C’est à Lyon que Marion Maréchal a accueilli TV Libertés lors du premier anniversaire de l’ISSEP (Institut de Sciences sociales économiques et politiques) dont elle est la directrice. Interrogée par Martial Bild, Marion Maréchal évoque la réussite de l’ISSEP et le pari gagné d’installer l’école au sein du monde de l’enseignement supérieur français. Revenant sur ses déclarations depuis le scrutin des européennes, elle rappelle qu’elle n’a jamais cessé de faire de la politique au sens du service de la Cité. Cependant, elle ne manque pas de préciser que, si elle ne s’interdit pas d’intervenir dans le débat des idées, il ne s’agit pas, pour elle, de se mettre dans le giron d’un parti ou de devenir le porte-parole d’un parti politique. Dans cet entretien exclusif accordé à la chaîne, Marion Maréchal dessine les conditions du « grand compromis patriotique » auquel elle aspire. Elle évoque enfin les grandes questions d’actualité comme le débat sur la PMA, la crise de l’identité, la partition de notre pays. Sur ce dernier sujet, elle réaffirme avec force : »Je ne veux pas que ma France devienne le Kosovo ! Or le risque existe… ».
L’article Le Zoom avec Marion Maréchal : « Je ne veux pas que ma France devienne le Kosovo ! » est apparu en premier sur TVLibertés - 1ère chaîne de réinformation | Nous, c'est vous.
Extrait de: Source et auteur
Il faut être ferme sur les prix!
Nous chez nous, les divers bolcheviques ailleurs
Le risque de partition existe bel et bien mais il y a d’autres risques qui existent : “Quel sera le sort des autochtones de souche chrétienne quand ils deviendront minoritaires sur les terres de leurs ancêtres ? ” Récit romantique love story “les corps indécents” . Attendez, vous n’avez encore rien vu !
Est-ce que ce grand compromis politique auquel elle aspire arrivera?
Pour cela il faudrait qu’il y ait un sentiment national rassembleur. On espère que ce sentiment national va se développer chez “les républicains et autres partis de droite ” dont les éléments sont “hypnotisés, fascinés par Bruxelles, et surtout adeptes d’un carriérisme très rémunérateur.
Si Bruxelles n’existait pas, ce sentiment national aurait perduré chez beaucoup d’hommes politiques français ou dans d’autres pays européens. Ils auraient agi pour le bien de leur nation.
Bruxelles est une erreur considérable dans l’histoire de l’humanité européenne. Car son programme emmène les pays vers la dérive. Dérive voulue depuis sa création et si bien organisée qu’elle ne nous laissait pas la percevoir. C’est le fait migratoire qui nous a permis de percevoir que cette organisation cachait en fait, une dictature, soft mais dictature quand-même.
Les nations ne pourront ressusciter que si elles quittent Bruxelles et qu’elles refondent la communauté économique européenne qui marchait et nous rendait prospères.
Le Kosovo peut-être, beaucoup plus sûrement le Liban…..