Ndlr. Quand les socialo-gauchistes parlent “d’extrême droite” à propos de l’UDC, il faut répondre :
antifascistes = nouveaux fascistes. Et là c’est vrai.
AM : Dans les avantages c’est donner un pouvoir au peuple mais sans trop tomber dans le populisme. Pour moi l’initiative et le référendum, ça sert à rééquilibrer finalement des lois qui seraient ou trop à droite ou trop à gauche si j’ose dire et c’est là que vient le référendum et l’initiative. Ça donne la voix aussi à des préoccupations que peut-être les parlementaires ne mettent pas en avant et ça c’est quelque chose d’utile pour les minorités. Maintenant, les désavantages c’est sûr que à force de trop voter dans l’année on a un taux de votation qui est bas, entre 45% et 50% pour chaque votation, rarement plus, quasiment jamais et puis ce sont aussi des instruments qui pour finir sont utilisés par tous les partis pour mettre en avant leurs propres programmes et donner une sorte d’agenda à leurs préoccupations, c’est une bonne chose mais c’est peut-être aussi parfois moins adéquat. […]
Intervieweur : Est-ce que le danger ce n’est pas le populisme ?
AM : Vous savez en Suisse … une bonne question … je dirais OUI et NON parce que d’un côté en Suisse tous les partis siègent au gouvernement et nous avons la proportionnelle au parlement donc on pourrait croire que finalement on a moins besoin d’opposition populiste parfois, pour se faire entendre et en même temps nous avons un score de 30% pour notre extrême droite à nous. Donc on voit que elle s’utilise souvent, l’arme de l’initiative et du référendum, et eux c’est souvent du populisme. Donc … moi en tous cas je ne sacrifierais pas mes droits citoyens parce que il y a un risque de populisme, pour moi aujourd’hui ça amène vraiment un rééquilibrage, une correction à des lois et un parlement qui parfois virerait trop dans un sens ou dans un autre, et oui ça peut servir le populisme mais c’est un dommage collatéral je pense qu’il faut pouvoir supporter et qu’on supporte encore en Suisse. Et l’autre désavantage c’est évidemment, c’est pas l’image d’Epinal des droits populaires parce que pour pouvoir lancer, par exemple une initiative c’est 100'000 signatures en 18 mois et un référendum c’est 50'000 signatures en 100 jours, et bien il faut toute une organisation, de l’argent, et c’est pas un citoyen qui se lève le matin en disant … et tiens si je lançais une initiative ou un référendum. […]
Toujours aussi pertinente celle-là! De quoi je me mêle? Retourne en Italie, t’occuper des migrants, là tu comprendras ta douleur!
Absolument du même avis que M. Sachot. Depuis plusieurs mois, cette secundos se moque des institutions Suisse. Alors qu’elle retourne dans le Pays que ses parents ont quittés. Et surtout ATTENTION ! NE L’ELISONS PAS À LA CHAMBRE HAUTE !
La Suisse est le seul pays qui accepte des gauchistes anarchistes anti-démocratiques, des fascistes qui veulent détruire notre pays et qui se permettent de faire leur morale à la gomme dans nos média.
IMPOSSIBLE pour moi de regarder cette vidéo….tellement cette femme me débecte !…rien que de voir sa hure de traitresse me fait monter les tours à en vomir !….
Puisque le centre s’est déplacé a gauche je suis bien d’extreme droite et meme d’ ultra droite !
Je ne vois pas de quel droit cette italienne se permet de critiquer le système démocratique Suisse. Si elle n’ est pas satisfaite il y a de la place en Italie pour ce genre de péronnelle.
PS Lisa Mazzone peut faire partie du voyage.