Le ministre de l’Éducation polonais contre la sexualisation des enfants en bas âge et contre la propagande LGBT à l’école

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De notre correspondant permanent à Varsovie – Plusieurs ministres du gouvernement Morawiecki s’étant portés candidats aux élections européennes, ils ont été remplacés cette semaine par de nouveaux noms. À l’Éducation, le nouveau ministre, Dariusz Piontkowski, a clairement dit qu’il s’opposerait à la propagande LGBT dans les écoles du pays. Piontkowski avait déjà critiqué en mars la « Charte LGBT+ » signée par le maire de Varsovie, qui prévoit un accès du lobby LGBT aux écoles de la capitale et une mise en œuvre des Standards pour l’éducation sexuelle en Europe de l’OMS.

Pour l’OMS, les enfants commencent à se masturber entre 2 et 3 ans. Il s’agit d’une conception basée sur les travaux de l’Américain Alfred Kinsey, qui est pourtant accusé d’avoir été non seulement un escroc scientifique mais aussi un pervers torturé par des pulsions masochistes, homosexuelles et pédophiles.

Par conséquent, le bureau européen de l’OMS préconise, dans ses Standards pour l’éducation sexuelle en Europe rédigés à l’intention des gouvernements européens, « d’informer l’enfant » de 0 à 4 ans sur « le plaisir et la satisfaction liés au toucher de son propre corps, la masturbation enfantine précoce », de « permettre à l’enfant » de 0 à 4 ans de devenir conscient de son identité sexuelle, parler des sensations (dés)agréables dans son propre corps, exprimer ses propres besoins, désirs et limites, par exemple en « jouant au docteur », etc.

Dans une résolution adoptée le 13 février dernier, le Parlement européen avait regretté « qu’aucun État membre ne dispense une éducation sexuelle, une éducation aux relations ou une éducation à l’égalité hommes-femmes conforme aux standards de l’Organisation mondiale de la santé pour l’éducation sexuelle et à son plan d’action pour la santé en matière de sexualité et de procréation, ce qui équivaut à un non-respect de lignes directrices internationales ; que la résistance croissante à une telle éducation est alarmante, comme l’est la stigmatisation par certains mouvements politiques des personnes qui la dispensent ou la reçoivent ; que cette résistance est souvent due à des campagnes de désinformation quant au contenu des cours d’éducation sexuelle menées dans de nombreux États membres, qui ont pour effet d’empêcher la tenue de cours informatifs, essentiels et inclusifs destinés à tous ». Les députés français LR avaient voté en faveur de cette résolution, avec la gauche et les libéraux, mais contrairement au RN qui avait voté contre.

En mars dernier, sur la base de ces standards de l’OMS, le Polonais Piontkowski avait quant à lui estimé dans un entretien à la télévision que la Charte LGBT+ signée par le maire libéral de Varsovie est en réalité un effort pour éduquer des enfants qui seront à un moment donné livrés aux pédophiles ». Cette déclaration lui a valu d’être qualifié de « radical » par les libéraux et le lobby LGBT qui fait semblant d’avoir oublié ses liens étroits avec lobby pédophile jusque dans les années 1980. Un lobby LGBT très influent à l’OMS.

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