Brélaz (0:50) : L’UDC soutient à mort les radicaux, mais quand c’est leur tour, la réciproque n'existe pas. Donc l’UDC est quelque part un marche-pied pour les radicaux mais le contraire n’est pas vrai.
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Interrogé lundi dans La Matinale, le premier parlementaire écologiste au monde a confirmé son intention de se représenter au National, malgré les réticences. "Je suis d'accord avec les critiques, mais l'idée est de tirer la liste pour obtenir un 3e siège pour les Verts et de laisser ma place après 2 ans", a déclaré Daniel Brélaz.
"Je ne suis pas indispensable, mais je suis une locomotive électorale et dans une élection serrée, cela peut faire la différence", a-t-il encore affirmé. "En 2011, quand on a perdu notre 3e siège, l'élection s'est jouée à 0,2%. Si j'avais été là, peut-être qu'on l'aurait gardé, mais on ne peut pas refaire le passé".
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Aussi élégant qu’un éléphant dans un magasin de porcelaine, ce n’est tout en cas pas la modestie qui étouffe celui qui a toujours bénéficié de la douce pommade des journalistes. Souvenez-vous, ils l’avaient surnommé “Le Géant Vert”, alors que s’il avait été de droite, la presse l’aurait sans doute appelé “Le Gros Sac de Gazon”.
Que dire! A le voir comme ça on dirait un vieux malade qui croit a tout ce qu’il dit. Je n’ai jamais vraiment aimé ce personnage, comme beaucoup d’autre mais lui je crois qu’il fait partie de ces politiques adeptes du grand remplacement mais tant que c’est pas lui qui paye. On devrait mettre une date limite sur les politiques comme sur les denrées alimentaires… on l’a assez vu et surtout entendu et… supporté… ciao pantin!
M. Daniel Brélaz déclare :
”Je ne suis pas indispensable, mais je suis une locomotive électorale”.
Après avoir sévit bien trop longtemps à la municipalité de Lausanne, M. Brélaz tend à s’incruster au Conseil national !
M. Brélaz n’est PAS indispensable et c’est une locomotive bien essoufflée ….