Ndlr. Ce document date du 4.1.2016. Tarik Ramadan et ses fans sont-ils aujourd'hui encore toujours aussi fiers de leur maître à... penser? De qui la Suisse a-t-elle aujourd'hui le plus honte? La question semble se poser de manière nouvelle à la suite de ses comportements les plus scandaleux et ignobles, poursuivis en justice, de ce prêcheur dit de référence et des révélations sur la nature et la qualité de sa thèse de doctorant par exemple.
1. Accueillir comme réfugiés son père Saïd Ramadan et sa mère à Genève fut une grave erreur de nos autorités.
2. Uli Windisch avait bien raison de demander de le déchoir de sa nationalité
3. L’Uni de Genève n’aurait jamais du accepter sa thèse de doctorat.
Voyez l’histoire. La misérable thèse de doctorat de Tariq Ramadan publiée en 1998 sous le titre : Aux sources du renouveau islamique: d’al-Afghani à Hassan al-Banna: un siècle de réformisme islamique n’est qu’une apologie de son frériste grand-père. Elle fut maintes fois retournée à son auteur puis refusée. Charles Genequand, son premier directeur de thèse, qui a refusé sa thèse puis tenté en vain de lui faire comprendre les erreurs et défauts de son manuscrit pour qu’il en améliore la qualité le qualifie d’imposteur, de faux dévot, de tartuffe, de copieur-colleur qui écrit toujours le même livre, de pseudo-intellectuel et d’opportuniste vaniteux, etc.
Finalement, après recours et menaces, cette thèse fut validée par un deuxième jury ad hoc et manipulé, jury présidé par le Professeur Philippe Borgeaud de Genève, un helléniste spécialiste des religions européennes et composé de Bruno Étienne (Aix-en-Provence), son deuxième directeur de thèse Reinhard Schulze, un Allemand, nommé en 1995 professeur d’islamologie et de philologie orientale à l’Université de Berne, Richard Friedli de l’Université de Fribourg et Sylvia Naef de l’Université de Genève).
Mais cette deuxième commission ne lui accorda même pas la mention « très honorable » ce qui lui a fermé la porte à toute carrière universitaire en Suisse. Contrairement à ce qu’il racontait, Tariq Ramadan n’a jamais eu aucun statut académique à l’Université de Fribourg, un chargé de cours invité à faire une d’exposé de temps à autre ne faisant pas partie du corps universitaire légalement constitué.
La misérable thèse de doctorat de Tariq Ramadan publiée en 1998 sous le titre : Aux sources du renouveau islamique: d’al-Afghani à Hassan al-Banna: un siècle de réformisme islamique n’est qu’une apologie de son frériste grand-père. Elle fut maintes fois retournée à son auteur puis refusée. Charles Genequand, son premier directeur de thèse, qui a refusé sa thèse puis tenté en vain de lui faire comprendre les erreurs et défauts de son manuscrit pour qu’il en améliore la qualité le qualifie d’imposteur, de faux dévot, de tartuffe, de copieur-colleur qui écrit toujours le même livre, de pseudo-intellectuel et d’opportuniste vaniteux, etc.
Finalement, après recours et menaces, cette thèse fut validée par un deuxième jury ad hoc et manipulé, jury présidé par le Professeur Philippe Borgeaud de Genève, un helléniste spécialiste des religions européennes et composé de Bruno Étienne (Aix-en-Provence), son deuxième directeur de thèse Reinhard Schulze, un Allemand, nommé en 1995 professeur d’islamologie et de philologie orientale à l’Université de Berne, Richard Friedli de l’Université de Fribourg et Sylvia Naef de l’Université de Genève).
Mais cette deuxième commission ne lui accorda même pas la mention « très honorable » ce qui lui a fermé la porte à toute carrière universitaire en Suisse. Contrairement à ce qu’il racontait, Tariq Ramadan n’a jamais eu aucun statut académique à l’Université de Fribourg, un chargé de cours invité à faire une d’exposé de temps à autre ne faisant pas partie du corps universitaire légalement constitué.