Cenator : Nous nous souvenons de l’hystérie médiatique que la gauche avait orchestrée pour instrumentaliser cette affaire et faire passer les contribuables à la caisse afin d’indemniser ces faux réfugiés. Rappelons que la famille disposait du statut de réfugiés en Italie, mais qu’au septième mois de grossesse, elle a décidé de passer illégalement en France, où le bébé aurait bénéficié du droit du sol.
A présent, la Syrienne affirme : « N’importe qui aurait pu se rendre compte que je n’allais pas bien », et que des traces de sang étaient visibles sur son pantalon.
Questions : Depuis quand les garde-frontières devraient-ils accepter en Suisse une personne sans papiers d'identité valables, juste parce que cette personne ne se sent pas bien ?
Depuis quand les douaniers devraient-ils scruter le pantalon d’une femme musulmane intégriste, portant le double foulard ? Comment se fait-il que son pantalon était visible alors que sur les photos que nous avons vues jusqu’ici, il était recouvert par d’autres vêtements ?
Et finalement, est-il vrai qu’elle portait comme par hasard un pantalon blanc, alors que c’est une couleur que l’on ne voit pratiquement jamais sur les femmes musulmanes qui sont en route pour la demande d’asile ?
******
Le garde-frontière ayant refusé de l'aide à une migrante enceinte en 2014, repassera devant la justice lundi en deuxième instance.
Le nouveau procès d'un garde-frontière condamné en première instance après la fausse couche d'une Syrienne lors d'un renvoi s'est ouvert lundi devant le Tribunal militaire d'appel 2 à Zurich. L'accusation réclame une peine de prison de trois ans partiellement ferme.
N'importe qui aurait pu se rendre compte qu'elle n'allait pas bien, a déclaré lundi la mère du bébé décédé devant la cour. Des traces de sang étaient visibles sur ses pantalons blancs, selon elle. En outre, son mari et d'autres membres de la famille avaient plusieurs fois demandé de l'aide ainsi qu'une ambulance en raison de ses douleurs.
Le garde-frontière de 58 ans n'a rien remarqué de particulier chez la Syrienne lorsqu'il a pris la responsabilité du groupe, affirme-t-il pour sa part. Il n'a pas constaté d'agitation particulière, tout était calme, dit-il. Il a bien vu qu'une femme était étendue, mais ne s'est dans un premier temps pas rendu compte qu'elle était enceinte. Il n'a pas vu de sang non plus.
Collègues italiens informés
C'est lorsqu'il a fallu la porter dans le train à destination de l'Italie que le militaire a reconnu qu'elle allait moins bien que ce que lui et ses collègues pensaient, a-t-il ajouté.
Il a alors informé les services italiens qu'une femme enceinte n'allant pas bien se trouvait dans le train et qu'une assistance médicale était nécessaire.
Sur le moment, il considérait intuitivement que c'était la meilleure chose à faire. [...]
[...]
Prison réclamée
L'accusation a exigé lundi une peine de prison avec sursis partiel de trois ans, dont au moins six mois ferme. «Le prévenu et les autres gardes-frontière n'ont pas seulement échoué à demander de l'aide, ils ont manqué d'humanité», a dit l'avocat de la famille syrienne. Pas une seule fois ils n'ont demandé à la femme, comment elle se portait, a-t-il ajouté.
La défense a demandé l'acquittement. Rien n'indiquait initialement que le prévenu était en présence d'une urgence nécessitant une intervention, selon elle. La tâche principale du militaire était d'organiser le transport du groupe de réfugiés, non pas de s'occuper d'eux.
Le garde-frontière aurait en outre dû pouvoir faire confiance à son équipe expérimentée, a ajouté la défense. Pas moins de 20 hommes étaient présents sur place à ses côtés. Et à la fin, l'accusé n'est pas resté les bras croisés, mais a choisi d'alerter les secours italiens pour une prise en charge médicale rapide.
Tentative d'interruption de grossesse
Lors du procès en première instance au Tribunal militaire 4 de Berne en décembre dernier, le sergent-major a été reconnu coupable de lésions corporelles par négligence, de tentative d'interruption de grossesse et de violations répétées des prescriptions de service. Il a écopé d'une peine privative de liberté de 7 mois et à une peine pécuniaire de 60 jours-amendes à 150 francs. Les deux sanctions ont été assorties du sursis.
Aucune des deux parties ne s'est montrée satisfaite du jugement. La défense avait déjà plaidé l'acquittement et le procureur avait demandé jusqu'à 7 ans de prison.
[...]
