Cenator : Lausanne détenait il y a quinze ans le record suisse de la densité de policiers par habitant. Depuis lors, plusieurs vagues de recrutement ont eu lieu pour renforcer l'équipe, mais rien ne semble suffire : les dealers sont toujours là.
Nuisance supplémentaire, ils se permettent d’uriner et de déféquer dans les cours environnant leurs « lieux de travail ». Des WC publics sont à leur disposition, mais cette jeunesse exotique préfère l'air libre.
Quant aux autorités disant vouloir limiter leur nombre, nous les prions d’arrêter de se moquer de nous.
En effet, ces dealers trafiquent depuis des années sans être trop inquiétés d’une part, et en étant ouvertement bichonnés d’autre part (soins médicaux dispensés gratuitement, accès gratuit à des services juridiques, tolérance d’associations de soutien qui sont à leurs petits soins, acceptation des activités de La Maraude qui vient les ravitailler sur leur lieu de travail, occupation de bâtiments temporairement tolérée).
Et que dire du désastre sanitaire engendré par la drogue coulant à flots depuis vingt ans ? La densité de psychiatres en ville, sauf erreur un record européen, en dit long !
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20minutes.ch – Lausanne: Des agents censés occuper le terrain face au trafic sont parfois appelés ailleurs. Le deal reprend alors illico.
Scène surprenante samedi passé au centre-ville de Lausanne. Vers 20h20, sur la place Chauderon ainsi qu'à la rue du Maupas, les lieux sont hantés par une dizaine d'hommes d'origine subsaharienne. Sans crainte, ils abordent des passants pour leur proposer d'acheter de la drogue, tandis que la police semble briller par son absence.
Un dispositif d'îlotiers en uniforme est pourtant censé être sur le terrain de 8h à 22h. Notamment dans ce quartier sensible, qui a l'an passé provoqué le coup de gueule du cinéaste Fernand Melgar, puis une manifestation d'habitants en colère.
«En vigueur depuis juin 2018, l'îlotage est toujours en place, et il a même été renforcé au niveau des horaires depuis lundi passé: dès 7 h du matin jusqu'à 23 h», précise Jean-Philippe Pittet. Porte-parole de la police lausannoise, il explique qu'une présence accrue de dealers avait été constatée ce soir-là à une centaine de mètres de la place Chauderon, ce qui a conduit à une «diminution momentanée» de la présence policière dans le quartier précité.
«Définir des objectifs réalistes»
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@pépéle moko, des coups de gourdins aux dealers, bien volontiers!, sans oublier leurs complices politicards, juges rouges et soutiens humanos-collabos, mais apres reflexion, le coup de gourdin n’est pas suffisant, je pencherai pour une methode plus “chinoise”….
Il ne faut surtout pas placer la balle dans le terrain politique qui est pourri jusqu’à l’os par les intérêts financiers. C’est une illusion de croire qu’en combattant une certaine position “idéologique” et de soutenir une soi-disante “opposition” les choses vont radicalement changer. L’aspect économique est bien et subtilement inséré dans toutes les idéologies possibles. Rien et personne n’échappe(ra?). Juste en agissant contre cette “machine infernale” les choses peuvent changer. Surement il faut reconsiderer le statut de l’être humain et sa position dans l’engrenage économique. Les Européens ( peuples chrétiens à la base) doivent agir en concordance avec l’essence du christianisme et ne pas se contenter à suivre juste les dogmes. Le mal( comme le virus ) s’installe sur un terrain affaibli donc peut-être que c’est le moment de repenser tout l’edifice si on veut éradiquer des graves tumeurs.
Continuer dans la même optique foncièrement erronée ( gagnant-pérdant ) les injustices et les horreurs ne va faire qu’accroitre. En occurrence pour l’aspect lié au deal, pourquoi pas ne s’attaquer au fond du problème : les causes de la consommation. pas tous les individus ont la chance de se réaliser professionnellement, social, etc. Et alors ? Si on parle de la moralité de certains métiers( où abondent des ” meritueux”) le constat ne peut pas être si satisfaisant. Or si un individu “rate” sa vie professionnelle( entre outres), notre société actuelle n’offre aucun réel soutien. On fait semblant balancer “un minimum financièr”( de fois même rien) mais du point de vue moral nada. Or c’est paradoxal pour des peuples a priori chrétiens. Est-il étonnant que sur un tel terrain vont prospérer des “autres” avec d’autres philosophies de vie, apparemment plus agressives.
