28 Fév 2020
L’Académie de médecine nous met la pression :
-les migrants sont massivement porteurs de maladies dangereuses.
La France doit donc :
-mettre encore plus de moyens
-leur faciliter l’accès aux droits
L’Académie de médecine insiste sur les « troubles mentaux » massifs:
Les migrants sont reconnus officiellement agressifs et violents
= sous-entendu :
si on ne paye pas et qu’on se fait attaquer, ce sera donc de notre faute.
Troubles mentaux et pathologies « comparables » à celles des sans-abri : la santé des migrants, « préoccupante », se dégrade au fil des « obstacles » dressés par les pouvoirs publics, a-t-elle alerté mercredi.
Dans un rapport à paraître prochainement et présenté à la presse mercredi, l’Académie réclame notamment que tout exilé, qu’il soit ou non en situation régulière, puisse bénéficier « dès son arrivée » d’un examen médical et d’un accès aux soins.
« La précarité des conditions de vie »
« La situation des étrangers arrivant en France est préoccupante (…) compte tenu de la précarité des conditions de vie et d’hébergement, du manque cruel d’hygiène et d’un retard à l’accès aux droits », a souligné l’instance, en dévoilant son rapport « L’immigration en France : situation sanitaire et sociale ».
Elle a également dénoncé « tous les obstacles qui provoquent, involontairement ou non, le retard à l’accès ou même l’absence de soins ».
Des troubles mentaux importants
[c’est donc officiel, ils sont agressifs : et la violence qui va avec ?]
L’institution a en particulier ciblé le délai de carence de trois mois récemment imposé aux demandeurs d’asile avant qu’ils ne puissent accéder à la PUMa (Protection universelle maladie, ex-CMU), alignant désormais leur accès aux soins à la carence de trois mois pour l’AME (Aide médicale d’État) réservée aux personnes en situation irrégulière.
L’Académie recommande ainsi de « créer une Protection Maladie réellement universelle rassemblant AME et CMU ».
« La santé de tous les migrants est fragilisée par les traumatismes » du parcours migratoire, relève le rapport. Une situation aggravée par leur précarité en France, « entraînant des troubles organiques mais surtout mentaux, six fois plus fréquents que dans la population générale »
Des pathologies observées chez les sans-abri
Infections aiguës, hépatites virales… Chez les mineurs, les pathologies sont même « comparables à celles observées chez les sans-domiciles », alertent les auteurs.
« Il faut qu’on fasse le pari de l’accueil. C’est plus efficace, beaucoup moins onéreux et plus digne », résume le Pr Marc Gentilini, coauteur du rapport. Le texte, explique-t-il, a surtout pour objectif de « trouver des formules qui permettent aux pouvoirs publics et aux ONG de s’allier et non de s’opposer », car « la France est certainement l’un des pays, en terme de couverture médicale, qui propose les formules les plus larges ».
La pression ne s’arrêtera donc jamais puisqu’à aucun moment on ne remet en question leur présence sur notre sol.
La seule solution évoquée est un renforcement de la prise en charge et des droits, ce qui va encore mobiliser des moyens énormes, à un moment où la France a déjà fort à faire avec la santé de ses ressortissants (sécurité sociale dans le rouge, crise de la médecine, déserts médicaux, crise de l’hôpital, des infirmiers…).
Encore une fois, les Français n’ont rien demandé mais ils sont mis à contribution et doivent donner les clés du pays. Le chantage aux maladies fait partie de la guerre psychologique.
C’est l’injonction de l’OMS :
Vivre ensemble implique d’être malade ensemble, et demain de mourir ensemble.
Donc taisez-vous et payez !
Capture d’écran du site internet de l’OMS :
Afflux de migrants : le grand retour des maladies disparues en Europe
On les pensait en déclin ou disparues d’Europe: VIH, tuberculose, gale, rougeole, typhoïde, choléra, dysenterie, ainsi qu’une multitude d’autres maladies parasitaires et infectieuses font leur grand retour sur le vieux continent. En cause, l’afflux de réfugiés, qui véhicule bactéries et virus à travers les frontières. Des propos alarmants tenus lors d’une grande conférence de microbiologie qui s’est tenue à Amsterdam, selon le Daily Mail.
https://fr.sputniknews.com/international/201604121024160360-maladie-afflux-migrants/
Si les frontières ont été inventées et les mises en quarantaine de personnes infectées utilisées depuis des centaines d’années, c’est étonnant qu’aujourd’hui ces mesures basiques et basées sur le bon sens ne soient plus d’actualité …
Les politicards sont aveuglés et ne veulent surtout pas reconnaitre leurs nombreuses erreurs …
Il faudra fusiller tant les porteurs de ces maladies comme ceux qui pensent se faire ” un pognon dingue” en les traitant aux frais du contribuable alors qu’il y a des millions d’autochtones qui ne sont pas soignés ni nourris ni logés. Où est la logique ?
Que de mensonges.
Si l’exile a un tel impact sur leur santé, le bon sens voudrait..qu’ils ne s’exilent pas.
Mathématiquement, au vu de la démographie délirante des pays migrateurs, la France et l’europe n’ont pas les ressources pour soigner tous les migrants.
Quand au message éhonté qu’on nous sort depuis des décennies que les migrants participent au développement du pays d’accueil, il n’y a rien de plus faux.
Une main d’œuvre qualifiée et qui s’intègre, oui, mais cela représente un infime pourcentage des migrants.
Les autres appauvrissent les pays qui les accueillent, lesquels voient leur développement ralentir, quand il ne recule pas. Même l’esclavagisme appauvrit un pays, il n’y a qu’à ouvrir un livre d’histoire (par exemple différence entre le nord et le sud des usa). Et c’est une évidence pour qui n’est pas lobotomisé par la bien-pensance; comment un pays peut-il se développer quand ses ressources sont englouties pour soigner, loger, former et nourrir des millions qui ne produisent rien? Et qui déstabilisent le pays par leur violence pour ne rien arranger.
Il y a toujours eu pas seulement des médecins médiocres mais aussi des médecins cons.
Les vraies victimes c’est nous qui payons et sommes contaminés pas ces immigrants qui veulent nous parasiter et nous souhaitent du mal.