parquet de Nanterre alors qu’il était sous le coup d’un « OQTF » (Obligation de Quitter le Territoire Français).
L’injure a entraîné un très fort déferlement d’indignation médiatique. Peu après, l’attentat criminel perpétré à Colombes par le fanatique islamiste Youssef, ayant percuté volontairement deux motards de la police (grièvement blessés) et se réclamant de l’État islamique, n’a guère soulevé plus d’indignation.
En revanche, il a entraîné un flot d’enthousiasme sur les réseaux sociaux, significatif de la progression de la haine raciste antifrançaise dans certaines populations conquérantes revendiquant leur domination sur « leurs territoires ».
À l’évidence, le virus du corona n’a que trop occulté d’autres virus non éliminés à ce jour. Et notamment ceux de l’islam jihâdiste progressant sans cesse par une lecture littérale du Coran que l’on peut qualifier de « corano-virus » et qui se propage dans nombre de mosquées et autres lieux.
L’AGRIF charge ce jour ses avocats d’étudier la possibilité d’intervenir dans cette procédure.
Elle exprime ce jour, aussi, son total soutien aux forces de l’ordre et aux pompiers qui s’efforcent d’assurer la sécurité des Français, trop souvent, et de plus en plus, dans de véritables zones de non-France.
Extrait de: Source et auteur
Les journaux parlent rarement des insultes que les policiers doivent subir dans les quartiers sensibles avec les projéctiles que l’on jette contre eux. Ca peut ce comprendre s’ils dérappent. Les journaux passent plutôt leur temps à joindre la racaille dans les insultes lancés contre les policiers.
BON, quand des policiers ont été plusieurs fois missionnés dans ces quartiers, n’ont-ils pas le droit de ressentir de l’exaspération ou un réel sentiment d’insécurité?.D’autant plus qu’être armé n’est plus un privilège ou une assurance de sécurité pour ces derniers puisque maintenant les
voyous de banlieues “sont armés”.
Les policiers doivent aussi avoir le droit de se sentir en insécurité. Et l’insécurité ressentie met toujours en marche des processus d’auto-défense et de rejet de l’adversaire. On ne peut pas se “penser” en position “compassionnelle” face à l’adversaire, dans ces moments là, sinon c’est s’offrir en martyre .
On espère que l’AGRIF saura défendre LA CONDITION de ces policiers missionnés pour des surveillances en banlieue.
Quand des médecins, des pompiers ne peuvent plus y pénétrer pour accomplir leurs devoirs, quelle peut être alors la condition de ces policiers? Plus favorable?
Est-ce que l’AGRIF saura démontrer leur condition à tous, grâce à des preuves telles que des vidéos et autres? Car nos magistrats ne mettant jamais un pied dans ces quartiers ne peuvent imaginer ce qu’ils y vivent. Leur ouvrir les yeux est une nécessité.