«J'ai eu une expression qui était non seulement maladroite, ce qui est regrettable, mais surtout inexacte», reconnaît le 8 février la ministre de la Justice Nicole Belloubet, dans un tribune publiée par Le Monde, dans laquelle elle entend «reprendre la parole de manière plus posée» et exposer sa vision de la défense de la laïcité en France.
«L'insulte à la religion n'existe heureusement pas dans notre République. Seules sont réprimées les injures faites à autrui en raison de son appartenance à une religion déterminée», souligne Nicole Belloubet dans sa tribune.
«L'affaire Mila a remis en lumière la question du droit au blasphème. Ce droit existe. Dans notre pays, chacun est libre de blasphémer. C'est l'évidence même», ajoute la ministre. «La France n'est pas une terre de fatwas», dit-elle aussi, après avoir souligné qu'«en matière de laïcité, il n'y a pas d'accommodements possibles. C'est un bloc. Inaltérable. Non négociable. Vital».
Droit au blasphème
La polémique était partie de déclarations de la ministre sur l'affaire Mila, du nom de cette adolescente de 16 ans menacée de mort sur les réseaux sociaux après des propos hostiles à l'islam. «Dans une démocratie, la menace de mort est inacceptable [...]. L'insulte à la religion, c'est évidemment une atteinte à la liberté de conscience, c'est grave, mais ça n'a pas à voir avec la menace [de mort]», avait déclaré Nicole Belloubet le 29 janvier sur Europe 1.
Peu après ses propos fin janvier, la ministre avait plaidé la maladresse et assuré ne pas remettre en cause «le droit de critiquer la religion». Parmi ses détracteurs, le chef de file des députés LR Damien Abad, avait néanmoins jugé que «quand on est garde des Sceaux on n'a pas le droit d'être maladroit avec le droit».
Concernant les propos contre l'islam tenus par la jeune lycéenne iséroise de 16 ans, Mila, le parquet de Vienne a jugé qu'ils ne constituaient pas une provocation à la haine et a classé sans suite l'enquête. Les enquêteurs poursuivent cependant leurs investigations pour identifier les auteurs de menaces de mort à son encontre.
Extrait de: Source et auteur
une Socialiste opportuniste dans un gouvernement plus à droite que la droite classique Française qui n’assume pas ses propos capable de dire en un jour une chose et son contraire, de diligenter une enquête contre une blanche persécutée qui a eu le tord de réagir puis de la retirer… en France ce genre d’attitude vous permet de devenir ministre de la justice ! « Viendez » c’est open bar
Les copines de tata Macron ont beaucoup de soucis à se faire. Quand on sait que ces équipages dignes d’un EMS veulent nous imposer de monumentales conneries au sein d’un parlement de gâteux, avec quelques jeunes et fausses jeunes pouliches, on voit que la bête y prospère en toute impunité. Avec Sibête et Belloubête la médiocrité intellectuelle est sauvée et atteint ses sommets. Pour vous convaincre voyez et COPIEZ CETTE MAGNIFIQUE VIDEO qui va vous stimuler, tant elle est digne de vos archive au même titre que celle de la ministresse au DEA de géographie, Cecile Duflot plaçant le Japon dans l’hémisphère sud… Voir ici: https://www.youtube.com/watch?v=9e_tuO5LIzw … celle-ci qui au surplus parle un français de bas caniveau. Pour la Belloubête immonde qui multiplie les rétractations et autres rétropédalages, vous n’allez mourir de rire, sauf si vous êtes suffisament capable de prendre ces nuls de nuls au sérieux, en visionnant “Bienvenue chez les Dingues” avec une majuscule c’est encore plus clair. https://www.youtube.com/watch?v=njUqzeDcSKA
”J’ai eu une expression qui était non seulement maladroite, ce qui est regrettable, mais surtout inexacte, reconnaît le 8 février la ministre de la Justice Nicole Belloubet”
Ce qui est navrant dans cette histoire Mila, c’est que Mme la ministre parle trop, trop rapidement sans aucune réflexion et ses ”belles” paroles sont diffusées tout de suite et partout !! Puisqu’on consomme de l’information vite fait mal fait, tout le monde comprend mal ce discours …
Les correctifs tardifs n’y changeront malheureusement rien !
Le problème, c’est moins ce qu’elle a dit que pourquoi elle l’a dit !
Et là, c’est pas son mea culpa qui change quoi que ce soit !
‘La France n’est pas une terre de fatwas», dit-elle aussi, après avoir souligné qu’«en matière de laïcité, il n’y a pas d’accommodements possibles.’
C’est a dire, sauf dans les quartiers sensibles et les mosques salafistes. Il y a toujours des exceptions dans la politique aujourd’hui. Ils nous ont déjà montrer cela avec l’immigration par example. Migrants, réfugiés, qu’importe!