Toutes ces mesures délirantes s’ajoutent aux cures de désintoxications à la pelle, aux nombreux placements en EMS psychiatrique de drogués au bout du rouleau, aux innombrables spécialistes : psychiatres, psychologues, infirmiers spécialisés en toxicodépendance…
Les drogués font marcher une véritable industrie, bien entendu entièrement financée par les contribuables.
La cause des trafiquants africains et celle des toxicos sont toutes deux défendues unanimement par la gauche... à chacun sa vocation.
C’est ainsi que notre establishment « lutte » contre la toxicodépendance, le trafic de drogue et la hausse des primes des assurances maladie ! A qui profite le crime ?
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Genève - Faire tester la drogue lundi et éviter le drame samedi - David Ramseyer
Une structure permanente offre aux consommateurs occasionnels d'analyser leurs doses. But: limiter le danger lié aux stupéfiants.
«Le message de base est clair: toute consommation de drogue comporte un risque. Notre rôle, c'est réduire ce risque», énonce Roxane Morger Mégevand, coordinatrice du projet Drug checking de l'antenne Nuit blanche?. Le 3 juin, elle ouvrira une permanence dans le quartier des Grottes, qui permettra aux consommateurs occasionnels de faire analyser leurs produits stupéfiants, de manière anonyme et gratuitement.
C'est une première en Suisse romande, alors que ce genre de structure fixe existe depuis une vingtaine d'années à Berne et à Zurich. [...]
Cela nous renvoie à la couverture de The Economist 2019 où l’on voit “le bel homme de Vitruve”croqué par Léonard De Vinci, tenant dans la main gauche “une feuille de cannabis” et dans la main droite “un IPHONE”
On pourrait dire que nous sommes dans l’époque de la dépendance aux herbes folles et aux appareils qui nous semblent créer du “lien”, alors qu’il nous éloignent de l’autre.
Nous sommes bien obligés de nous apercevoir que nos sociétés fonctionnent depuis longtemps à “l’envers”.
– Ainsi le coût de “l’arrivée” de l’immigration NON INDISPENSABLE est assumée par le contribuable.
– Le coût de la propagation de la drogue et de ses conséquences, physiques, sociales et psychologiques sont encore assumées par le contribuable.
– Le coût de l’installation, du logement, de l’assistanat global pour les migrants ordinaires (n’ayant pas d’attrait pour l’argent facile) est encore assumé par le contribuable.
– le coût global des mineurs non accompagnés qui arrivent ” à gogo”, est encore assumée par le contribuable.
UN SIECLE A L’ENVERS. Une inversion totale des valeurs et de la logique. Et que seule une minorité semble avoir perçu. C’est dire “l’état cérébral général” dans lequel se trouvent les populations européennes de l’Ouest. Heureusement, il arrive parfois qu’un évènement “surprise, voire sublime se présente : “les gilets jaunes”.
https://lesavoirperdudesanciens.com/2018/12/la-signification-occulte-des-messages-secrets-sur-la-couverture-de-the-economist-pour-lannee-2019/
Où aurions-nous toléré un shootoir subventionné, ailleurs que dans une ville infestée par la gauche ? Lausanne et Genève méritent une mention spéciale, les toxicomanes et les dealers sont aux petits soins, assistés par une nuée de fonctionnaires malfaisants protégés par nos élites. Refugees welcome, LGBT, popistes, journalistes, universitaires faméliques, gauchistes de luxe et épaves de toutes sortes hantent les lieux en permanence.
Combien de personnes vont y prendre goût ?
Bien sûr aux frais de la princesse !! NOS impôts !