Droits LGBTQI en Suisse: il resterait énormément de travail à faire contre les discriminations

« Les organisations lesbiennes, bisexuelles et homosexuelles ont une nouvelle directrice pour la Suisse romande. »  [...]

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Cenator: Et bien sûr, toutes ces associations sont subventionnées, partiellement ou totalement, avec des salaires plus qu’enviables pour les directions.

On dirait que la Suisse peut vivre d’organisations internationales, d’associations qui luttent contre la discrimination et pour le bien-être des « migrants ».

La demande de subventions pour tous ces subventionnés n’a pas de limite. Nos universités et hautes écoles recrachent année après année des diplômés qui feront carrière dans le magma sans limite de l’humanitaire et du social.

Le droit de spolier le peuple suisse en prétextant diverses motivations égalitaristes ne connaît ni frein, ni limite.

Le réveil, lorsque la réalité reprendra ses droits, risque d’être très dur... Pour le moment, nous fonçons vers la ruine de notre pays. Et ce n’est pas avec le taux de natalité des LGBTQI que la Suisse pourra éviter le remplacement de population.

7 commentaires

  1. Posté par Blaise le

    Les associations LGBT etc… sont favorisées parce qu’elles représentent une marché gigantesques pour les hormones de synthèses (FIV ou changement de sexe). Et plus il y a d’hormones de synthèses relâchées dans l’environnement, plus les hommes perdent leur pouvoir reproducteur parce que leur sperme baisse en qualité. Alors même les couples hétéros deviennent des clients pour l’industrie pharmaceutique (FIV). Ne rêvez pas, les gens qui ne rapportent rien au marché ne sont pas l’objet de telles attentions. Vous devez juste payer.

  2. Posté par Dominique Schwander le

    Si tous ces homosexuels, ces lesbiennes et autres se satisfaisaient de vivre leur sexualité dans leur intimité, sans militer en public et faire du prosélytisme pour leurs inversions des valeurs et leurs libertinages, ils ne seraient pas tant critiqués, discriminés et ostracisés. Ils en sont les responsables. Ils ne sont pas des victimes et récoltent ce qu’ils sèment. Ce n’est pas en augmentant notre trop coûteuse industrie du social et en diminuant notre industrie productrice que les problèmes qu’ils ont créés et créent de plus en plus vont disparaître, bien au contraire. Quand compteront-ils enfin que les hétérosexuels, les défenseurs du mariage aristotélicien et de la famille en ont mare de leurs revendications, manigances et fausses ONG subsidiées par des gouvernements?

  3. Posté par Célestine le

    Les grands remplaçants se réjouissent déjà de promouvoir à leur manière et dans un proche avenir la non discrimination des LGBTQIAR. Cela fera regretter aux Conchitas et Cie le temps béni où tout leur était permis, y compris les pleurnicheries, gémissements et jérémiades.

  4. Posté par Derek Doppler le

    Typique inversion accusatoire marxiste; ce qu’il faut comprendre c’est: il reste encore quelques hommes blancs hétéros à éliminer, quelques familles traditionnelles à atomiser, quelques femmes occidentales à pourrir, etc.
    Et comme le dit Cenator: tout ça on va le faire grâce à argent que l’état vous aura extorqué et surtout grâce aux merdias/relais complaisants.

  5. Posté par aldo le

    L’inversion systématique des valeurs, propres aux conspirateurs crypto-communistes passe par une requalification du titre à grâce décodeurs anti-idiots utiles: “…il resterait énormément de travail à faire pour les discriminations”.

  6. Posté par pierre frankenhauser le

    Pendant qu’ils y sont, ces détraqués pourront bientôt y ajouter deux nouvelles lettres, on n’est plus à ça près: LGBTQIAR, AR pour Animaux et Robots. En effet, pourquoi ne pas croiser Conchita Wurt avec une souris et lui implanter des neuroprothèses reproduisant le cerveau d’un chat. Ça pourrait être marrant. Les ONG et de nombreux journalistes ont oublié leur sens éthique au vestiaire. Il n’y a plus de repères, plus de garde-fous.

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