https://www.youtube.com/watch?v=fSQYYqRnk5E

Louis-Ferdinand Céline : « Le prolétaire est un bourgeois qui n’a pas réussi »

VOICI, L’ÉTERNUEMENT DE LAPIN TAQUIN:

« Ceux qui ne voient pas le lien entre le RIC et les régimes à tendance communiste : idéalisation du Peuple, le jugement collectif perçu comme supérieur au jugement d'individus qualifiés, la loi du plus grand nombre, démocratie intégrale, tribunaux populaires, etc. Désolé de ne pas partager cette mythologie. Encore une fois ce n'est que mon avis et c'est vous qui l'avez demandé. »

Louis Jämes : ICI, LAPIN TAQUIN ÉTALE SA MÉCONNAISSANCE DU SUJET !

La preuve, la démocratie directe « à la Suisse », qui fonctionne depuis plus d’un siècle et qui a généré une prospérité et une liberté enviées dans le monde entier.
Actuellement, pour son immense malheur, ce petit « bijou à la Suisse » risque d’être détruit de fond en comble du fait de l’islamisation de toute l’Europe occidentale.

VOICI, L’ÉTERNUEMENT DE CÉLINE:

« Le malheur en tout ceci c’est qu’il n’y a pas de « peuple » au sens touchant où vous l’entendez, il n’y a que des exploiteurs et des exploités, et chaque exploité ne demande qu’à devenir exploiteur. Il ne comprend pas autre chose. Le prolétariat héroïque égalitaire n’existe pas. C’est un songe creux, une FARIBOLE, d’où l’inutilité, la niaiserie absolue, écœurante de toutes ces imageries imbéciles : le prolétaire à cotte bleue, le héros de demain – et le méchant capitaliste repu à chaîne d’or. Ils sont aussi fumiers l’un que l’autre. Le prolétaire est un bourgeois qui n’a pas réussi. Rien de plus. Rien de moins.»

Louis Jämes : ICI, CÉLINE EST UN PRIMITIF QUI MÉPRISE L’ÊTRE HUMAIN EN LE RÉDUISANT À UNE CARICATURE GROTESQUE !

«Le prolétaire est un bourgeois qui n’a pas réussi. Rien de plus. Rien de moins.»

Ces deux « RIEN » classent Céline au sein des totalitaires PRIMITIFS à la Hitler ou à la Staline.
Pour le reste, cette citation de Céline n’apporte rien, elle aligne autant de stupidités caricaturales que les poncifs que Céline veut démolir.

Il y a de nombreuses années, nous avons lu « Voyage au bout de la nuit ». Quelle galère, la primitivité de l’auteur ressort partout. Cette primitivité se révèle bien sûr dans son antisémitisme bestial mais tout autant dans sa vision caricaturale et morbide de l’être humain en général.

Pour certains, Céline serait « un immense écrivain » et il ne faudrait pas jeter le bébé avec l’eau du bain en le reniant à cause de ses écrits antisémites. À nos yeux, Céline n’est en rien un immense écrivain, ni par sa phraséologie guindée, ni par sa vison du monde et de l’être humain, qu’il méprise.

Céline, cet aveugle quant à sa capacité de saisir la COMPLEXITÉ du monde réel, ses aspects glauques tout comme ses aspects magnifiques,

Céline, cet infirme à œillères dans son incapacité à appréhender le VRAI, le JUSTE, le BON, le BEAU (faut-il d’ailleurs  parler d’incapacité ou plutôt de volonté délibérée de ne pas voir ces aspects ?),

Céline, ce personnage qui, après s’être vautré dans de telles eaux, a réussi, les circonstances aidant, à s’acoquiner méchamment avec les nazis, forme un TOUT parfaitement cohérent et assez repoussant et malsain.

Louis Jämes 14.1.2019