Au moins 30.000 mineurs d'âge arrivés en Europe entre 2014 et 2017 ont été portés disparus, ressort-il d'un rapport de Missing Children Europe, l'ONG qui chapeaute à l'échelle européenne les organisations nationales telles que Child Focus en Belgique.
Il arrive souvent que la disparition d'un mineur d'âge du réseau d'accueil où il a abouti ne soit pas traitée en priorité, par défaut d'informations ou de moyens ou par manque de formation appropriée des autorités sur la manière de traiter ces cas spécifiques, selon Missing Children Europa.
En 2018, seuls 25% des jeunes primo-arrivants signalés au service d'assistance téléphonique pour enfants disparus (116000) ont été retrouvés par les autorités. Le sort des 75% restants reste inconnu.
Rien qu'en Belgique, Child Focus a reçu sur la période 2014-2018 quelque 430 signalements de disparition de mineurs d'âge non-accompagnés.
"C'est hallucinant de constater que tant d'enfants qui rêvent d'une vie meilleure en Europe disparaissent des radars", commente Hilde Vautmans (Open Vld), co-présidente de l'intergroupe sur le droit des enfants au Parlement européen.
En 2016 déjà, Europol, l'agence européenne de police criminelle, NDLR, avait alerté sur la disparition de 10.000 migrants mineurs d'âge non accompagnés en Europe, fait-elle remarquer.
Dans le meilleur des cas, l'enfant disparu aura poursuivi son trajet pour arriver chez des membres de sa famille dans un autre pays. "Mais il se peut aussi bien qu'il soit exploité pour travailler, abusé sexuellement ou tué pour ses organes", ajoute Mme Vautmans.
L'élue enjoint aux gouvernements de l'UE de mettre en œuvre les recommandations de Missing Children Europe, en menant notamment des exercices de simulation comme c'est déjà le cas en Belgique, en Grèce, en Italie, en France, au Royaume-Uni et en Suède, où les ONG, les pouvoirs publics en charge de la migration, les services de police et les autorités locales coopèrent pour résoudre des disparitions fictives.
"Il en ressort que si les procédures existantes étaient mieux suivies, si la coopération transfrontalière était plus efficace et si les outils existants comme la ligne 116000 recevaient plus de moyens, on pourrait éviter la disparition d'enfants qui tombent dans les griffes des trafiquants d'êtres humains".
Des recommandations par pays sont également publiées. Pour la Belgique, l'ONG insiste sur la nécessité de désigner rapidement un tuteur et de centraliser les données sur les enfants disparus.
La disparition d’enfant ? À qui est destinée cette fable ? Qui en voudrait ? Ces soi-disant mineurs se sont naturellement transformés en majeurs, quoi de plus naturel, et ont intégré la cohorte internationale des clandestins, sans papiers, qui colonisent l’Europe entière.
La meilleure solution :
Remigration immédiate dans le pays de naissance des ces soi-disant MNA – Mineur Non Accompagné !
SI LES PARENTS NAÏFS de ces enfants avaient évité de leur faire prendre le risque de venir seuls, ces enfants seraient encore visibles.
Maintenant l’EUROPE dans sa CHIENLIT SCHENGENISTE permet à tous les trafics en tout genre de se répandre. Les trafics peuvent alors utiliser ces mineurs dans la vente de toutes les drogues , dans les réseaux pédophiles, et dans le trafic d’organes. Et parfois, ils deviennent esclaves de certaines minorités. (cela a été découvert récemment)
Mais les parents MATERIALISTES sont tout à fait à la hauteur de faire prendre tous les risques à leurs enfants pour aller dans le faux Eldorado que nous sommes.
Mais nos mondialistes aiment tellement faire nomadiser l’humain, qu’un mineur qui s’égare ou disparaît, qu’une femme irresponsable, au bord de l’accouchement, monte dans une embarcation précaire, ne les concerne pas. L’essentiel est de faire “du chiffre démographie” capable d’ensevelir l’Europe, leur joujou préféré.
Ils n’ont pas disparu, ils sont devenus majeurs et ont changé d’identité d’un coup de baguette magique. “Mais il se peut aussi bien qu’ils soient exploités pour travailler, abusés sexuellement ou tués pour leurs organes” C’est sûr, dans ce continent sauvage peuplé de barbares ce genre de choses arrive. Et la marmotte…
En effet !….pôôôôvres “enfants” !…entre 20 et 35 ans ces pôôôvres enfants ! comment voulez vous qu’ils arrivent à se débrouiller ?…ils n’ont qu’un smartphone pour survivre ! et dire qu’il y en a encore pour s’attendrir devant cette fumisterie !?
Oui, si on confond “disparus” et “passés dans la clandestinité”. De plus si on acceptait de faire des batteries de tests radiologiques à ces “mineurs non accompagnés” on s’apercevrait (Oh, divine surprise!) que 9/10 ont plus de 18 ans. Ce qui explique sans doute la fréquence de la barbe et de la moustache chez ces enfants prétendant avoir 12 ans !