Des réfugiées agressées dans un camp syrien par des « épouses de l’EI », qui les traitent d’« infidèles » parce qu’elles ne sont pas voilées

Cenator : Et Manon Aubry réclame leur retour !

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Des épouses de djihadistes de l’Etat islamique ont tenté d’attaquer des femmes réfugiées dans leur camp du nord de la Syrie, leur reprochant d’avoir « défié le califat ».

Les gardes ont été forcés de tirer en l’air pour interrompre les bagarred, voire d’utiliser une fois un taser pour calmer une détenue étrangère djihadiste.

Une femme de ce camp d’al-Hol aurait dit : « Elles nous crient dessus que nous sommes des ‘infidèles’ parce que nous montrons notre visage. Elles ont essayé de nous frapper. »

Baghouz est la dernière parcelle de territoire occupée par l’EI après des années de combats qui ont fait reculer son « califat » en Syrie et en Irak.

Cependant, avec cette défaite imminente de l’EI, les Forces démocratiques syriennes (FDS), alliées des Etats-Unis, se retrouvent avec un nombre croissant de personnes sur les bras, dont une grande partie sont des partisans de l’Etat islamique qui ont survécu, parmi lesquels beaucoup d’étrangers qui n’ont pas abandonné la doctrine de l’EI.

La plupart ont été envoyés dans le camp d’al-Hol, qui est déjà surpeuplé de Syriens et d’Irakiens déplacés.

Les tensions à al-Hol reflètent les frictions qui couvent depuis des années entre les djihadistes venus en Syrie pour rejoindre l’État islamique, appelés « al-Muhajirin », et les populations locales qui étaient membres de l’EI ou vivaient sous sa domination.

[…]

Le porte-parole des Forces démocratiques syriennes, Mustafa Bali, a déclaré que […] les FDS détenaient environ 4 000 combattants présumés de l’État islamique et plus de 1 000 combattants étrangers.

Source : Daily Mirror
Refugee women 'attacked by ISIS brides at Syrian camp calling them infidels'

Résumé Cenator pour LesObservateurs.ch

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9 commentaires

  1. Posté par mad le

    Non, pas de retour en Europe. Ils ont voulu partir, qu’ils y restent et soient jugés sur place après tout ce qu’ils ont fait. Et en plus on les enferment à vie ou on les exécutent, comme cela se fait en temps de guerre.

  2. Posté par zakaria le

    Il ne faut jouer avec le feu , ces gens doivent être jugés sur place et sans l’espoir d’être relâcher un jour ..

  3. Posté par Emmanuelle le

    Elles ont fait leur choix,qu’elles assument et restent où elles sont!
    Si elles reviennent on devra encore les entretenir avec nos impôts et elles seront un danger pour nous et nos enfants!

  4. Posté par Hombourger Jean Pierre le

    Non au retour de ces bombes à retardement , il faut tout faire pour qu’elles restent et soit jugées sur places et touts leurs descendants avec ???le peuple français n’en veut pas ??

  5. Posté par Hombourger Evelyne le

    Non au retour de ces bombes à retardement , il faut tout faire pour qu’elles restent et soit jugées sur places et touts leurs mioches avec ???le peuple français n’en veut pas ??

  6. Posté par Vincent le

    Hors de question d’en rapatrier un seul

  7. Posté par ACUNA-POLO danielle le

    JE PENSE QUE :NON NON ET NON

  8. Posté par Nicolas le

    Et ce sont ces “pauvres” femmes de djihadiste et leurs “pauvres” enfants dont nous sommes sensés accepter le retour chez nous en Europe?!? Même pas en rêve!!!

  9. Posté par Antoine le

    ”Des épouses de djihadistes de l’Etat islamique ont tenté d’attaquer des femmes réfugiées dans leur camp du nord de la Syrie”.
    Et dire que certains personnes ”bien intentionnées” veulent rapatrier ces bombes ambulantes !
    Tel que M. M. Aubry
    https://lesobservateurs.ch/2019/03/10/manon-aubry-lfi-defend-le-retour-des-djihadistes-francais-les-pires-exactions-du-monde-ne-meritent-pas-la-peine-de-mort/
    PAS de retour en Europe !
    Tribunal du genre Nuremberg pour juger sur place toute cette racailles pour CRIMES CONTRE l’Humanité !

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