Cenator: Tout ce qui est rare est cher, comme dit l’adage. Depuis que la naturalisation suisse est devenue un dumping électoraliste pour les gauchistes, devenir suisse ne correspond plus du tout à ce qui était jadis exigé des candidats.

La double nationalité était interdite, et chaque personne adulte devait verser le triple de son revenu mensuel brut. C’était ainsi jusqu’à la chute du communisme à l’Est. Par la suite, le marxisme a déménagé chez nous et la Suisse a perdu son bon sens : immigration de masses inassimilables, droit d’asile dévoyé, perte d’identité culturelle, raciale, pillage de nos assurances sociales, tout cela est allé de paire avec la dévaluation des critères de naturalisation.

A présent, il y a une volonté de durcir les conditions, mais le mal est fait. Nous avons toute une population d’analphabètes qui ont obtenu le passeport suisse tout en étant hostiles et ignorants de notre culture. Sans surprise, ce sont les cantons les plus infestés par le marxisme culturel qui ont les taux de naturalisation les plus élevés : Neuchâtel, Valais, Vaud et Genève… avec plus du double que plusieurs cantons de Suisse alémanique.

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Le Matin : Le passeport rouge à croix blanche n'est pas donné et les frais pour l'obtenir sont très variables selon les régions. C'est le constat du comparateur en ligne Comparis qui s'est penché sur les frais de naturalisation en Suisse, dans les chefs-lieux cantonaux. Verdict: c'est dans le canton de Vaud que cela coûte le moins cher de devenir Suisse.

En effet, il faut débourser 800 francs en tout pour se faire naturaliser à Lausanne quand on est une personne adulte. [...]

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