En Suisse, de plus en plus de personnes tombent également malades avec le Covid-19, mais depuis quelques jours, les autorités ne savent plus exactement combien de personnes sont touchées.
Environ 700 cas ont été confirmés mercredi après-midi, mais le nombre réel est probablement beaucoup plus élevé. Car en Suisse, la devise officielle s'applique désormais : les médecins ne doivent effectuer des tests de dépistage du Covid-19 que dans les cas graves.
Ceux qui ne présentent que des symptômes légers resteront chez eux sans subir de test.
Ce changement de stratégie a surpris certains experts. L'Office fédéral de la santé publique (OFSP) veut utiliser cette mesure pour prémunir les hôpitaux contre la surcharge de travail. Mais ce qui se passe dans les pays étrangers montre le contraire : Les pays qui ont le mieux réussi à maîtriser l'épidémie jusqu'à présent sont ceux où les médecins ont testé et isolé tous les cas suspects de manière exhaustive dès le début.
"Je ne comprends pas cette décision", explique Christian Althaus, responsable du groupe de recherche épidémiologique de l'université de Berne. Il devient maintenant difficile pour les épidémiologistes de suivre l'évolution de l'épidémie en Suisse. Et ce n'est pas tout : "Singapour, Taiwan, Hong Kong ou la Corée du Sud poursuivent une stratégie complètement différente et tentent d'empêcher une propagation rapide, du moins dans un premier temps", explique M. Althaus.
Une rigueur couronnée de réussite
Taiwan en particulier est considéré comme exemplaire. Malgré sa proximité avec la Chine, il n'y a qu'une cinquantaine de cas dans le pays. Bien qu'il soit plus facile pour une île de s'isoler, les autorités taïwanaises ont pris des mesures supplémentaires rigoureuses qui ont été très efficaces jusqu'à présent.
Les laboratoires taïwanais ont déjà examiné 15 000 cas suspects. Les écoles ont fermé leurs portes dès le début du premier cas apparu fin janvier jusqu'à fin février.
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En Allemagne également, les autorités testent encore tous les cas suspects. «Ce serait une erreur de ne plus tester», affirme Clemens-Martin Wendtner, médecin en chef en infectiologie à l’hôpital universitaire de l’université Ludwig-Maximilian de Munich.
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(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)
Quo vadis Helvetia avec bien trop d’élus et leurs médias de masse qui encouragent la médiocrité en érigeant au rang de valeurs, la bêtise, la vulgarité, la sexualisation de tout, l’ignorance, voir un rap idiot, grossier et sexuel ou les émissions de télé-réalité. Le laid est devenu beau, l’immoral et moins d’examens sanguins pour détecter le coronavirus et ne pas fermer nos frontières à temps seraient un progrès. Plus la chanteuse est vulgaire, sexualisée et désinhibée, plus elle est adulée et considérée une superstar. Plus l’élu est médiocre plus il se place en avant et les médias de masse l’adulent. On encourage le public à se complaire dans la médiocrité, à trouver cool le fait d’être bête, vulgaire, et inculte, puis à élire des médiocres. La médiocratie nous incite de toute part à sommeiller dans notre pensée, à considérer comme inévitable ce qui se révèle inacceptable (cette pandémie) et comme nécessaire ce qui est révoltant (la mortalité quasi exponentielle avec l’âge). Le manipulateur Berset, ses suiveurs et ses “experts” altèrent le récit de façon à continue de bercer le public dans l’illusion, eu égard aux enjeux politiques et au climat psychologique du moment. La médiocratie idiotifie en politique les élus et leurs électeurs et dans un grand hôpital publique les médecins et leurs collaborateurs. Alain Deneault au début de son livre “La médiocratie” (Lux. 2016) a fort bien décrit comment la médiocratie envahit nos hôpitaux publiques et la politique: « Les médiocres ont pris le pouvoir. La principale compétence d’un médiocre? Reconnaître un autre médiocre. Ensemble, ils organiseront des grattages de dos et des renvois d’ascenseur pour rendre puissant un clan qui va s’agrandissant, puisqu’ils auront tôt fait d’y attirer leurs semblables. L’important n’est pas tant d’éviter la bêtise que de la parer des images du pouvoir ». « Si la bêtise ne ressemblait pas à s’y méprendre au progrès, au talent, à l’espoir ou au perfectionnement, personne ne voudrait être bête» remarquait l’ingénieur et écrivain autrichien Robert Musil (né en 1880 et mort en 1942 à Genève).
Comme pour le reste, ils biaisent les chiffres, à l’heure des comptes que va-t-il se passer ?
”700 cas ont été confirmés mercredi après-midi, mais le nombre réel est probablement beaucoup plus élevé. Car en Suisse, la devise officielle s’applique désormais : les médecins ne doivent effectuer des tests de dépistage du Covid-19 que dans les cas graves”
De cette façon, on peut faire dire n’importe quoi aux statistiques !
Les décisions tardives prises à la légère par quelques politicards irresponsables démontreront leur inefficacité !
Gouvernement actuel suisse : dégage !