Enquête |Suite à l’attaque meurtrière de la préfecture de police de Paris, l’administration a suspendu une dizaine de policiers soupçonnés de radicalisation. Parmi eux, un capitaine de police musulman conteste cette décision, qu’il juge discriminatoire. Il a saisi la justice. Désarmé devant son équipe et écarté de la police nationale après avoir été dénoncé par […]
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Principe de précaution. Muzz de souche ou non.
M. Macron s’étonne qu’on s’interroge sur l’état de la démocratie et de l’état de droit en France mais cet évènement, les soupçons et la suspension de ce capitaine de police musulman est un “signe” fort de cet état d’esprit du ministère de l’intérieur qui cède à des dénonciations qui sont de fait de la délation. S’interroge-t-on sur les orientations politiques de ces dénonciateurs,?Puisqu’on met en cause l’appartenance religieuse de ce Monsieur on pourrait aussi soupconner les dénonciateurs de “parti pris” . Ou est-ce de la basique jalousie profesionnelle? dans tous les cas, c’est insupportable et je m’étonne qu’il n’y ait pas de réaction plus forte dans l’opinion. Il n’y a que Mélenchon qui monte trop timidement au créneau. J’apporte mon soutien à ce policier et j’espère que la justice qu’il a saisie, se souviendra des “années noires” auxquelles je ne peux m’empêcher de penser devant ce “symptome”. Catherine ROBERT