Le Toronto Star rapporte que les craintes suscitées par les changements climatiques rendent les gens profondément déprimés et que les enfants ont peur de l’avenir. Cela d’autant plus que les reportages des médias sur les phénomènes météorologiques extrêmes et les incendies de forêt sont utilisés comme preuves que « la fin est proche ». Certaines personnes sont tellement déprimées qu’elles deviennent suicidaires.
Or Roger Pielke, Jr., chercheur en sciences et politiques climatiques, a écrit un livre montrant qu’il n’y a aucun lien entre les phénomènes météorologiques extrêmes et un réchauffement planétaire ou changement climatique causé par l’homme. D’après ses recherches, il n’y a pas de tendance générale à plus d’extrêmes ni à des pertes financières. Cela ne veut pas dire qu’on ne doive pas se soucier de manière réfléchie des impacts humains sur l’environnement et le climat. Mais cela signifie qu’il n’y a pas de catastrophe imminente et que les choses vont bien mieux que ce que les médias rapportent. L’auteur a même offert aux journalistes un téléchargement gratuit de son livre factuel… avec peu de preneurs au moment où nous réalisons cette vidéo.
Michelle Stirling, directrice de la communications pour Friends of Science, explique que la presse et certains investisseurs militants font preuve d’irresponsabilité en semant la peur tout en bloquant les voix rationnelles, comme celle de Pielke.
Si vous en avez marre qu’on vous fasse peur jour après jour avec le climat, écrivez à vos médias locaux pour vous plaindre. Et recommandez ce livre :
Roger Pielke, Jr., The Rightful Place of Science: Disasters and Climate Change [La juste place de la science : catastrophes et changements climatiques].
Et vous, qu'en pensez vous ?