Afin de détecter des contenus pornographiques, Google et Facebook surveillent tous les utilisateurs. Des informations ensuite communiquées à la police fédérale suisse qui procède à une analyse. Une pratique critiquée.
«Seulement 10% de contenus pertinents »
«L’année dernière, nous avons reçu environ 9000 messages», déclare Florian Näf, porte-parole du Bureau fédéral de la police (Fedpol), au journal suisse alémanique. «Sur le plan pénal, seulement dix pour cent d’entre eux étaient pertinents.» [...]
Tous les contenus sont fouillés
Selon Florian Näf, les exploitants n’examinent pas seulement des cas suspects spécifiques, mais fouillent également tous les contenus téléchargés, y compris dans les messages privés, à l’aide d’algorithmes qui reconnaissent entre autres la peau nue et les enfants. [...]
Je ne sais plus qui avait sorti cette vérité, il y a déjà fort longtemps, en disant que les GAFA, et particulièrement Google, Facedebouk étaient des outils bien meilleurs que ce que faisait la Stasi de l’époque, de plus, c’est l’utilisateur lui-même qui fournit, gratuitement ses propres données. faut vraiment être un peu zinzin.