Donald Trump, Matteo Salvini, mouvement des Gilets Jaunes, depuis des mois, un nouveau vent souffle dans le monde… Certains parlent de populisme, d’autres tout simplement d’un réveil des peuples.
Après avoir été le premier journaliste français à suivre et interroger Donald Trump lors de sa campagne pour gagner la Maison Blanche, le journaliste et écrivain André Bercoff publie « Le retour des peuples ». Un ouvrage qui revient sur ces élites qui ont fait sécession pour vivre entre elles dans le culte du « sans frontiérisme ».
Entre ces « nomades du haut » et l’immigration galopante sur les côtes européennes, les peuples autochtones se voient écrasés, oubliés, méprisés parfois. Leur voix n’est plus entendue.
Dans « Le retour des peuples », André Bercoff dresse le constat d’une fracture dans la population, tiraillée entre l’évaporation de son pouvoir d’achat et le rapt insidieux de ses racines.
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Extrait de: Source et auteur
Ces élites qui ont fait sécession sont-elle vraiment nomades ?
Ceux qui squattent les médias sont-ils actifs sur l’ensemble du globe ? Je pense qu’ils sont au contraire très peu nomade, sortant rarement de leurs arrondissements bien protégés et bien à l’abri des autres, vivant entre eux.
Leur côté “sans frontiériste” est juste une manière d’imposer cette immigration massive aux autres, parce qu’ils ont besoin d’esclaves pour payer le plat du jour très bon marché et vider leur poubelle, et aussi pour rejeter ceux qui pourraient menacer leur petite vie de parasite hyper protégé, les immigrés faisant office de repoussoir des autochtones.
Des nomades sans frontières…… quel gag !