Dans le troisième opus des Cahiers du CIAN, un livre intitulé Les Diasporas africaines, accélératrices des économies du continent (éd. Eyrolles), Etienne Giros, son président pose d’emblée l’angle d’attaque. Ce travail est une enquête au cœur de l’argent des diasporas qui, de l’avis des deux auteurs, Bénédicte Châtel et Anne Guillaume-Gentil, pourrait être mieux utilisé […]
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10 milliards qui manque a l’économie française . Le gouvernement doit taxer a 50% tout transfert d’argent vers l’Afrique.
Ce serait intéressant de savoir combien de cette somme relève de délits. Inutile de préciser que dans les délits on devrait incorporer ceux qui ne foutent rien depuis plus de 10 ans, comme nombre d’Erythréens et bien d’autres qui vivent sur le dos de notre social, que nous payons depuis tout temps et même avant que l’on puisse bénéficier de ces chances pour toute la chaînes pénale, et même dans les abus liés aux assurances maladie. Sinon comment interpréter que les gauches socialo-écolo-islamo-bolchévo-fascistes ne voulaient pas que les assurés puissent être surveillés en cas de suspicion, tellement ils représentent des chances pour leur électorat et pour sodomiser la démocratie avec ces manipulations citoyens de 2ème zone achetés avec des naturalisations de masse.