La police grecque a lancé lundi des gaz lacrymogènes sur des migrants qui ont quitté leur camp de réfugiés, sur Lesbos, pour manifester à Mytilène, la capitale de cette île de la mer Égée, rapportait le groupe audiovisuel grec ERT.
Quelque 2.000 manifestants craignant d’être déportés vers la Turquie ou leur pays d’origine avaient quitté le camp surpeuplé de Moria pour faire entendre leur voix. Ils ont refusé de se plier aux injonctions des forces de l’ordre, d’après ERT.
À Moria et dans ses environs, 19.000 personnes séjournent dans un camp prévu pour en accueillir 2.840. Les conditions de vie s’y sont rapidement dégradées, tout comme dans d’autres camps de réfugiés, également débordés.
Les autorités grecques ont récemment durci les règles en matière d’immigration, accélérant le traitement des demandes d’asile et réduisant le temps nécessaire à l’expulsion des migrants économiques, dont les demandes sont rejetées.
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Via Alterinfo.ch
Nos remerciements à Daniel Brand
S’ils sont si misérables chez nous qu’ils rentrent chez eux. Perslnne les arrêtent.
Etrange cette soudaine réaction de la Grèce envers les migrants?
D’où lui vient cette volonté de reprendre sa liberté de décision ?
Est-ce que Bruxelles décide de la laisser “respirer un peu” face à l’immigration-invasion? Est-ce que le Brexit n’y est pas pour quelque chose?
Est-ce que Bruxelles n’a pas peur que suivent de multiples EXIT de la part des pays européens blancs chrétiens, qu’elle souhaitait “ensevelir sous l’immigration”.
C’est fou ce qu’on souhaite “de nombreux, très nombreux EXIT”, pour que s’effondre cette organisation mortifère qui entraine les grands pays vers la décadence. Nous serons capables de reconstruire une autre Europe, celle du retour du respect envers nos cultures et la reconquête économique.
Et de voir JUGES ceux qui ont concocté ce programme d’anéantissement des peuples européens.