L’universitaire américaine Lisa Littman montre que la prolifération des youtubeurs transgenres favorise le conformisme trans chez les adolescents. La voilà censurée !
Au pays de Philip Roth, une universitaire qui s’intéresse aux questions de genre et de transsexualité sans marcher dans les clous avance en terrain miné. Lisa Littman en sait quelque chose. Cette enseignante en sciences du comportement à l’université Brown de Providence a eu le malheur d’effectuer une enquête objective sur la « dysphorie de genre » chez les ados américains. Quèsaco ? En plein essor, ce phénomène concerne les filles et garçons manqués persuadés de ne pas avoir le sexe biologique correspondant à leur genre. Longtemps considéré comme un trouble mental marginal, cet état est en train de devenir monnaie courante dans la société américaine. En interrogeant 250 familles dont l’enfant a dernièrement développé les symptômes d’un trouble dans le genre, le professeur Littman a obtenu des résultats étonnants.
Première surprise : 80 % des ados mal dans leur sexe n’ont présenté aucun signe avant-coureur pendant l’enfance, comme le rejet des vêtements typiquement masculins ou féminins ou celui de certains jouets très connotés.
Deuxième révélation : 80 % des jeunes concernés sont nés filles. Une surreprésentation inhabituelle alors que les homosexuels sont plus nombreux que les lesbiennes dans la population américaine.
Autre bizarrerie, 63,5 % des parents ayant répondu à l’étude ont signalé un net surcroît d’intérêt de leur enfant pour internet et les réseaux sociaux juste avant l’annonce de sa transsexualité. Une fois la transsexualité revendiquée, on observe souvent une détérioration du bien-être mental de l’enfant et l’augmentation des conflits familiaux.
Last but not least, 46,6 % des enfants concernés ont indiqué ne faire confiance qu’aux sources transgenres pour obtenir des avis ou des informations sur le sujet. La prolifération des youtubeurs transgenres favorise sans doute le conformisme social chez les adolescents.
Bizarrement, l’article scientifique résumant les conclusions de l’étude a été dénoncé comme « transphobe » par certains militants de la cause trans. Et retiré du site internet de l’université cinq jours après publication.
Extrait de: Source et auteur
Rien d’étonnant dans un contexte où les LGBTQ, très minoritaires, ont réussi à imposer comme article de foi que leurs anomalies sont… normales ! C’est tout à fait comparable à la religion du réchauffement d’origine anthropique : dès que la science vient déranger leurs cercles, ils entrent en transes et condamnent les scientifiques qui avancent des résultats contraires à leurs délires. C’est une régression intellectuelle qui interdit toute recherche de la science positive sur des sujets devenus socialement tabou. Le pire est qu’ils ont l’oreille des “décideurs” pleutres, politiques ou administratifs. Dans une société qui se respecte, on les laisserait braire et la science continuer son chemin. Quant aux ados paumés, on leur supprimerait l’accès aux sites décadents, et on leur imposerait une thérapie éducative musclée. Mais nos sociétés sont désormais trop pourries pour prendre des mesures “fascistes” ! Moi, je me demande qui sont les vrais “fascistes”, de ceux qui ont les pieds sur terre ou de ceux qui posent des tabous et censurent, voire punissent ceux qui ont gardé l’esprit scientifique ? La réponse est dans la question.
Cette étude confirme que la pédophilie n’est que la pointe de l’iceberg du militantisme et de l’exhibitionnisme transgenres et de ses effets pervers et coûteux pour la société. Malheureusement trop de parents ne sont guère capables d’éduquer leurs enfants avant l’adolescence et pendant!
Quand va-t-on enfin mesurer de degré d’imbécillité des individus ?
Imbécillité étant pris quel que soit le domaine dans lequel cette tare se manifeste (genre, politique, etc).
Si j’était plus jeune, je me lancerais dans une thèse sur ce sujet passionnant.