Si les Radars brûlent, la Révolution est proche

Article publié le 26.12.2018
Riposte Laïque 2, le 26 déc. 2018
Pierre Cassen explique que la vandalisation des radars confirme le refus, par les Français, de la propagande écolo qui, au nom de la sécurité routière et de l’avenir de la planète, rackette les classes populaires. Il sent dans cette révolte l’amorce d’une nouvelle révolution française.

3 commentaires

  1. Posté par G. Guichard le

    Mais, ces radars, ce ne serait pas une forme de silhouette humaine au bord des routes? Et qu’ils obligeraient à ralentir? Si on voit ce que je veux dire (une silhouette humaine au niveau de qui on ralentit en automobile?)

  3. Posté par aldo le

    Il faudrait s’occuper d’urgence de ces associations autoproclamées aux bottes des socialistes depuis Mitterrand, prétendument contre la violence routière alors qu’il ne s’agit que de tirer des fonds de poches des automobilistes avec l’aide de véritables salopes qui doivent être incapables de conduire à allure soutenue. Emmerder tous le monde avec les résultats d’accidents issus de l’alcool, de la drogue, de l’inattention avec le téléphone portables etc. semble sérieusement faire un peu trop de jeux des lobbys fournisseurs de rond-points, de radars, de seuils illégaux et autre imbécilités qui consomment énormément de carburant, ce qu’ils évitent de quantifier, bien naturellement avec la mauvaise foi qui les anime.

    Imposer des rythmes plus élevés de vitesses et améliorer les performances des conducteurs serait plus objectifs, plutôt que de susciter des sources d’endormissement. Ces imposteurs ont vécus sur le dos de gens qui savaient rouler avec toutes l’attention requise tout en baissant les vitesses pour faire absorber les cas psychiatriques qu’on a voulu à tout prix récupérer pour faire marcher le commerce. Exactement ce qui se passe en politique. L’idiot utile au volant, c’est la castration de gens qui savent conduire même dans les cas les plus dramatiques.

    Maintenant on en vient à secouer, créer des animations artificielles, faire zigzaguer entre les voitures parquées, ce qui finit par détourner l’attention des vrais dangers dans le but pas très cohérent de réveiller les somnambules du volant. Le barratin rouler moins vite c’est sauver plus de vie. Allez dire ça à ceux qui roulaient plus vite et qui ont échappé à l’écroulement du pont de Gênes, par exemple…

    On devrait soumettre une certain nombre de vieux volontaires, à un exercice chronométré sur des routes sinueuses réputées dangereuses, puis prendre les résultats comme la norme. Et ceux qui n’y arrivent pas, retour à bicyclette, qu’il dégagent avec Macron&Cie.
    http://axel-bergeron.fr/index.php/professeur-claude-got/ et Tartufe Macron n’en est pas à une compromission près. https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Sciences-et-ethique/petit-verre-vin-monsieur-President-2018-03-06-1200918550

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