Rappels:
https://lesobservateurs.ch/2014/07/14/immigration-bebe-mort-bien-laccouchement/
Mise à jour : Peine allégée pour le garde-frontière dans l'affaire du bébé syrien mort-né
(Le garde-frontière reste condamné à 150 jours-amende, mais la condamnation à 7 mois de prison est abandonnée.)
DEPUIS QUAND UNE FEMME ENCEINTE a le droit de mettre son “foetus” en danger.
Vivaient-ils dans un foyer Italien de réfugiés ou les conditions étaient acceptables?
Dans le cas contraire, elle se devait de demander de l’aide de l’Italie pour effectuer les derniers mois de grossesse et fait naître ce bébé dans de bonnes conditions. Pourquoi n’a-t-elle pas su patienter?
DEPUIS QUAND DES REFUGIES sont dédouanés de toute responsabilité dans leurs actes.
Ils ne fuyaient pas une ZONE DE DANGER OU DE GUERRE. L’Italie n’est pas en guerre que je sache.
L’Italie aurait permis à cette femme de parvenir à la fin de sa grossesse. Des tas de foyers pour femmes en difficulté existent en Europe. Il lui suffisait d’aller voir une assistante sociale.
Même des bonnes soeurs, pour qui la vie est SACREE, l’auraient accueillie jusqu’à ce que naisse le bébé.
Difficile pour un douanier d’ajouter des compétences de médecin et en plus de savoir percevoir la différence entre des milliers d’imposteurs pleureurs professionnels et un véritable cas. Dont on peut même douter. Je n’ai pas lu qu’un médecin italien consulté avait produit un rapport sur les risques signifiés à ces personnes, que comportait un tel voyage. C’était pourtant aussi son devoir d’informer. Les perspectives financières des honoraires d’une étude d’avocat ont-elles plus pesé que la réalité de faits ? J’ai pourtant pu mesurer la façon dont ces officines procèdent. L’aide judiciaire pour tous les indigents ? Vous voulez rire, non ? On peut s’offusquer que cette aide soit illégalement et exclusivement déployée au profit des migrants. Pourquoi? Parce que le Suisse n’aime pas étaler ses malheurs et qu’il ne va pas se vanter auprès d’autres personnes qu’il connaît un bon avocat pour un problème qui est très rarement le même que celui d’une personne de son entourage.
Au contraire des fourbes migrants qui se repassent les adresses, les conseils bidons pour leurrer les services sociaux et cultivent ainsi une chaîne ininterrompue de futurs clients qui font le beurre de ces manipulateurs du barreau. Mais il y a un autre raison pour cette rétention monopolistique de l’aide, c’est sa raréfaction due aux abus. Donc une fois le budget épuisé, les avocats marrons préparent de concert des réclamations pour leur prochaine augmentation et leurs copains parlementaires socialo-verts se font fort d’augmenter le nombre de faux-réfugiés admissibles.
Alors la machine à fric tourne à plein régime. La seule équité en ce domaine serait d’interdire aux études d’en faire leur seul commerce. Les demandes devraient être dispatchées nominativement entre tous les avocats, sans qu’ils puissent faire sous-traiter ces affaires et qu’elles ne rapportent pas plus du 20ème de leur chiffre d’affaire. On voit alors dans ces disparités la facilité que rapportent les mêmes affaires à traiter dans une routine de travail à la chaîne simplifiée et moins difficile. Mais croyez-vous qu’ils baissent leurs tarifs ? Non seulement non, mais en plus ils épuisent tous les recours, quittes à être qualifiés sans gros risques de plaideur téméraires.
quatre ans qu’elle est en europe, lui, barbu, elle voilée, signe manifeste de leur désir de s’ intégrer ?
Maintenant leur pays a besoin d’eux alors retour !
Avant de passer par la Suisse elle était atteinte du syndrome ius soli qui pousse irrésistiblement toutes les envahisseuses enceintes à pénétrer dans l’hexagone. C’est ça le vrai problème, et ce pauvre douanier n’y pouvait rien. Maintenant que son pourri d’avocat lui a bien expliqué tous les avantages qu’elle aura à échanger le droit du sol en Rance contre un permis humanitaire pour mauvais traitement en Suisse, c’est le fonctionnaire qui doit en faire les frais.
Les vrais coupables sont ceux qui ont supprimé les postes sanitaires à nos frontières où avant d’avoir la permission d’entrer où d’être refoulés tous les immigrants étaient examinés par un médecin et ces mêmes élus qui ont milité pour supprimer nos frontières nationales et les remplacer par les frontières-passoires de Schengen.