Payot a réédité l’ancien livre de lecture des petits écoliers « Mon premier livre ». C’est un des sujets du TJ de 19h30 du 27 août 2019 :
https://www.rts.ch/play/tv/19h30/video/19h30?id=10665987, 15:49-17:65
Philippe Revaz (successeur de Darius Rochebin) : La librairie Payot prend le risque de choquer avec la mise en vente d’un ouvrage qui accompagnait les écoliers vaudois et neuchâtelois au milieu du siècle dernier. Mon premier livre est à nouveau en vente 50 ans après sa dernière édition.
Pour certains, c’est une délicieuse madeleine de Proust, pour d’autres, certains passages sont plutôt choquants.
Reportage de Cecilia Mendosa :
Coup de marketing de Payot titillant la nostalgie. Edité pour l’apprentissage de la lecture pour la première fois en 1912 par Fritz Payot, puis distribué dans les écoles vaudoises et neuchâteloises jusqu’aux années 70.
Le directeur de Payot explique que c’est un livre qui ne correspond plus aux normes d’aujourd’hui aux points de vue de l’égalité et du racisme, mais c’est pour montrer qu’en cinquante ans non seulement les méthodes d’éducation ont évolué mais la société a également changé.
Pour l’historien Dominique Dirlewanger (interviewé par Cecilia Mendosa), donner ce livre à un enfant sans explication serait problématique et la mise en garde insérée dans le livre est insuffisante.
Dominique Dirlewanger : L’avertissement sur la feuille volante placée dans chaque livre est très fortement euphémisé. Quand on lit « des lieux communs discriminants, hérités du colonialisme », au lieu de parler de racisme, ou qu’on parle d’un « ordre conservateur de l’organisation familiale », au lieu de parler de sexisme, on est en train de fortement banaliser le contenu de ce manuel.
Cecilia Mendosa : Un avertissement pourtant jugé suffisant par l’Etat de Vaud, qui a autorisé sans hésiter ce nouveau tirage en 2000 exemplaires.
Résumé : Cenator
Le pire c’est qu’à l’époque les enfants qui apprenaient à lire avec cette horrible méthode sortaient de l’école primaire en sachant lire … quelle horreur!
BRAVO ALDO !
Aucun danger. Au train où vont les choses, les jeunes ne sauront même plus lire.
Je ne vois pas en quoi l’État de Vaud puisse avoir son mot à dire quand à la réédition d’un livre, fût il d’apprentissage à la lecture , par un éditeur privé.
Perclus dans son sempiternel politiquement correct, le Professeur Dirlewanger est pathétique…
IL FAUT QU’ILS ARRÊTENT CES SALOPARDS DESTRUCTEURS DE L’ÉCOLE, DES ELEVES ET DE LA CIVILISATION AVEC L’ARGENT DE LA REDEVANCE OBLIGATOIRE.
Décidément l’école publique passant par la Brunschwig-Graf à la Torracinta n’ est à la pointe qu’en matière d’exploitation du racisme, du féminisme, de l’homosexualité, des genres, du réchauffement de la planète, du Welcome pour n’importe quels criminels sous prétexte d’étrangers, du soutien aux frères musulmans et à tout ce qui tourne autour et qui révèlent de scandaleux actes de soumissions aux religiosités barbares comportant aussi les sacrifices humains puisque c’est la boîte de pandore du culturelle qui justifie tout et se complète bien avec les balivernes sur le cannabis, le scabreux etc.
Tout est bon que ce soit à l’école ou à devant les injonctions de la TSR, pour soustraire les élèves au sentiment d’appartenance à la nation, au culte de l’honnêteté, de la vérité, de l’hygiène et de la propreté, des bonnes manières, du respect d’autrui, du silence, au respect de la langue et de l’enseignant avec une tenue correcte et non des pantalons troués qui montrent la raie du cul, des seins en vitrine. Est-ce acceptable de fabriquer des putes même si la politique en est encombrée ? De fabriquer des sauvages pour peupler des manifs sans queue ni tête qui emmerdent la population laborieuse tous le week-end ? De fabriquer des zombis incultes dont la suffisance les invite à rejoindre les rangs des gauches de religion anarchistes ? De soustraire les élèves à l’enseignement des risques qui se multiplient à cause d’internet mais aussi dans la rue, qui devient une place de jeux avec ses trottinettes illégales et tueuses, tout comme d’autres moyen de locomotion, voir l’usage de trottoirs par des “cyclistes” qui évitent les pistes cyclables même pour aller à leurs manifs imbéciles, pour ensuite remonter dans le bus en prenant toute la place des poussettes et très naturellement sans avoir payé leurs billets, aussi pour le vélo…