Georges Soros veut éliminer les partis souverainistes

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Le nuisible milliardaire (soutien des ONG pro-migrants, des Femen et de tout mouvement anti-national) dans un édito du site de Project Syndicate publié le 11 février exhorte les Européens à se réveiller afin de sauver l’Union Européenne avant qu’il ne soit trop tard (avant que les partis nationalistes ou souverainistes soient majoritaires dans les urnes comme ils le sont dans les esprits -NDR).

Pour nous en donner l’eau à la bouche il rajoute : « s’ils ne le font pas, l’Union Européenne va finir comme l’Union Soviétique en 1991. »

Une jolie comparaison que nous ne pouvons que partager.

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4 commentaires

  1. Posté par miranda le

    Mais nous n’attendons que cela MR SOROS, car nos générations ont connu une C.E.E communauté économique européenne qui prospérait, qui avait quand-même une tendance démocratique, alors que depuis Bruxelles , nous glissons vers l’anti-démocratie, le déclin et l’immigration-invasion qui peut saborder nos civilisations.

    Pouvez-vous nous éclairer sur le sujet cher Mr SOROS?
    Une certitude : nous allons vous manquer. Car vous aviez “une raison de vivre” par vos actions négatives envers nos nations.

  2. Posté par Jean Durand le

    C’est déjà depuis un certain temps que je considère l’UE comme l’URSS 2.0. Espérons que sa fin sera pareille et dans les plus brefs délais.

  3. Posté par maury le

    Le traité de Lisbonne a abouti à créer un système politique autoritaire qui porte atteinte aux droits de l’homme et aux droits politiques.

    Concernant le mandat de la Commission européenne (CE), par exemple, l’article 17 du traité précise que :

    « La Commission exerce ses responsabilités en pleine indépendance… Dans l’exercice de ses responsabilités, la Commission sera totalement indépendante … Les membres de la Commission ne sollicitent ni n’acceptent d’instructions d’aucun gouvernement, institution, organe ou organisme.

    L’article 4 stipule également que :

    “… Les États membres facilitent l’accomplissement par l’Union de sa mission et s’abstiennent de toute mesure susceptible de mettre en péril la réalisation des objectifs de l’Union. »

    En d’autres termes, les intérêts de l’Union sont supérieurs aux intérêts des États et des citoyens. Ce n’est pas une simple spéculation. Le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, a déclaré ouvertement en 2016 :

    « Trop de politiciens sont à l’écoute exclusive de leur opinion publique. Et si vous prêtez l’oreille à votre opinion publique nationale, vous ne développez pas un état d’esprit européen ni le sentiment qu’il est nécessaire d’agir en commun. Nous avons trop d’Européens à mi-temps. »

    La même année, Emmanuel Macron – à l’époque ministre de l’Economie – a mis en garde, dans le magazine Time, contre le prochain référendum sur le Brexit au Royaume-Uni en déclarant :

    « Si, soudainement, plusieurs pays se réveillent et disent : « Je veux le même statut que les Britanniques », il en résultera un démantèlement du reste de l’Europe. Nous ne devons pas permettre qu’un pays soit en position de détourner le reste de l’Europe parce qu’il a organisé un référendum. »

    L’attitude de Macron est dictée par le traité de Lisbonne qui impose aux États membres de s’acquitter des tâches définies par la Commission européenne.

    Le traité de Lisbonne utilise 36 fois le terme « responsabilité ». Mais le mot ne vise la Commission qu’une seule fois pour lui faire obligation– « en tant qu’institution, d’être responsable devant le Parlement européen ». Les 35 autres usages de « responsabilité » énumèrent les obligations des États membres.

    Dans un système démocratique sain ou l’équilibre des pouvoirs est respecté, une équipe dirigeante peut être contestée ou remplacée par son opposition. Cette possibilité d’alternance est ce qui manque à l’UE, le Traité de Lisbonne imposant que les membres de la Commission européenne soient choisis sur la base de leur « engagement européen ». Cela signifie en réalité qu’aucun dissident ne peut jamais devenir membre de la Commission – ce qui rappelle étrangement le communisme.
    GATESTONE

  4. Posté par Antoine le

    ” … l’Union Européenne va finir comme l’Union Soviétique en 1991.”
    Nous sommes dans l’attente ….
    Dans quelle boule de cristal a-t-il bien pu lire cette vraie ”Fake News” ?

Et vous, qu'en pensez vous ?

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