Les hommes nés en France de parents originaires d'Afrique du Nord connaissent une «importante surmortalité» : c'est le résultat d'une étude de l'Ined publiée le 27 juin, qui reste cependant vague sur les causes de ce phénomène.
Alors que la probabilité estimée de décès entre 18 et 65 ans s’élève à 162 pour 1 000 pour les hommes de la population «de référence», elle est 1,7 fois plus élevée pour les hommes nés en France de deux parents immigrés d’Afrique du Nord (Algérie, Maroc et Tunisie), soit 276 pour 1 000 rapporte l'Institut national d'études démographiques.
Les résultats suggèrent que cette surmortalité ne s'explique pas simplement par les différences de niveau d'éducation, mais par un ensemble de désavantages
«Les résultats suggèrent que cette surmortalité ne s'explique pas simplement par les différences de niveau d'éducation, mais par un ensemble de désavantages, notamment sur le marché du travail et sur le niveau des revenus», expliquent les auteurs, qui estiment qu'il s'agit d'une «dimension de santé publique importante et inconnue jusqu'ici».
Les immigrés de première génération pas affectés par cette surmortalité
En revanche, elle est plus faible pour ceux de la deuxième génération d'origine sud-européenne (Portugal, Italie et Espagne), à 106 pour 1 000, ainsi que pour les hommes immigrés de première génération toutes origines confondues. Les résultats concernant les femmes ne relèvent pas de «différences statistiquement significatives», précise l'étude.
La discrimination sur le marché du travail, qui est «plus répandue» parmi la deuxième génération, peut se traduire par une «détérioration du fonctionnement psychosocial» et par un «impact négatif sur la santé», explique les chercheurs de l'Ined, qui ont précisé qu'il a été «difficile» de travailler sur le sujet à cause du manque de données. Selon l'étude, la première du genre en France, «il est peu probable que la différence d'accès aux soins de santé soit un élément important car les études n'ont montré aucune différence dans l'utilisation des soins» entre les groupes étudiés.
Les chercheurs ont utilisé un échantillon de 380 000 personnes âgées en 1999 de 18 ans et plus et ont exploité des registres de décès jusqu'en 2010. Selon l'Ined, la France est le pays qui compte la plus grande population de descendants d’immigrés de deuxième génération dans l'UE. En 2014, la population d'individus nés en France avec au moins un parent immigré représentait 9,5 millions de personnes, soit 14,3% de la population totale.
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Extrait de: Source et auteur
Ben, ils n’ont qu’à aller assumer leur destin et celui de leur pays, dans leurs pays. Quand on est d’un pays, on aime son pays
Oui… Ils n’ont qu’à aller vivre leur destin dans leurs pays. Quant on est d’un pays, on aime son pays!
Extrait du texte :
“La discrimination sur le marché du travail, qui est «plus répandue» parmi la deuxième génération, peut se traduire par une «détérioration du fonctionnement psychosocial» et par un «impact négatif sur la santé», explique les chercheurs de l’Ined, qui ont précisé qu’il a été «difficile» de travailler sur le sujet à cause du manque de données”.
Pourquoi les anciennes générations étaient moins touchées par cette “soi-disant discrimination” ?
PARCE QUE “les industries ne se délocalisaient pas comme aujourdhui”. Mais le patronat ne supportant pas les exigences sociales des classes ouvrières est allé voir ailleurs s’ils pouvaient avoir plus de profit.
SAUF QUE CES DELOCALISATIONS affectent toutes les classes laborieuses et que c’est ce qui amène ENTRE AUTRES, les gilets jaunes à descendre dans la rue.
L’ETAT de santé des uns et des autres aujourd’hui est très lié à ce que produit la société aujourd’hui, à savoir “LE CHOMAGE DE MASSE”.
15000 personnes se suicident aujourd’hui, PAR ANNEE, à cause du chômage et l’absence effroyable de perspectives. (info fournie par Juan Branco)
Mais il semble qu’on ne se suicide pas dans les classes sociales immigrées à cause du chômage. Car on a toujours l’espoir que la communauté sauve l’individu. Cela n’empêche pas que cela affecte l’état de santé psycho-physiologique.
Mais nous ne saurons pas quel effet cela aurait pu avoir sur l’état de santé des autochtones car nombreux sont ceux qui ont préféré choisir la solution radicale.
En attendant, laisser tomber dans l’INUTILITE ou l’OISIVETE un citoyen est la faute la plus lourde de ce système. Les mairies et les associations en tout genre, ont des besoins diverses qu’elles n’ont pas les moyens de remplir. Un peu ou beaucoup de bénévolat (en attendant le retour au travail) permettrait aux gens d’être SOCIALISES et de se sentir UTILES à la société.
Bien sûr, ça va encore être la faute des Français de souche, surtout pas à des choses comme la consanguinité par exemple, le jeûne du ramadan, les guerres de gangs, c’est Soros qui a dû financer cette étude !