Rapatriement de 130 djihadistes français: les leçons canadiennes de la déradicalisation

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Avec le retour annoncé de 130 djihadistes français, qui devraient vraisemblablement venir grossier les rangs de ceux déjà présents en prison, la question de la déradicalisation se pose avec acuité. Herman Deparice-Okomba, directeur général du Centre de Prévention de la Radicalisation de Montréal, revient sur l'expérience canadienne en la matière.

 

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2 commentaires

  1. Posté par Léo C le

    Comme le Sieur Castaner a affirmé que ces 130 sont français avant d’être djihadistes, j’enchérirai en disant qu’il est une brêle avant d’être ministre.

  2. Posté par Michel le

    Nous avons raisons de nous de nous faire du souci.
    Les Canadiens sont eux-aussi, dépassés par ce problème, les mailles du filet étant trop grosses.
    Nous avons déjà connu les brillants résultats de ” Centres de déradicalisation ” en France.
    Ce n’était qu’une grosse arnaque bien juteuse pour leurs dirigeants.
    Il faut arrêter de philosopher sur les djihadistes. Ce sont de dangereux pervers, des assassins rendus enragés par le virus de l’islam .
    Est-il besoin de poser la question, pour savoir, pourquoi ces fanatiques veulent être rapatriés ?
    A leurs yeux, après avoir connu les geôles, les camps en Iraq ou en Syrie, nos prisons sont évidemment des “Clubs Med ” pour eux et avec la certitude d’en sortir un jour !
    Pour un qui sera peut-être “sauvé “, combien de tueurs seront relâchés dans les rues ?
    Ces beaux parleurs, ces experts auto-proclamés nous le disent bien : “Le risque zéro n’existe pas” . Ils s ‘absolvent déjà de futures tueries. Nous sommes donc avertis !
    L’angélisme tue aussi sûrement que le djihadisme…

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