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Les ‘queer week’ de Sciences Po depuis 10 ans et l’apparition de ‘queer for kids’ dans une bibliothèque municipale parisienne amènent à réfléchir au contexte et aux enjeux d’un tel courant.
D’abord, cette recrudescence financée par les pouvoirs publics est surprenante, voir choquante dans le climat social et économique actuel.
Ensuite, sur le fond il parait important d’expliciter que ce courant initié par J. Butler vise à une déconstruction extrême : dépasser les deux [homme-femme ringardisés] … dans un polyamour sans distinction de sexe, sans engagement, sans contrainte, ni tabou’ (T. Derville).
Mesurons à quel point on refuse l’objectivité à vouloir mettre en regard un couple homme-femme pervers ou violent à un duo homosexuel sans défaut. Déjà les futurs dirigeants de la nation risquaient d’être abusés par un tel miroir déformant mais maintenant ce serait le tour des enfants. Combien ceci risque fort de favoriser un délitement social en voulant émanciper l’individu de toute antériorité dans un refus du donné qui fait notre généalogie, certes toujours imparfaite. En effet, le ‘queer’ vise une pluralité d’identités sexuées avec sexe polymorphe, pluraliste, subjectif, sans limite et finalement indéfini : le corps sexué n’aurait plus rien de réel. Le schéma central de ce courant correspond au comportement du travesti (cf. les écrits de Butler) et donc un soupçon envers une identité sexuelle. Pourtant, sans vouloir idéaliser une harmonieuse interdépendance à construire toujours, le corps sexué des membres du couple parental a un sens indéniable pour l’élaboration de la personnalité de l’enfant : ce repère est précieux pour nous construire.
La perversion se répand comme l’huile. Il n’est pas étonnant que l’initiative première revient à “Science-Pot” (comme on écrit Pol-Pot), qui précisément fait face à… l’ENA -de Lénine ? Les “politiques” -en fait des juristes complètement déjantés- tolèrent ces délires nuisibles au prétexte libéral-libertaire que “l’individu”, comme ils disent, aurait “naturellement” des “droits”, y compris celui d’être pervers, oubliant la réalité. Résultat : une toxicité accrue, épidémique, des délires pervers, au détriment de la société. Sil existait vraiment une politique, les fous qui font du prosélytisme génériste seraient traités par des psychiatres. Je crois bien qu’il n’y a plus de politique que chez les Gilets Jaunes, qui ont les pieds sur terre, eux.
Au fait, la traduction en français de l’article de L. Littman, “Rapid-onset gender dysphoria in adolescents and young adults”, se trouve ici : http://www.subito-invenio.org/wordpress/?page_id=4743. Lisez : il n’y a même pas besoin de commentaires pour comprendre que 2 et 2 font 4.