Apparemment le Créateur nous a laissés libres, mais sommes-nous réellement ainsi dans cette imbrication des mécanismes sociales, économiques, politiques, etc. ( des idéologies finalement). quelle est la place de l’être humain, qu’est-ce qu’est devenue sa “liberté”, quel est le rapport avec l’autre, sa position face à son environnement originaire( sous-estimé et tributaire aux vices idéologiques humains – attention nulle allusion écologiste voulue puisque cette doctrine apparemment est un hoax également idéologique). sans une réflexion sincère de chaque individu, de conscientisation de sa propre finitude, de sa propre dependence aux autres on va probablement finir dans une jungle( la dominance de plus forts, apparemment nous y sommes déjà) ou dans le transhumanisme (singularity) donc aucune liberté possible( paradoxalement notre monde actuel donne l’impression que tout est possible) et la négation de l’essence humaine.
@cenator La croyance fait l’objet de la religion, et encore il faut avoir une révélation. La connaissance on l’acquiert par l’expérience propre. Malheureusement l’establishment actuel fait valoir même dans les disciplines rationnelles des… croyances, nullement vérifiées. Une telle société fonctionne en conséquence… . Mais bon les collabos ont su toujours survivre. Vu le nombre des agressions on peut se demander pertinemment si tous ces “réfugiés” ne mettent pas en application les directives d’une inquisition réactualisée. Suffit d’être blanc et encore mâle pour devenir coupable. La psychiatrie joue actuellement le rôle des décideurs du cler d’autrefois. Sorte du gestapo qui prétend des “savoirs” médicales.
@ who cares
Vous ne croyez pas si bien dire !
“Les z’autorités” sont tellement à gauche que cette situation cauchemardesque ne peut que dégénérer. Tant et aussi longtemps que subsisteront les idéologies inspirées des théories marxistes, les conditions de vie empireront. Dommage pour Lausanne.
Quoi dire si le système psychiatrique lausannois travaille avec les dealers pour assurer la pérennité de leurs boulots. La drogue apparemment donne une forte dépendance d’où l'(in)utilité des psychiatres et des psychologues. Mais pour ces deux catégories “professionnelles” et pas seulement eux c’est le jack point. à cause de ça les dealers osent en toute impunité de proposer même aux gamins la morte blanche. En ce temps la police glande, quoi d’autre à faire. Quelle bénédiction que le peuple suisse est plus discipliné que les français et les flics n’ont pas à avoir( pour le moment ) à des gilets jaunes.
Le marché de la drogue est si minutieusement mis au point du fait que beaucoup de gens y profitent sauf les jeunes et les moins jeunes qui, périodiquement trouvent la morte. Périodiquement la police fait semblant d’y courir après les dealers. Ils retiennent quelques-uns qui seront libérés le lendemain. Les mêmes flics “déportent” quelques malheurs consommateurs au Cery( donc une justification de plus pour des centaines des fonctionnaires). Les “soins”, évidemment très couteuses sont remboursés par le contribuable, qui rame péniblement boucler les fins du mois. Les dealers et les consommateurs s’adonnent aussi à des vols. Tous ces gens sont “attentivement” surveillés par le système psychiatrique et une multitude des associations “sociales”( par uniquement la maraude) nourries généreusement par le budget d’état, même si elles font semblant d’être bénévoles… . Et pendant ce temps des milliers des gens( plus ou moins vieux ), qui ont travaillé dur durant leur vie, bénéficient des placements forcés “arrangés” par des psychiatres et des juges et exécutés par des policiers.
Merci Lausanne capitale du grand n’importe quoi( Genève pareil). Pour ceux qui s’inquiètent de la migration massive en Suisse, vous devriez faire publique au monde entier ces réalités et ainsi au moins les gens honnêtes ne vont jamais mettre le pied sur le sol helvète. Si vous rajoutez la pénurie dans l’immobilier le succès est garanti. En tout cas sur Lausanne, la pérennité de la drogue semble d’être une politique locale. Sinon quoi faire avec tous ces psys? on ne va pas les mettre à nettoyer les endroits où les dealers marquent leur territoire. Bon nettoyage quand même.
Lausanne ville ouverte et refuge des dealers ! Les municipalités successives n’ont RIEN résolu !
De belles paroles pendant les périodes électorales puis tout est oublié !
Quand on veut, on peut !
La Municipalité de gôche actuelle n’a AUCUNE volonté d’éradiquer le deal de rue !
On en arrive à espérer qu’un ado d’un municipal tombe dans la drogue pour que l’électrochoc se fasse réellement !
Le coup de gueule de M. Melgar a fait long feu … cela n’a rien résolu et plus personne n’en parle. Donc un coup dans l’eau et en même temps un coup de pub gratuit …
Je le dis : il n’ y a aucune volonté de faire quoi que ce soit !
Il faudrait des hells angells pour éradiquer cette engeance a coups de gourdins !