L'Italie entre dans sa quatrième semaine de la pire crise nationale depuis la Seconde Guerre mondiale, sans entrevoir la fin.
Plus de 60 millions de personnes vivent sous un confinement de plus en plus insupportable qui se resserre chaque jour un peu plus. Les magasins qui restent ouverts ferment plus tôt et la police patrouille de plus en plus souvent, chassant les familles qui rentrent chez elles et s'assurant que personne n'est dehors sans raison valable.
Malgré cela, le nombre de nouveaux cas de coronavirus dans le pays augmente à un rythme d'environ 3 500 nouveaux cas ou plus chaque jour, et le nombre de décès a dépassé 2 500 [NDLR : l'article date du 19 mars. L'Italie en est à près de 5'500 décès aujourd'hui.].
La plus forte concentration de cas se trouve dans le nord du pays, où les morts sont empilés pour être enterrés car les services funéraires sont strictement interdits. Mais les vivants sont également entassés, les patients atteints de coronavirus étant traités dans des hôpitaux de campagne et alignés dans des couloirs à l'intérieur des hôpitaux publics en pleine effervescence. Les médecins et les infirmières sont infectés, faute de protection adéquate.
De nombreuses personnes se demandent comment cela va se terminer et si le coût économique du confinement en vaut la peine. Des signes encourageants indiquent que le nombre de nouveaux cas dans la zone rouge initiale du nord de l'Italie pourrait se stabiliser, mais les experts affirment qu'il est bien trop tôt pour considérer cette tendance comme fiable.
Aucun signe de changement pour l'instant
Selon les derniers chiffres officiels, plus de 2 000 personnes se trouvent dans les unités de soins intensifs en Italie, le pays le plus touché d'Europe. La plupart sont concentrées en Lombardie, où la crise a explosé le 23 février, mais beaucoup craignent qu'il y ait de nouvelles zones sensibles plus au sud, où les infrastructures sont plus faibles et où moins de personnes suivent les mesures de confinement.
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(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)
D’après un dénommé Paolo dont les propos ont été publiés le 20 courant sur le site de Henry Makow, l’Italie du nord aurait eu un programme de vaccination contre la méningite suite à l’arrivée importante de migrants africains depuis pas mal de temps. Mais il faudrait confirmer ou infirmer cette rumeur parce que Monsieur Makow n’établit que rarement, j’ai l’impression, un véritable travail de vérification de l’information que d’autres lui fournissent. Sur le site d’archivage islandais archive maintenant migré à point md ; il faudra ajouter la barre oblique de ciconstance, puis 8MNz5 . Bonne lecture.
On leur souhaite vraiment de disposer au plus vite du traitement du DR RAOULT qui unit la CHLOROQUINE à un antibiotique. Nous espérons que nos amis Italiens vont sortir de cette dure épreuve.
Gouverner c’est prévoir !
Les gouvernements actuellement au pouvoir ont démontré leurs limites et leur incapacité de juguler rapidement une pandémie.
L’OMS est pourrie et corrompue jusqu’à l’os ! il n’y a rien à garder !
”Le 4 janvier, l’OMS déclarait qu’elle était au courant des rapports venant de Wuhan, qu’elle surveillait la situation, et qu’elle était en contact avec le gouvernement chinois à ce sujet. Le même jour, elle activait son système de gestion des incidents au niveau national, régional et mondial, et contactait les autorités de Wuhan pour obtenir des clarifications.”
https://www.dreuz.info/2020/03/19/coronavirus-la-chine-est-coupable-dun-crime-contre-lhumanite/
https://www.dreuz.info/2020/03/21/silence-media-le-directeur-general-de-loms-un-communiste-a-ferme-les-yeux-sur-les-cachotteries-de-la-chine/comment-page-1/#comment-834677
Tedros (Directeur actuel de l’OMS), n’est pas médecin et n’a aucune expérience de la gestion de la santé mondiale !!