Vincent Lambert : Marion Maréchal prend position

 

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Le débat sur le sort de Vincent Lambert pose une question essentielle sur qui peut décider de laisser mourir ou de provoquer la mort d’une personne en situation de paralysie totale et qui ne peut donc exprimer sa position sur l’issue qu’elle souhaite. La loi Léonetti devait régler la question mais on constate que ce […]

 

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2 commentaires

  1. Posté par Max93 le

    Une bonne chose qu’on continue de le soigner. Si la mort avait été donnée par un médecin (médecin ? ) validée le Conseil constitutionnel (quelle ingérence !), réjouissant des idéologues “euthanasites” la jurisprudence aurait fait que les 1700 handicapés dans un état analogue à Vincent devenaient en attente juridique d’euthanasie imminente.
    Le plus impressionnant c’est de voir dans des consultations -sondages réseaux sociaux et autres 80% environ des gens favorables à la mort donnée pour Vincent. “Insupportable légèreté de l’être” en pleine vie ?
    “coûte trop cher”, “fanatisme religieux”, arguments redondants. Étonnamment les mêmes arguments que ceux donnés dans les années 1930 par la majorité des allemands “moyens” ce qui donna un socle justificatif à Hitler quand il déclencha l’euthanasie de masse contre les handicapés plus ou moins et les malades mentaux: résultat ? 300 000 assassinés génocidés.
    https://www.sciencespo.fr/mass-violence-war-massacre-resistance/fr/document/l-extermination-de-malades-et-handicapes-mentaux-sous-le-regime-national-socialiste
    Pour satisfaire tout le monde un engagement écrit par tous avec abstention écrite, un divorce de circonstance exceptionnelle du conjoint qui voudrait refaire sa vie. Et le mieux une entente entre l’équipe médicale la famille et les proches pour une décision, discrète “vie privée” ! ce qui se passe presque toujours pour éviter le “reniflage” statistique et émotionnel de Dingues médiatisés “de la transparence totale généralisée” (sur ça …et le reste) .

  2. Posté par Dominique Schwander le

    Tant que des médecins refusent de recevoir à leur cabinet un nouveau patient, ils doivent aussi arrêter le traitement d’un patient en état végétatif après avoir obtenu le consentement éclairé du conjoint, des enfants ou des parents. Si le patient a exprimé la volonté de ne pas être réanimé, le médecin doit lui obéir évidemment. Il faut éviter de compliquer le tout par des lois et des juges droit-de l’hommistes soumis à des entités supranationalistes.

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