L’écrivain « euro-turbo » Robert Menasse démasqué comme faussaire
Les médias de complaisance de langue française sont pleins de louanges pour le nouveau roman de l’écrivain amoureux de l’Union européenne Robert Menasse, « La Capitale », dont la traduction vient de paraître. Ils ignorent superbement la polémique qui pourrait l’obliger à rendre le prix Carl-Zuckmaier pour cause de citations inventées, qui le qualifieraient plutôt pour un prix « Claas-Relotius », du nom de cet autre journaliste faussaire démasqué pour des articles en faveur de l’immigration, dont les lieux et les faits se sont révélés imaginaires.
http://www.pi-news.net/2019/01/robert-menasse-erhaelt-claas-relotius-preis-2019/
Traduction (Claude Haenggli) : Menasse prétend notamment que l’Européen convaincu Walter Hallstein (1901-1982) aurait fondé la CEE « lors de son discours d’investiture dans le camp d’extermination d’Auschwitz », c’est à dire à l’endroit où l’on peut constater « à quoi le nationalisme nous a menés ». Quelques professeurs particulièrement pointilleux ayant contesté cette affirmation, Menasse, qui a vécu par intervalles de 2010 à 2016 à Bruxelles, leur a répondu par un dicton italien : Se non è vero è ben trovato. Il avait d’ailleurs déjà reçu en 2002 le prix « Lion-Feuchtwanger » de l’académie des Beaux-arts de Berlin et aurait toujours suivi le modèle de ce confrère. Feuchtwanger, qui avait été invité en 1937 par Staline à Moscou comme hôte d’honneur, pour suivre les procès bolchéviques truqués, avait écrit Staline, mon amour et déclaré que les accusés méritaient la peine de mort.
Claude Haenggli, 7.01.2019
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