Double nationaux - Genève, le canton le plus cosmopolite de Suisse
Les binationaux : 18%. C’est le nombre de personnes de plus de 15 ans avec deux passeports qui résident en Suisse en 2018, selon l’Office fédéral de la statistique. Le taux dépasse 20% à Zurich, à Bâle-Ville, au Tessin, dans le Canton de Vaud et à Neuchâtel. Le proportion est la plus élevée à Genève : 46%.
Source : 20minutes, 31.01.2020
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Cenator : Ce petit billet nous interpelle : 40% d’étrangers à Genève, 46% de binationaux, combien reste-t-il de Suisses de souche ?
Et ces chiffres ne tiennent même pas compte des moins de 15 ans !
Peut-on parler encore d’une ville suisse, d’un peuple suisse dans de tels cas ?
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Voir aussi :
Avec la naturalisation facilitée, on assiste à la dissolution de ce que furent les spécifications cultuelles et sociales helvétiques dans le magma européen voir mondialiste. Et bien entendu, les nouveaux suisses de papier, qu’ils soient quidams ou pire encore politiciens, s’empressent à leurs tours d’ouvrir portes et fenêtres du pays aux vents mauvais qui nous emporte. Voilà comment un pays perd son âme sans même s’en rendre compte ; le grand remplacement est en marche et n’est pas près de s’arrêter car de plus avec cette nouvelle population sans réelles attaches à notre système politique, les votations et élections s’en trouvent faussées.
Genève une ville Suisse ???? Non mais nous ne sommes pas débiles la Suisse n`est plus la Suisse depuis quelques années tout se dégrade dans ce pauvre pays et les écologistes aimerait instaurer une taxe sur les carburants ??? La SOLUTION N`EST PAS D`AVOIR 8 MILLIONS D`HABITANTS EN SUISSE mais simplement stopper immédiatement l`invasion ,plus rien n`est adapté les trains les routes les places de parcs le travail et tout le reste malgré cela on continue à accueillir tout le monde et après on parle du climat de la pollution non mais de qui se moque ton ??Instaurer une taxe des taxes est complétement débiles ,par contre surpeuplé un pays est bien ????? Les écolos un peu de bon sens svpl.
Non Les villes susmentionnées ne sont plus suisse mais internationales… Notamment Genève et sa ribambelle de cornichons diplômés. J’ai quitté cette ville car je m’y sentait…Étranger!
pour voir de vrais suisses, faut aller en Valais…
A Genève, mon ami a été naturalisé sans la moindre enquête. J’étais une des ses marraines de naturalisation et personne ne m’a jamais contactée. Finalement une personne du service des naturalisations lui a donné rendez-vous ans un bistrot de Plainpalais, ils ont discuté 15 minutes, et c’était dans la poche. C’est quelqu’un qui ne va pas poser de problèmes, mais imaginez qu’avec une telle procédure, n’importe quel islamiste peut demander sa naturalisation, c’est pratiquement automatique !
« Peut-on parler encore d’une ville suisse, d’un peuple suisse dans de tels cas ? »
Non, Cenator, on ne peut plus, je le confirme.
Bien qu’il soit extrêmement difficile de trouver des renseignements sur la double-nationalité des conseillers d’Etat et des autres politiciens genevois, on arrive quand même à dénicher que sur les sept conseillers d’Etat du canton de Genève (législature 2018–2023), cinq sont étrangers, il n’y en a que deux qui soient Suisses, et peut-être même Genevois vu leurs noms à consonance du terroir. Ainsi :
– Monsieur Antonio Hodgers [parti politique des Verts] est Argentin (réfugié à Genève depuis 1981 avec sa mère, Silvia Hodgers, qui était militante au Parti révolutionnaire des travailleurs –communiste donc– en Argentine).
– Monsieur Serge dal Busco [parti démocrate-chrétien P.D.C.] est Italien (ce qui n’est pas trop grave pour Genève, car il existe des liens extrêmement anciens avec l’Italie surtout le nord : vallée d’Aoste, Piémont, Lombardie, Vénétie, Ligurie, Toscane, déjà bien avant que ces pays s’agglutinent dans une nation).
– Monsieur Pierre Maudet [parti libéral-radical P.L.R.] est Français (ce qui est bien dommageable pour Genève, car il y introduit la tradition de corruption tout à fait naturelle en France, mais plutôt exceptionnelle en Suisse romande ; sans compter qu’il possède comme tous ses compatriotes français un sens aigu de la hiérarchie et du centralisme étatique).
– Madame Emery-Torracinta [parti socialiste P.S.] est Française (Corse d’origine, cela pourrait atténuer ses défauts typiquement français, mais apparemment c’est une Corse bien française).
– Monsieur Mauro Poggia [mouvement citoyens genevois M.C.G.] est Italien (c’est un excellent conseiller d’Etat, discret, travailleur et efficace, ce qui confirme que l’immigration italienne à Genève est la bienvenue depuis la nuit des temps, sauf quand ses membres militent à l’extrême-gauche, et on ne comprend d’ailleurs pas bien pourquoi il viennent semer leurs virus gauchistes en Suisse).
Et voici nos deux Genevois :
– Madame Nathalie Fontanet [parti libéral-radical P.L.R.], et
– Monsieur Thierry à Apothéloz [parti socialiste P.S.] (nom qu’il ne faut surtout pas prononcer à la parisienne apothélôse, mais bien apothélœ, avec l’accent sur l’avant-dernière syllabe, la dernière étant un o muet) sont en tout cas Suisses-romands ou d’origine savoyarde, et sûrement Genevois depuis quelques siècles.
Le modèle économique actuel de la Suisse, c’est une immigration massive, donc tout tourne à plein régime pour installer les nouveaux venus.
Cela s’accompagne par un bétonnage à outrance, par de plus en plus d’embouteillages, une pollution augmentant proportionnellement, une communautarisation et des budgets sociaux de plus en plus importants. Et la gestion en général du pays se rapprochera de plus en plus de celle qu’on trouve dans les pays d’où proviennent les migrants…..
A moyen terme, 10 ans, 15 ans, ce jeu de l’avion va se casser la figure, tout sera bétonné et invivable, les gens qui le pourront, forcément les gens bien formés et dont l’apport est bénéficiaire au pays, partiront sous d’autres cieux, et resteront que ceux qui ne pourront pas partir et les boulets, nombreux, ces derniers devenant de plus en plus agressifs au fur-à-mesure que les allocations baisseront.
Le jeu de l’avion finit toujours mal, sauf pour les profiteurs de grand chemin, et leurs serviteurs qui seront les premiers à se tirer.