Une vidéo circule en Nouvelle-Calédonie.
On y voit certain Florent Eurisouké, fruit incertain des copulations idéologiques entre Greta et quelque membre de l’État islamique, agresser avec sa bande un employé asiatique d’un minéralier venu charger une cargaison de nickel à Houaïlou, commune de la côte est de Nouvelle-Calédonie.
Armé d’une tronçonneuse, le barbare kanak menace de trancher la tête du jeune Asiatique, le gifle, le force à manger des bêches de mer (holothurie) qu’il vient de ramasser sur le platier.
On sent dans la violence du monstre la perversité heureuse des imbéciles des idéologies totalitaires : la force comme unique argument, l’avilissement de l’autre, le droit de vie ou de mort sur l’homme réduit à l’état d’objet.
Le discours du barbare est intéressant.
Il reprend les thèmes du kanakysme : « Mon pays », « voler notre terre », la fumeuse terre des ancêtres au nom de laquelle, quand on est kanak, on peut tout se permettre : attaquer des bateaux de plaisance, détrousser des campeurs, menacer de mort tous ceux qui ne sont pas kanaks, violer, mutiler, tuer.
Un discours qui justifie toutes les horreurs kanakystes actuelles en Nouvelle-Calédonie et surtout justifiera tous les crimes futurs si les indépendantistes parviennent à prendre le pouvoir.
Dans un an, un deuxième référendum aura lieu. On y jouera l’avenir de l’archipel avec les mêmes dés pipés que pour le premier, celui du 4 novembre 2018 : 40 000 habitants interdits de vote, des Kanaks – le prétendu peuple premier – inscrits d’office sur les listes électorales alors que les électeurs des « communautés » doivent se transformer en archivistes pour prouver qu’ils vivent bien sur l’archipel depuis, pour certains, plus de vingt-quatre ans.
Le peuple premier et les communautés : une sinistre farce concoctée par les socialos pour forcer les urnes à donner un verdict contraire à la démocratie.
Eurisouké dit ne rien regretter de son acte.
Il est vrai que le crime commis par le marin chinois (en combinaison orange comme les prisonniers prêts à être égorgés dans l’EI) est impardonnable : avoir pêché quelques holothuries sur un platier.
Pas de discussion, tout de suite la tronçonneuse en action, les baffes, la jouissance d’obliger le jeune homme à s’étouffer avec ces bestioles à gueule d’étron quand elles ne sont pas cuisinées.
En prime, Eurisouké frappe un Européen venu plaider la cause du jeune Asiatique.
L’homme a l’habitude de vomir la France et les Zoreilles au nom d’un plaidoyer écologique aussi fourbe qu’une taqîya. Pourquoi ne mène-t-il pas le même combat contre ses frères qui tuent les tortues du lagon et les dugongs sans l’ombre d’un remord ? Parce que c’est la tradition ? Parce qu’ils se disent chez eux et ont donc le droit de faire ce qu’ils veulent ?
Ces gens-là pensent que la loi ne s’applique pas à eux et leurs actions de voyous. La coutume suffit, disent-ils.
La coutume : un système moyenâgeux, des règles où la femme est plus souvent un punching-ball qu’un être humain, une mentalité du maître et des esclaves.
Daeninckx et ses amis ont signé une tribune dans Libération pour demander l’indépendance de la Nouvelle-Calédonie.
Voilà à quoi ressemblera la Kanaky de leur désir : un barbare aussi gras que stupide. Mais c’est sans doute aussi le rêve de la plupart des signataires.
Cannibale a écrit Daeninckx. Évidemment pour signifier le contraire.
Mais chassez le naturel, il revient au galop. Le jeune Asiatique a finalement eu de la chance.
Alexis Bouroz, procureur de la République à Nouméa, a lancé il y a peu qu’il ne doit pas y avoir de laxisme, que « dès lors qu’il constate des violences, il déclenche une enquête ».
On attend de voir le monstre solidement menotté sortir d’un blindé de la gendarmerie. À moins qu’au nom de la coutume, de rites traditionnels, dans un nouvel éloge de la barbarie, Florent Eurisouké ne soit félicité.
Marcus Graven
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