Depuis 2013, la Suisse a régulièrement accueilli des groupes de réfugiés particulièrement vulnérables dans le cadre du programme de réinstallation mené sous l'égide du HCR.
Pour ces personnes, qui ne peuvent ni rester dans leurs pays d'accueil actuel, ni rentrer chez elles, la réinstallation est la seule option durable. Le gouvernement souhaite ainsi poursuivre sa participation au programme au-delà de 2019.
Priorité aux réfugiés syriens
Un tel système prévient les migrations illégales et permet de lutter contre le trafic d'êtres humains. Femmes, enfants et personnes âgées n'ont plus à entreprendre la dangereuse traversée de la mer Méditerranée.
Le gouvernement propose donc un nouveau programme plus pérenne, permettant d'accueillir entre 1500 et 2000 réfugiés tous les deux ans. La priorité serait donnée aux réfugiés syriens. Mais des personnes fuyant d'autres conflits, à l'image des Rohingyas, pourraient également être acceptées.
Possibilité de suspendre le programme
Comme de coutume, les réfugiés seront entendus avant leur entrée en Suisse et ils devront montrer qu'ils sont disposés à s'intégrer. Chaque dossier sera également examiné par le Service de renseignement de la Confédération.
Le mécanisme pourrait être suspendu ou revu à la baisse en cas de forte augmentation du nombre de requérants d'asile. Le Conseil fédéral veut encore consulter les commissions parlementaires compétentes, avant d'arrêter une décision définitive.
"Une tradition"
Malgré la baisse du nombre de demandeurs d'asile, la situation des réfugiés reste difficile dans de nombreux pays, notamment dans les pays limitrophes aux conflits: "85% des réfugiés se trouvent dans des pays en voie de développement, comme le Liban, la Jordanie ou la Turquie, et demandent un engagement financier énorme", a rappelé la ministre de la justice Simonetta Sommaruga.
"Nous parlons de réfugiés qui sont déjà acceptés par le HCR. Ce sont des gens qui ne peuvent pas rentrer dans leur pays. La solidarité de notre population pour ces réfugiés est très grande, déjà ces dernières années. C'est pourquoi le Conseil fédéral veut continuer cette tradition", a indiqué la conseillère fédérale.
ats/gma
source 2:
Je vous laisse le soin de juger, amis suisses. Nous avons les mêmes en France dont la bourse n’est pas trop malmenée par ces décisions puisque c’est la nôtre qui l’est après avoir été culpabilisés sur notre insensibilité.
SS fait son boulot: le grand remplacement a nos frais. Et que font les deux nains de jardins udc du cf, les perrin et autres oskar??? les matamores estampillés patriotes 100%? Allo quoi??? Vous n’arrivez pas a la chausette d’un gilet jaune, rien, aucune reaction, vous venez de vous faire avoir profond via le vote electronique manipulé….Et pourtant il suffirait de peu pour changer le cours de l’histoire, mais n’est pas Blocher qui le voudrait. Vous etes comme le FN de le pen, assis sur une rente de pseudo opposition au systeme, mais en fait vous vous nourrisez du systeme, bonnes rentes et vie facile. Que de temps perdu…
Cette femme est un cancer pour notre pays!
C’est en Syrie qu’ils devraient retourner pour aider le pays à se reconstruire. Pourquoi cette SS veut-elle les prendre en Suisse ? Pour priver la Syrie de jeunesse qui pourrait la reconstruire ? C’était déjà pour priver le président de la Syrie de soldats que l’Union européenne avec l’Allemagne ont décidé d’accueillir des millions de jeunes migrants mâles syriens. Tout est perverti dans ces dossiers.
“Pour une information factuelle sur l’histoire, les causes et les effets de la migration” :
https://www.zeit-fragen.ch/fr/ausgaben/2018/nr-26-20-november-2018/fuer-eine-sachliche-aufklaerung-ueber-geschichte-ursachen-und-auswirkungen-von-migration.html